Médaille Henry Draper

quinzaine d’années environ, et plus haut de taille qu’aucun de nous tous. Il avait les cheveux coupés droit sur le front, comme un chantre de village, l’air raisonnable et fort embarrassé. Quoiqu’il ne fût pas large des épaules, son habit-veste de drap vert à boutons noirs devait le gêner aux entournures et laissait voir, par la fente des parements, des poignets rouges habitués à être nus. Ses jambes, en bas bleus, sortaient d’un pantalon jaunâtre très tiré par les bretelles. Il était chaussé

Sculpteurs » : L'Imploration, Persée, Les Bavardes. L'Otage, L'Annonce faite à Marie de Paul Claudel. 1911 Octobre, Paul Claudel est consul général à Francfort. Camille est de plus en plus enfermée chez elle, son état est réellement préoccupant. 1912 Henry Marcel, directeur des Musées nationaux, expose à Rome les bronzes de Camille Claudel de la collection Blot. 1913 2 mars, mort du père de Camille, Louis-Prosper Claudel, à Villeneuve. 10 mars, internement de Camille à Ville-Évrard. 16 avril, réunion

Calligraphie : Art et façon de former de manière singulière ou esthétique les caractères de l'écriture, la calligraphie est particulièrement importante dans les écritures arabes et orientales. Calotype : Procédé photographique inventé par William Henry Fox Talbot en 1841, à la base de la photographie argentique moderne. Il permet de réaliser un négatif et donc d’obtenir de multiples positifs. Calque : 1. Reproduction fidèle. 2. Papier servant à décalquer un dessin ou une image plane. 3. En infographie

quinzaine d’années environ, et plus haut de taille qu’aucun de nous tous. Il avait les cheveux coupés droit sur le front, comme un chantre de village, l’air raisonnable et 7 fort embarrassé. Quoiqu’il ne fût pas large des épaules, son habit-veste de drap vert à boutons noirs devait le gêner aux entournures et laissait voir, par la fente des parements, des poignets rouges habitués à être nus. Ses jambes, en bas bleus, sortaient d’un pantalon jaunâtre très tiré par les bretelles. Il était chaussé de

quinzaine d’années environ, et plus haut de taille qu’aucun de nous tous. Il avait les cheveux coupés droit sur le front, comme un chantre de village, l’air raisonnable et 7 fort embarrassé. Quoiqu’il ne fût pas large des épaules, son habit-veste de drap vert à boutons noirs devait le gêner aux entournures et laissait voir, par la fente des parements, des poignets rouges habitués à être nus. Ses jambes, en bas bleus, sortaient d’un pantalon jaunâtre très tiré par les bretelles. Il était chaussé de

toujours sous les traits de Tante Hermine. Pendant que j’en suis à parler de cette tante, je pense à sa mésentente (sans jeu de mots) avec le premier de ses gendres. En 1898, l’aînée de ses filles, Julie, avait épousé un médecin alsacien, Henry Neumand. Le mariage avait eu lieu à Anvers où nous étions tous réunis. Je me rappelle de la réception, où je m’embêtais ferme, de sorte que l’une de mes cousines m’avait sorti de la bibliothèque un livre de Jules Verne, Mathias Sandorf, je crois, et

avec le bout d'un orteil quelque part sous le menton, mais il s'y attendait et il esquiva, et le coup fut très léger, à peine perceptible. Elle essaya de nouveau mais il était déjà hprs d'atteinte. Elle laissa retomber ses jambes sur la couchette. Le drap avait glissé et formait un tas par terre. Elle sentit que sa chemise de nuit était remontée loin au-dessus des hanches. Elle n'aimait pas ça. Elle ne pouvait pas couvrir sa nudité. il Il resta immobile un long moment sans rien dire. Puis il contourna

sourcils surbaissés, D’où semblent couler des ténèbres ; Tes yeux, quoique très noirs, m’inspirent des pensers Qui ne sont pas du tout funèbres  Tu trouveras au bout de deux beaux seins bien lourds, Deux larges médailles de bronze, (v. 1- 4, 13 - 14) On retrouve « l’atmosphère  « mignarde » du poème érotique du XVI e siècle[411] » jusqu’à l’analogie finale entre la toison pubienne et la nuit : Et sous un ventre uni, doux comme du velours,

DANIELEWSKI Mark Z 1 www.comptoirlitteraire.com présente ‘’Orlando, a biography’’ (1928) ''Orlando'' (1929) roman de Virginia WOOLF pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse (page 8) l’intérêt de l’action (page 9) l’intérêt littéraire (page 18) l’intérêt documentaire (page 27) l’intérêt psychologique (page 35) l’intérêt philosophique (page 39) la destinée de l’œuvre (page 45) Bonne lecture ! http://www.comptoirlitteraire

matinée ordinaire. À sept heures, le carillon de la chapelle recommence à ponctuer la fuite du temps, quart d’heure par quart d’heure. Après la trêve de la nuit, mes bronches encombrées se remettent à ronfler bruyamment. Crispées sur le drap jaune, mes mains me font souffrir sans que j’arrive à déterminer si elles sont brûlantes ou glacées. Pour lutter contre l’ankylose je déclenche un mouvement réflexe d’étirement qui fait bouger bras et jambes de quelques millimètres