Memoire La Gestion Du Risque De Liquidité Bancaire

Adresse : Direction Nationale de Yaoundé | B. P. 83-Yaoundé, | Capital | 88 milliards de F CFA | Actionnaires | le Cameroun, le Congo Brazzaville, le Gabon, la Guinée, la République Centrafricaine et le Tchad. | Secteur d’activité | Tertiaire (bancaire) | Activité | Contrôle | Téléphone | 22 23 33 90/ 22 23 35 49 | Site web | www.beac.int | Source : élaboré à l’aide des informations collectées à la BEAC Direction Nationale de Yaoundé La Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC)

pouvons dire que la banque contribue beaucoup à la croissance économique d’un pays. Le choix de notre thème « Processus4 et Gestion des Crédits Octroyés aux Particuliers »nous permettra de faire une étude sur la gestion du crédit bancaire aux particuliers à UBA. Pour mieux structurer notre travail, nous l’avons articulé sur trois (3) points qui sont répartis de la manière suivante : La première partie présente le cadre institutionnel

 Epigraphes « Chaque rencontre et chaque action que l’homme effectue représentent un risque, mais le mieux est de savoir comment le surmonter ». (Citation de Francesco Alberoni ; Œuvre : L'amitié – 1984.) « Le crédit est la seule aumône qu'on puisse faire à un grand État ». (Citation de Rivarol ; Œuvre : L'esprit de Rivarol – 1808) « La confiance n’exclut pas le contrôle  car le trop de confiance attire le danger. » (Citation de Lénine)

intérieures, il pourrait y avoir un risque d’éviction des investisseurs privés. Les autorités ont pris des mesures importantes pour encourager l’intermédiation financière, l’épargne et les nouveaux produits financiers. Le financement des banques marocaines, qui comprend le financement des filiales étrangères, repose essentiellement sur les dépôts marocains en dirhams, ce qui pourrait contribuer à limiter les risques liés au resserrement de l’offre de liquidités sur le marché monétaire de la zone euro

L’évaluation du risque de crédit en fonction des accords de Bâle II Cas de la Banque Populaire régionale de Marrakech-Beni Mellal Les accords de bale II et la gestion du risque de crédit Table des matières Introduction générale……………………………………………………………………………..…...5 Première partie : enjeux Bâle II pour la gestion du risque de crédit………………………….……8 Introduction à la première partie………………………………………………………………….....9 Chapitre I : fondements théoriques du risque de crédit……………………………………..….....10 Section

du système bancaire national, frappé d’obsolescence du fait de la nouvelle politique économique adoptée, est devenue donc nécessaire : une réforme bancaire globale s’imposait. Cette réforme a été marquée par la promulgation de la loi 90- 10 du 14 avril 1990, modifiée et complétée par l’ordonnance 03.11 du 26 Août 2003 relative à la Monnaie et au crédit, véritable symbole de la rupture avec les pratiques anciennes basées sur le « tout dirigé » et du retour à l’orthodoxie bancaire traditionnelle

manière très rapide grâce à des technologies informatiques très avancées qui ont gagné l’ensemble de la planète. C’est dans cet environnement que s’inscrit la réforme bancaire au Maroc teintée par une politique fondée sur les mécanismes du marché de crédit et le contrôle indirect. La réforme du système financier et bancaire marocain est fortement inspirée des innovations observées au niveau international, elle se veut un moyen au service des réformes entreprises dans le cadre économique, et

précieuse qui nous a été apportées pour guider notre démarche. A cet égard, nous tenons à formuler notre profonde gratitude à M.BIADE qui nous a encadré tout au long de notre travail et nous a fourni tous les conseils nécessaires à l’élaboration de ce mémoire. Nos remerciements vont également à tous nos proches qui nous ont soutenus durant toute la période d’étude à l’ISCAE, nous les saluons pour leur compréhension et leur amabilité. Nous tenons à remercier également le corps professoral et administratif

remboursement dans un délai généralement convenu par avance. Le cédant devient alors un créancier et le cessionnaire un débiteur ; crédit et dette sont donc des termes qui décrivent une même opération considérée de deux points de vue opposés : 1° le crédit bancaire sont accordés par les banques et prennent la forme de prêts, d'opérations d'escompte ou découvert de compte 2° Obligation en économie, titre de créance négociable représentant tout une fraction d'un prêt à intérêt. Les obligations sont des produits

immobilisé AC : Actif circulant ANIF : Agence nationale d'investigation financière BEAC : Banque des Etats de l'Afrique Centrale BICEC : Banque internationale pour le commerce et l'épargne du Cameroun BFR : Besoin en fonds de roulement COBAC : Commission bancaire d'Afrique Centrale CVECA : Caisses villageoises d'épargne et de crédit autogérées DSX : Douala stock exchange F CFA : Franc de la coopération française d'Afrique GABAC : Groupe d'action contre le blanchiment de l'argent en Afrique centrale ET : Endettement