Mediocrité Dans Madame Bovary

des bourgeois et des pédants, goût des questions psychologiques et morales. Quelques œuvres ou auteurs précieux : - en poésie : Voiture et Benserade. - dans le genre romanesque : L'Astrée d'Honoré d'Urfé, Le Grand Cyrus et Clélie de Mlle de Scudéry. Madame de Lafayette fut influencée par la Préciosité, on relève certains éléments précieux dans La Princesse de Clèves. LE CLASSICISME (1610-1660)  Il est caractérisé par l’exercice de la raison dans les règles établies, il recherche la pureté et la clarté

Révolution de 1830 apporte son lot de désillusion suivit de la Révolution de 1848. Le roi est à cette époque Louis Napoléon Bonaparte, son règne traduit une forte instabilité politique. Le romantisme est une aspiration de la jeunesse et s’oppose à la médiocrité de la bourgeoisie. Les romantiques mettent en valeur l’expression du moi sensible. Ce mouvement s’oppose à la rigueur classique et au rationalisme des Lumières. Le précurseur du Romantisme est le livre Rêverie du promeneur solitaire de Jean Jacques

faire dans ce volume mais s il se fait le fossoyeur des illusions romantiques, c'est peut-être pour en avoir subi la constante tentation, dans la vie (le grand amour pour Mme Schlesinger nourrit L 'Éducation sentimentale), dans l'imagination (« Madame Bovary, c'est moi »), dans l'écriture même: les carnets de voyage en Égypte contiennent des images qui semblent appartenir à Chateaubriand ou à Hugo. GAUTIER (Théophile, 1811-1872). Grande figure du Romantis me, comme Dumas, il a souffert, comme lui,

la société. L’idéal chevaleresque de Don Quichotte devient ridicule dans une société qui délaisse la vertu guerrière pour le sens des affaires. L’écart avec l’idéal, créant la dimension critique du roman, est une constante du genre. En 1857, Madame Bovary de Flaubert reprend ce schéma : les rêves de l’héroïne contrastent avec sa vie réelle de femme mariée à un médecin sans culture. - Au XVIIIe siècle Les lecteurs se passionnent pour des personnages à la sensibilité tourmentée, dont le naturel se

l’écriture du vide » Mémoire dirigé par Mme Aline MURA-BRUNEL. Soutenu en mai 2008. dumas-00498644, version 1 - 8 Jul 2010 4 Remerciements dumas-00498644, version 1 - 8 Jul 2010 D’ores et déjà, je tiens tout particulièrement à remercier Madame Mura-Brunel pour tous les précieux conseils qu’elle m’a donnés au cours de ma recherche, pour les ouvrages qu’elle a pu me conseiller et qui m’ont été fort utiles, pour ses lectures et ses commentaires de mon mémoire, mais également pour sa patience

Héloïse B/ … au libertinage 1° L’autre face des choses : l’amour dans l’œuvre épistolaire de Laclos 2° Sade ou l’amour maléfique V ) L’amour au siècle du romantisme A/ L’amour réaliste 1° Mme Bovary : le chef d’œuvre du roman réaliste 2° L’éducation sentimentale : le réalisme moral B/ L’amour au naturel VI ) Qu’en est-il de l’amour dans la littérature de notre siècle ? A/ Vision surréaliste de l’amour B/

parisien, là où Baudelaire et les Goncourt découvriront plus tard le symbole de la vie moderne. Tout un Paris va surgir de ses descriptions romanesques. Ainsi l’univers du Père Goriot est lié à celui de la pension Vauquer (cf. l’incipit de l’œuvre : « Madame Vauquer, née à Conflans, est une vieille femme, elle tient à Paris une pension bourgeoise établie rue Neuve-Sainte-Geneviève, 8 entre le Quartier latin et le faubourg Saint-Marceau… »). Au début du roman, le réalisme du lieu est rapidement débordé

comique (p. 46 ES/S et Techno / p. 48 L/ES/S) SÉQUENCE 2 – Le portrait dans les romans du XVIIe siècle au XXe siècle • Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves (p. 66 ES/S et Techno / p. 68 L/ES/S) • Paul Scarron, Le Roman comique (p. 68 ES/S et Techno / p. 70 L/ES/S) Séquence 3 – De la rencontre amoureuse à la séparation dans les romans du XVIIe siècle au XXe siècle • Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves (p. 84 ES/S et Techno / p. 86 L/ES/S) Le XVIIIe siècle : le personnage est

que, désormais, le romancier se fasse l'historien du présent. Réalisme et naturalisme • Le « petit fait vrai » En situant ses romans dans une époque récente, Stendhal s'écarte du genre historique. Si ses héros, déchirés entre leurs idéaux et la médiocrité que leur impose la société, restent tributaires d'une vision romantique du monde, il ouvre cependant la voie d'un réalisme nouveau. Il entend fonder sa fiction sur l'étude du vrai et copier la réalité d'après nature. Dans Le Rouge et le Noir (1830)

avec ses amis, sa liaison avec LOUISE COLET (femme de lettres, 1810-1876) ; il se consacre désormais à ses romans, composés patiemment, au prix d’un labeur méthodique et acharné. Au retour de son voyage en Égypte, il passe quatre ans à écrire « Madame Bovary » (1857), après son voyage en Tunisie en 1858, il donne « Salambô », son roman historique, en 1862. Enfin il entreprend le projet de l’ « Éducation sentimentale » et rédige sa deuxième version en 1869 dont l’échec lui cause une immence déception