Memoire Aide Soignant Psychiatrie

......................................................................................20 Dictionnaire, encyclopédie .............................................................................................................................21 Mémoire de fin d’études .................................................................................................................................22 Revue ...........................................................................................

Psychiatrique de Bingerville (HPB) Mr KOUANGOUA Bady Bertin MESSIEURS KOUAME Becanty Armel (Educateur spécialisé) BLEHIRI Mayeul (Maitre d’éducateur spécialisé) Dr KONE Adama (Médecin psychiatre) KAKOU Alain (Major, Infirmier specialist en psychiatrie ) ACHI Seka (Surveillant general) MESDAMES Mme MONNE Valerie (Educatrice spécialisée) Mme DOSSO Mawa (Chef de personnels) INTRODUCTION Le problème majeur des pays en voie de développement est celui de la sécurité sociale

stopper le traitement en cours nécessaire au maintien en vie. L’euthanasie volontaire est l’euthanasie qui intervient à la demande du patient. Enfin il y a ce que l’on appelle l’aide au suicide dans ce cas le patient accomplit lui-même l’acte mais il est aidé par un tiers qui lui fournit les renseignements ou les moyens pour la mise en œuvre de l’acte. L’euthanasie active (tuer pour supprimer sa souffrance) a servi au XXème siècle de justification à l’eugénisme. « Autrefois synonyme de mort calme et sans

vétérans qui ont réfléchi à la pré-URCAM lorsque l’Assurance Maladie est entrée sur le terrain de la Santé Publique, ce qui n’était pas son terrain naturel. Par ailleurs, je suis le Directeur adjoint du Groupement Régional de Santé Publique (GRSP) qui, aidé d’une loi de mars 2004, a la vocation de mettre en œuvre la loi de santé publique au niveau de chaque région. Le Président du GRSP est le Préfet de Bourgogne, le Directeur du GRSP est monsieur Patrice Richard, Directeur de la DRASS et l’État a estimé

I. Présentation de la structure : L’Emeraude est un lieu d’écoute, d’entraide, de solidarité. Une association absolument nécessaire pour éviter les rechutes et les ré-hospitalisations. Elle est gérée par les usagers et ex-usagers de la psychiatrie. C’est un lieu d'accueil dont la fréquentation est libre, il assure le maintien du lien social permettant de rompre l'isolement des adhérents. L’association a été créée en Septembre 2006 et a ouvert ses portes en mai 2007. Conformément à la loi

drogues, l’iproniazide, a d’abord été utilisée dans le traitement de la tuberculose. Ensuite, lorsque les médecins ont remarqué que les patients prenant cette drogue devenaient plus alerte et de bonne humeur, ils l’ont testée sur des patients en psychiatrie. De nombreux patients désespérés et sans espoir devinrent alors actifs, loquaces et alertes après l’administration d’iproniazide ou autres stimulants. En fait, les patients traités avec ces drogues devenaient parfois tellement actifs qu’ils éprouvaient

..................34 Création des consultations mémoire dans les zones non pourvues .......................36 Création de « centres mémoire de ressources et de recherche » dans les zones non pourvues...............................................................................................37 2 mesure n° 13 mesure n° 14 mesure n° 15 Objectif n° 5 mesure n° 16 mesure n° 17 mesure n° 18 mesure n° 19 Renforcement des consultations mémoire à forte activité...............................

principalement  les  jeunes  adultes, orientés par la justice ou en situation de comorbidité, qui s’adressent aux médecins de premier  recours  parce  qu’ils  se  sentent  dépendants.  À  l’inverse,  les  plus  jeunes  usagers  sollicitent  rarement  une  aide et ne ressentent aucun problème à consommer. Pourtant, dès 15‐16 ans, près de 9 % des adolescents  présentent  un  risque  élevé  d’usage  problématique  de  cannabis,  défini  comme  un  usage  susceptible  d’induire  des  dommages  sanitaires  et 

soutien de la pratique L’objectif de l’action prioritaire 6 est de reconnaître l’investissement dans la formation comme l’une des stratégies requises pour rehausser la qualité des soins et valoriser le rôle des gestionnaires, des professionnels et des soignants, tout en contribuant à leur recrutement et leur rétention. Les quatre recommandations ciblent tous les acteurs concernés (décideurs, gestionnaires, professionnels et autre personnel) par des mesures de formation applicables à différents contextes

s’accompagne de troubles du jugement et de la perception. S. FREUD range dans la paranoïa non seulement le délire de persécution mais l’érotomanie, le délire de jalousie et le délire des grandeurs. Les deux formes cliniques de la Paranoïa La psychiatrie distingue classiquement les délires passionnels et les délires d’interprétation. Les délires passionnels Pour les premiers, on connaît surtout l’érotomanie, le délire de jalousie et le délire de revendication. L’érotomanie est l’illusion