Melancholia Les Contemplations

poésie peut, elle aussi, émouvoir le lecteur, l’apitoyer, et donc le persuader. Ce genre est très apprécié pour son côté esthétique, mettant en valeur la beauté de la langue. Ainsi, Hugo dénonce le travail des enfants dans son poème « Melancholia », extrait des Contemplations. A travers des vers et des rimes d’une beauté remarquable, Hugo souligne, à travers les champs lexicaux de la prison et de l’enfer, la difficulté, l’inhumanité du travail infligé aux enfants. Son indignation suffit à émouvoir, à persuader

inhumaines du travail des jeunes enfants au XIXe siècle, Hugo « donne » – au sens littéral – la parole à ces pauvres victimes : « Ils semblent dire à Dieu : – Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes. » (« Melancholia », Les Contemplations.) Dans Les Châtiments, pour dénoncer la tyrannie de Napoléon III, il fait parler l’Aigle, les Chiens, un Voleur, un Forçat (« Je suis forçat, voici la chaîne que je porte »), mais aussi l’Épée, la Mer, la Borne du chemin, la Patrie

Introduction : Depuis le XIXe siècle, les poètes défendent et dénoncent des causes politiques, culturelles, morales, sociales ou même religieuses. C’est ce qu’on appelle la poésie engagée. Dans le recueil “Les Contemplations” , Victor Hugo raconte 26 ans de sa vie de 1830à 1856. Poète militant, il y témoigne également de nombreux engagements personnels. En effet, Victor Hugo nous indique

ses poèmes, pour laquelle il a une grande admiration. Cette femme représente sa mère qui était veuve car il y a chez Baudelaire le rappel de cette relation fusionnelle entre sa mère et lui... Ainsi nous pouvons citer le livre I du recueil Les Contemplations de Victor Hugo. Dans ce livre Victor Hugo évoque son expérience de la vie et de la poésie : ses premiers émois d'adolescent dans le poème Lise, ses souvenirs de collèges dans le poème A propos d'Horace, ou bien encore ses premières luttes littéraires

veuve (le père de Baudelaire est mort 6 ans après la naissance de son fils), et avec qui Baudelaire avait une relation fusionnelle. Sa mère est entre autre présente dans le poème A  une passante Aussi nous pouvons citer le livre I du recueil Les Contemplations (1856) de Victor Hugo. Dans ce livre, l’auteur évoque son expérience dans la vie, mais aussi dans la poésie: ses premiers émois d’adolescent dans le poème Lise, ses souvenirs de collège dans le poème A propos d’Horace ou encore ses premiers luttes

français, principalement connu comme étant le chef de file du romantisme et pour ses œuvres le dernier jour d’un condamné, les misérables ou encore les contemplations. Cette dernière est un recueil de 158 poèmes, publié en 1856, rendant principalement hommage à sa fille Léopoldine morte en 1843. Dans cette œuvre nous étudierons un extrait du poème Melancholia, du 3e livre.Pb : comment Hugo dénonce-t-il la cruauté de l’Homme à travers ses observations sur le travail forcé des enfants ?Axe 1 : le triste et

obsédé par le temps qui passe. Il veut qu'il« suspende son vol » pour « savourer les rapides délices » des leurs jours. Il en est de même pour Hugo qui célèbre le souvenir de sa fille Léopoldine, morte accidentellement, dans Demain dès l'aube (Les Contemplations). Pour Musset, l'inspiration poétique proviendrait de la souffrance : "Les plus désespérés sont les chants les plus beaux"_, dit-il dans le poème intitulé La nuit de mai. _ __ Le thème le plus raconté est celui du sentiment amoureux. Les

avec son mari Charles Vacquerie dans le naufrage de leur barque. Victor sera terriblement affecté par cette mort qui plongea le poète dans une profonde douleur et le rendit muet pendant plusieurs années puis lui inspirera plusieurs poèmes des Contemplations — dont son célèbre « Demain, dès l'aube, à l’heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. J’irai par la forêt, j’irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. » Détourné de l’activité

sa peine. La douleur ainsi exprimée peut provenir d'un deuil, il s'agit alors de rappeler l'être aimé dans son souvenir, Le Lac de Lamartine, p. 110. De même pour Hugo qui célèbre le souvenir de sa fille Léopoldine, morte accidentellement, Les Contemplations, p.114C-Elle favorise l'épanchement du cœur, de la tristesse voire de la douleur, et possède donc une puissance libératrice aux yeux poète. Le Moi souffrant s'exprime : il correspond au courant romantique.-Baudelaire en est le digne représentant

France il a écrivit des œuvres célèbres comme « Napoléon le Petit » ; « L’Histoire d’un crime » (des pamphlets politiques en prose) ; « Les Châtiments » en 1853 qui étaient des satires contre les hommes de l’Empire (du Second Empire) ; « Les Contemplations » en 1856 ; « Les Misérables » en 1862. Après avoir revenu à Paris, sous la Troisième République, il vit le siège de 1870 et la guerre de 1871, qui lui donnent l’inspiration pour écrire « L’Année terrible ». Il est nommé sénateur par le collège