Memoire Epargne Retraite

KGB est toujours active et traque sans relâche les suspects. Le changement continue avec l’adoption de plusieurs réformes au niveau économique, social, militaire et politique sans oublier la course à la découverte de l’espace, désormais rien n’est épargné ! Au niveau économique : L’URSS tente de relever l’économie et d’améliorer la qualité avec l’aide de l’économiste Liebermann. Ces réformes consistaient surtout à la création des plans septennaux ainsi qu’un conseil économique pour suivre les progrès

Au congrès de 1970, le rapport intitulé La prise en main de nos responsabilités dans nos caisses de retraite est un pas vers notre libération économique a mis en lumière l’absence de contrôle des travailleurs sur les fonds de pension en entreprise. Le congrès de 1984 a consacré une partie importante de ses délibérations à ce sujet et résolu de créer de nouveaux outils collectifs afin que les épargnes collectives des travailleurs contribuent au mieux-être des épargnants et au développement de l’emploi

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .108 3.2 Bon de capitalisation (bon de capi) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .111 3.3 Plan d’épargne retraite populaire (PERP) . . . . . . . . . . . . . . . . . .113 3.4 Plan d’épargne en action (PEA) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .115 3.5 Loi Madelin (retraite) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .116 3.6 Plan d’épargne entreprise (PEE) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .108 3.2 Bon de capitalisation (bon de capi) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .111 3.3 Plan d’épargne retraite populaire (PERP) . . . . . . . . . . . . . . . . . .113 3.4 Plan d’épargne en action (PEA) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .115 3.5 Loi Madelin (retraite) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .116 3.6 Plan d’épargne entreprise (PEE) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

D’ETUDES BANCAIRES MEMOIRE DE FIN D’ETUDES Thème: LA GESTION DU RISQUE DE LIQUIDITE DANS LES BANQUES Présenté par : Promoteur : BOUKHORS Abdenour M. S. MESSAOUDI 4ème promotion Directeur Central CNEP/Banque Encadreur : M. N. HADJI Directeur Central ABC Algeria Septembre 2002 A mes parents… A mes frères… Mémoire de fin d’études Remerciements REMERCIEMENTS Je tiens à exprimer ma gratitude et mes plus vifs remerciements à : • M. MESSAOUDI, le promoteur du mémoire, qui m’a soutenu tout

. . . . . . . . 74 4.5.1 Investissement et cours boursier . . . . . . . . . . . . . . . 74 4.5.2 Consommation et cours des actions . . . . . . . . . . . . . 78 Marchés …nanciers et prix du risque . . . . . . . . . . . . . . . . 85 4.6.1 Le choix épargne/consommation avec une multitude d’ actifs 85 4.6.2 Le prix des actifs en équilibre général . . . . . . . . . . . 87 4.6.3 Le prix du risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94 4.6.4 Le paradoxe de la prime de risque . . . . . . . . .

REPUBLIQUE DU BENIN FRATERNITE- JUSTICE-TRAVAIL **** MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE **** ECOLE PIGIER COTONOU **** Diplôme Supérieur de Spécialité (DSS) MEMOIRE DE FIN DE FORMATION THEME Présenté et Soutenu par : AKOUETE K Rachette et YASSO Désiré ANNEE ACADEMIQUE : 2006-2007 ► A la Famille PLANCHOT de Saint Cloud en France pour son soutien ► A mon oncle M. DOSSIA Sagui Célestin et son épouse Angèle

|6 | | |Localisée |5 | | |Retrait |4 | | |Flexion |3 | |

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .108 3.2 Bon de capitalisation (bon de capi) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .111 3.3 Plan d’épargne retraite populaire (PERP) . . . . . . . . . . . . . . . . . .113 3.4 Plan d’épargne en action (PEA) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .115 3.5 Loi Madelin (retraite) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .116 3.6 Plan d’épargne entreprise (PEE) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

rappelant les chefs d’accusation qui pèsent sur le condamné. Au centre, tenant dans la main la corde qui actionne la guillotine, on peut reconnaître Georges Clémenceau, le Président du Conseil français, dans le rôle du bourreau. A droite, un peu en retrait, se trouve David Lloyd-George, le Premier ministre britannique. Jouant le rôle du juge, il tient entre ses mains le texte du traité de Versailles, qui est un verdict de condamnation à mort pour l’auteur du dessin. Ces trois responsables politiques