Méditation

Le lac Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques, 1820 Introduction :Ce poème appartient au reccueil Méditations poétiques qui est le premier reccueil de Lamartine et qui est considéré comme le point de départ de la poésie romantique francaise. Julie Charles, la muse du poète n'avait pas pu se rendre en aout 1917 au lac du Bourget où elle devait revoir Lamartine.Lamartine revient seul revoir les lieux qu'il a visités autrefois avec elle. Surpris de trouver la nature toujours semblable

belle. " J'enfouis ce trésor dans mon âme immortelle, Et je l'emporte à Dieu ! (Recueil : Poésies nouvelles) La nature : La Nature pour plusieurs poètes romantiques est comme l'incarnation la plus tangible de Dieu. C'est un lieu propice à la méditation, la mélancolie rappelée par le cycle des saisons .Elle est son lieu de repos, de recueillement; en s'y arrêtant, on oublie la société, les tracas de la vie mondaine. Elle est comme sa mère, sa consolatrice, sa confidente. Elle est un témoin de son

sans illusion ? » Texte 1 : IIème Méditation Métaphysique – Descartes (p25) Para 1 : Rien au monde n'est certain → Déséspoir → Qu'est qui est certain ? → Rêve ? Para 2 : Le Cogito : évidence, certitude → « Pour penser, il faut être » Texte 2 : II ème Méditation Métaphysique – Descartes Question sur son existence : « Mais qu'est ce donc que je suis ? ... » Ligne 1 Ligne 2 = Définition d'une chose pensante Texte 3 : I ère Méditation Métaphysique – Descartes Para 1 :

Hugo Simon TE Philosophie 1 Sujet 3 : l’évidence cartésienne Le philosophe René Descartes, dans ses Méditations métaphysiques, a expliqué comment mener sa pensée de manière claire et méthodique sur le model des mathématiques ce qui ne laisse aucune place à l’incertitude. Cependant la philosophie est basée sur l’étonnement et l’interrogation de toute chose. Il est donc étonnant de voir comment Descartes applique sa philosophie de manière logique. Pour commencer

sens». I) L'automne constitue une saison mentale pour le poète II) Le lyrisme de la Nature et le romantisme Commentaire : « L’Automne » in Méditations poétiques, Lamartine Recueils poétiques d’Alphonse de Lamartine (1790-1869), publiés à Paris en 1820 (avec un «Avertissement de l’Éditeur» signé Eugène de Genoude, ami de Lamartine), Les Méditations poétiques comprennent dans l’édition originale vingt-quatre poèmes ; le premier recueil s’augmente dès avril de deux pièces écrites en 1817 et 1819

ne suis point emporté vers un côté plutôt que vers un autre par le poids d’aucune raison, est le plus bas degré de la liberté, et fait plutôt paraître un défaut dans la connaissance, qu’une perfection dans la volonté […] Descartes, Méditations métaphysiques, 4e méditation En effet, d’ordinaire, on sent que l’on est libre quand on a à faire un choix entre deux ou plusieurs possibilités, sans que rien ne nous pousse vers telle ou telle possibilité : tout ne dépend plus que de moi, de mon choix. Ce serait

Principales oeuvres poétiques: 1 ) Premières Méditations poétiques(1820) 2) Nouvelles Méditations poétiques(1823) 3) Le dernier chant du pèlerinage de Child Harold(1825 4) Harmonies poétiques et religieuses(1830) 5) La Chute d'un Ange.(1838) 6) Recueillements poétiques(1839) 7) Jocelyn(1836) 8) La Vigne et la Maison(1857) Les Premières Méditations poétiques, parues en 1820, contiennent

un an plus tard et auquel elle n’est jamais venue car elle était en train de mourir. Après cette triste relation, Alphonse épouse une jeune anglaise dévouée et admirative. En 1820, année de son mariage, suite à plusieurs deuils, il publie les Méditations poétiques. Ce recueil de 24 poèmes mélancoliques ou exaltés (dont « Le Lac ») lui apportera le succès. Ce livre est considéré comme le point de départ du romantisme en France et Lamartine sera reconnu par les jeunes romantiques comme leur maître

établit un rapport entre le sujet (celui qui voit) et la chose (ce qui est vue), peut-on dire que le fait de voir est un phénomène passif identifiable à la sensation? S’agit-t-il d’une pure réception intérieure des objets du monde? Dans son œuvre Méditations métaphysiques (1641), le philosophe français du XVIIe siècle, René Descartes, soutient toutefois l’hypothèse selon laquelle la perception est une « inspection de l’esprit » et non seulement une « vision ». Selon lui, la perception est une expérience

de son propre ouvrage, le traité du monde et de la lumière (1632), dans lequel il défendait la thèse de l'héliocentrisme8. Ce traité ne fut publié qu'en 1664. Il inaugura sa carrière philosophique avec le Discours de la méthode (1637). Dans les méditations sur la philosophie première (1641), Descartes décrivit une forme de doute, très axée sur le sujet, qualifiée quelquefois d'hyperbolique. Descartes cherchait à refonder la philosophie sur un principe premier, le cogito, appelé à remplacer la cause