Mémorial de la Résistance

Juifs et des Tziganes Thème 2 : Effondrement et refondation républicaine, la vie politique en France de 1940 à 1946 Séance 4 Séance 5 Séance 6 Séance 7 La défaite de 1940 et ses conséquences La politique de collaboration du régime de Vichy La Résistance et ses valeurs La Libération et le retour à la République Voici les connaissances et les compétences sur lesquelles tu vas pouvoir travailler en répondant aux questions de cette séquence. a) Savoirs : Connaître et utiliser les repères suivants

Edit de Nantes : signé en 1598 par Henri IV, pour apaiser les conflits religieux qui ravageaient la France, en fixant légalement le statut des protestants, il fut révoqué en 1685. 25 Des champs cloisonnés de haies. 26 Inauguré en 1988, un musée mémorial pour la paix http://www.memorial-caen.fr/portail/ 22 23 5 Culture et Civilisation françaises – Béatrice Vicaire Age, cette région est un pays de langue d’oc. Après avoir été anglo-normande, cette région sera définitivement rattachée

réchauffe, elles dissolvent les bulles d’air accumulées en période de plongée, et font remonter la température du corps de l’animal quand, par inversion de la circulation veineuse, le sang se concentre dans ces réseaux, qui agissent un peu comme une « résistance ». On doit cependant éviter tout anachronisme. De fait, on ne possède pas de théorie réelle de la circulation sanguine avant William Harvey (1578-1657). Ce savant, qui dissèque d’abord des cadavres à Cambridge, travaille ensuite à Padoue. C’est

force. . Après avoir rapproché  le profil d’Obama avec celui de John Fitzgerald Kennedy, nous pouvons aussi le faire avec Martin Luther King. a) Un successeur de Martin Luther King (MLK) ? La famille Obama lors de l’inauguration du Mémorial de Martin Luther King à Washington DC. (source : http://www.levif.be) On retrouve chez le président Obama et Martin Luther King d’importants points communs : leurs études à Harvard, où MLK obtint son doctorat ; le prix Nobel de la

peuple à distance, c’est-à-dire s’opposer au suffrage universel. Les libéraux du mouvement (Lafitte, Lafayette…) : 1830 est le début d’une évolution de plus en plus libérale. Ils veulent un Roy qui règne mais ne gouverne pas. Les libéraux de la résistance (Thiers, Guisot, Casimir Perrier) : 1830 est le point d’arrivée, toute modification entrainerait un déséquilibre et il faut donc laisser les choses telles qu’elles sont. Ils défendent leurs idées dans le « journal des débats ». Le marais : entre

en exil à Sainte-Hélène sous la garde des Anglais, fut l'objet de nombreuses controverses. Toute une tradition romantique fait de Napoléon l'archétype du grand homme appelé à bouleverser le monde. C'est ainsi que le comte de Las Cases, auteur du Mémorial de Sainte-Hélène tenta de présenter Napoléon au parlement britannique dans une pétition rédigée en 18182. Élie Faure, dans son ouvrage Napoléon, qui a inspiré Abel Gance, le compare à un « prophète des temps modernes ». D'autres auteurs, tel Victor

humilié par le fait qu’on lui refuse tout avancement. Avant la dernière bataille en Alsace, qu’il conduit pourtant comme un héros, le caporal se révolte une dernière fois et ses propos se radicalisent : se référant à De Gaulle qui a appelé à la résistance pour la liberté, il réclame “les mêmes droits pour tous, de la liberté, de l’égalité et de la fraternité”. Il conclut par “Il est temps que les choses changent pour nous”. Ces phrases font écho aux propos de Ben Bella (document 3), dont s’est

n’étudient plus la littérature chrétienne, et les évêques sont attirés par les fastes de la vie de cour. Néanmoins, les monastères soutiennent la résistance à l’acculturation et la défense de la latinité. Les défenseurs de la culture latine chrétienne laissent éclater leur colère dans les années 850 avec le mouvement des martyrs cordouans. Selon le Memoriale sanctorum d’Euloge, ce mouvement débute à Cordoue, avec Perfectus. Ce dernier est interrogé par des musulmans qui lui demandent ce qu’il pense

génocide des Juifs (la Shoah). La plupart des associations préférèrent longtemps mettre en avant le statut de combattant, plutôt que celui de victime. Cependant, une évolution se fit progressivement, notamment autour de la publication, en 1978, du Mémorial de la déportation des Juifs de France par Serge Klarsfeld et Beate Klarsfeld, qui marque l'opinion publique. b) Le devoir de mémoire et les historiens Depuis plusieurs années, le devoir de mémoire est invoqué de façon récurrente et insistante :

en exil à Sainte-Hélène sous la garde des Anglais, fut l'objet de nombreuses controverses. Toute une tradition romantique fait de Napoléon l'archétype du grand homme appelé à bouleverser le monde. C'est ainsi que le comte de Las Cases, auteur du Mémorial de Sainte-Hélène tenta de présenter Napoléon au parlement britannique dans une pétition rédigée en 18181. Élie Faure, dans son ouvrage Napoléon, qui a inspiré Abel Gance, le compare à un « prophète des temps modernes ». D'autres auteurs, tel Victor