Méditation Grisâtre Solitude

CORRIGE : Méditation grisâtre de J. LAFORGUE Question 1 Le sonnet Méditation grisâtre nous présente un individu solitaire confronté à l’ensemble des éléments qui composent la nature, éléments marin, céleste et aérien, et aussi terrestre, dépeints grâce à des expressions le plus souvent redoublées dans le sonnet. Les caractéristiques de ce paysage correspondent bien à l’adjectif «grisâtre» du titre, avec «un ciel pluvieux» et «le grand ciel gris», les «brumes sales» et «le brouillard», «l’Océan

plusieurs travaux, et notamment des recueils de poésie dont le plus célèbre reste Complaintes, publié à l’âge de 25 ans. Il fréquenta d’abord Charles Cros et les milieux « décadentistes », avant de partir en Allemagne. Le poème intitulé « Méditation grisâtre » est un sonnet qui décrit un Océan déchaîné à travers les yeux d’un poète isolé et perdu sur un îlot face (ou au milieu) de l’Océan. Il s’agira de voir quelle description de l’Océan est ici proposée et quelle signification celle-ci revêt-elle

Le poème « Méditation grisâtre » extrait des Œuvres complètes a été écrit par Jules Laforgue en 1880. Laforgue s’est inspiré du mouvement artistique de son époque : le romantisme. Ce mouvement consiste à définir un passage descriptif ou l’écrivain représente un paysage ressemblant à un tableau. Ce paysage doit faire naitre des émotions et refléter des émotions intérieures chez celui qui le contemple. Telle que les poètes romantiques du début du XIX°, Laforgue respecte la forme du sonnet. La disposition

des recueils de poésie tels que «Les complaintes» et «L'imitation de Notre-Dame la Lune». «Médidation Grisâtre» écrit en 1880 est un poème avec rime embrassées ABBA qui décrit un individu isolé et mélancolique, assistant au déchainement de l'océan. L'examen du texte portera d'abord sur la description du paysage marin, puis l'analyse de la solitude et de l'angoisse du poète. Dans méditation grisâtre, Laforgue se sert de la nature pour écrire un poème à caractère descriptif dans lequel il se retrouve

et perçu sans enjoliver la réalité, comme le montre le passage suivant : « la rivière qui coulait entre les quais grisâtres, noircis, de place en place, par la bavure des égouts, avec un ponton de blanchisseuses amarré contre le bord, où des gamins quelquefois s’amusaient, dans la vase, à faire baigner un caniche ». Cette description des quais est péjorative. Les adjectifs « grisâtres » et « noircis » et les mots « égouts » et « vase » montrent le côté sombre, sale et repoussant de cette partie de

révèle ses méditations : énumération l.19-20 « s’abandonnait à une méditation désordonnée : plans d’ouvrages, projets de conduites… » inactif et velléitaire (qui n’a que des intentions fugitives, non une volonté déterminée) . comportements de Frédéric : son caractère . apparaît d’abord très statique, immobile l.1 « Il passait des heures à regarder » ou couché ( divan ) . Etre passif, se laissant aller à ses rêveries l. 19 « s’abandonnait à une méditation » ou se baladant

Description détaillée du lieu Dans cette description l’auteur utilise un vocabulaire très précis pour dépeindre un lieu. Tous les lieux évoqués dans cet extrait sont accompagnés d’un adjectif ou d’un détail d’une grande précision. « entre les quais grisâtres » (l.1-3), « le pont de pierre de Notre-Dame » (l.4), « pareils aux tilleuls du port de Montereau » (l.5-6). La direction est utilisée pour accentuer la précision de l’emplacement des lieux, « à gauche le pont de pierre de Notre-Dame » (l. 4). «

entier et de tous les temps, mis en images par des plasticiens et des vidéastes dans des courts métrages originaux, avec les voix de Michael Lonsdale, Tcheky Karyo, Caroline Brulé, Marc Brunet : Un homme passe sous ma fenêtre et chante (Aragon), Méditation grisâtre (J. Laforgue), Correspondances (Baudelaire), Sonnet de Paradis (Saba), Le pont Mirabeau (Apollinaire), Asseyons-nous tous deux près du chemin (Verharen), D’une prison (Verlaine) Poética : pour un univers imaginaire.- Sombrero Productions

Paillet), offre au lecteur une série des tableaux de Paris. Premièrement, c’est la Seine qui est décrite comme « la rivière qui coulait entre les quais grisâtres, noircis ». La Seine n’est pas une rivière naturelle mais un fleuve urbain limité par les bords bétonnés qui restreignent son étendu. Ces bords bétonnés incluent des quais qui sont « grisâtres » et « noircis » ce qui souligne le caractère urbain et industriel de la Seine. De plus, la Seine elle-même est sale et par le fait qu’elle coule « par

combativité. *Si la partie arrière est plus développé (après milieu de l’oreille) : la réceptivité est plus importante que l’engagement et la confrontation, on la rencontre chez des personnes plus solitaires qui ont des périodes de retraites et de méditation, qui préfèrent administrer et gérer que combattre et s’exposer. -Les personnes qui ont été plus protégés dans leur enfance ont donc le côté gauche plus dilaté. Puis lorsqu’ils ont dû se confronter à la réalité sans protection, ils se sont alors