Mélodrame

tragiques se mettent en place dans les quatre dernières scènes de l’acte III ? 33) comment la succession des scènes 5,6, et 7 de l’acte III mettent-elles en relief l’amertume politique de Musset ? 34) en quoi la pièce de Musset relève du mélodrame ? 35) dans quel objectif Musset fait-il alterner accélération et ralentissement dans l’acte IV ? 36) quelles formes et quels enjeux prend le monologue dans l’acte IV et dans la dramaturgie de Musset ? 37) Quels choix dramaturgiques

didascalie coupant l'alexandrin (v777) en 2 hémistiches marque le passage de l'émotion à l'inquiétude -elle entrevoit la lutte entre le bien et le mal -l'amant est vue comme le protecteur à la différence de don Salluste qui représente le traite du mélodrame -construction parallèle et antithèse : « me protège/m'accable » , « un ange/un spectre » « m'aime/me hait » -la conscience de sa faiblesse et l'intuition du danger conduisent la reine à la prière II) La prière à la vierge (v786-793) La prière

le genre du drame romantique. Drame romantique: Le drame romantique est une forme littéraire appartenant au genre du théâtre, née au début du XIXe siècle dans le sillage du drame bourgeois du XVIIIe siècle et influencée par le développement du mélodrame. Racine et Shakespeare, l'œuvre de Stendhal parue en 1823, et surtout la Préface de Cromwell (1827) de Victor Hugo, le théoricien de ce nouveau genre, en sont les textes fondateurs. Cette forme se caractérise par sa rupture avec les règles aristotéliciennes

à quinquets : échelles munies de lampes formant des rampes d’éclairage. 4. acteurs plâtrés : acteurs dont le visage est excessivement maquillé. 5. comparses : acteurs qui remplissent un rôle muet, personnages dont le rôle est insignifiant. 6. mélodrame : œuvre dramatique accompagnée de musique.

défendre les libertés, parler pour des plus humbles exemples  Racine, Andromaque (1667)  Molière, Tartuffe (1669)  Hugo, Hernani (1830) Genres voisins  Tragi-comédie, comédie héroïque, drame, mystère  Farce, comédie-ballet, vaudeville, pastorale  Mélodrame, Grand-Guignol, mystère

le rire et les larmes et inversement (Le mélodrame est l ’avatar du drame après la Révolution.) Voir Sedaine, Mercier (La Brouette du vinaigrier), Beaumarchais (La Mère coupable) pratiquent le drame bourgeois et Lessing en Allemagne développe le drame. En France, l’évolution est chaotique en raison de l’Histoire. Dans le mélodrame, sorte de drame hyperbolique, tout est poussé à l’extrême et donne naissance au drame romantique. Victor Hugo part du mélodrame pour arriver au drame. Ses ambitions : 

moyenne et des évènements communs qui se termine bien, et dont le but est de faire rire . Drame : Toute pièce de théâtre ( un auteur de théâtre est un dramaturge) Farce : Petite pièce de théâtre d'un comique volontairement primaire et grossier. Mélodrame : Drame populaire dont l'intrigue est invraisemblable et dans lequel tout est outrancier et vise a faire pleurer. Tragédie : Pièce de théâtre dans laquelle les héros sont de rang élevé, les évènements exeptionnels et la fin malheureuse. Les sentiments

4) → car grande souffrance morale - Elle est prise d’une crise de tremblement (l.21) après un passage où elle est restée immobile - Comparaison « comme une voile qu’agite le vent » (l.22) : Jeanne ne peut rien contrôler - Scène proche du mélodrame : « cassée ; épouvantable ; tortures ; trahison ; désespoir » - Tension dramatique, sorte de suspens → risque d’accident ou de suicide - Interruption brutale : « Et soudain » - Discours indirect libre (l.30) : « Et maintenant ! maintenant ! Oh

Vieille. Dans cette pièce on retrouve aussi le mélange de deux styles différents: de la tragédie et de la comédie. „La tragi-comédie est un style de jeu dramatique ou d'écriture théâtrale mêlant divers genres théâtraux- Comique,tragique, farce, mélodrame ou autres” . Dans Les Chaises ce mélange se manifeste tout d'abord dans le comportement des personnages. Dans un moment ils sont très heureux, pleins d'énergie contents de sa vie, mais dans un autre ils sont tristes, déprimés et n'ont aucune

L'Herbier, Germaine Dulac et Jean Epstein. La volonté de ces auteurs était de rompre avec un certain conformisme narratif. Ils rejettent les films à épisode (les « abominations feuilletonesques » de Feuillade, selon l'expression de Delluc) et autres mélodrames à scénario rocambolesque et aux intertitres ridicules. Pour ces jeunes cinéastes, l'image doit se suffire à elle-même. Le cinéma doit s'extirper de l'influence théâtrale et conquérir son indépendance et son individualité artistique. Ils rêvent d'un