Mendiant

manifestait son engagement en multipliant les romans, les poèmes ou encore les discours à ce sujet. Nous avons choisi ce thème car nous aimons la manière dont il manifestait cet engagement et nous sommes du même point de vu que lui. Texte 1 : « Le mendiant » Les contemplations. Un pauvre homme passait dans le givre et le vent. Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile. Les ânes revenaient du marché de la ville, Portant les paysans accroupis sur leurs

des victimes directes ou indirects de la guerre. Ce tableau a en effet été peint tout juste à la fin de la Première Guerre mondiale. Il reflète les crises que traverse l’Allemagne à cette époque, aussi bien la crise économique (paradoxe bourgeois/mendiant/orphelin) que la crise politique (« Juden raus ! » : « Dehors les Juifs » et «iktatur von rechts » : « dictature de droite »). En même temps, on peut voir le climat social qui y règne où chacun vit pour soi et est indifférent à la situation des

l’intérieur des grandes parties du développement, vous ferez des sous-parties. Quelques points sont à remarquer dans l’énoncé du sujet. - « glissement de l’individu ou type » : il y a donc le portrait de Poupillier et, au-delà, le modèle idéal du mendiant. - « le réalisme » : il faut insister sur cet aspect du texte. - « découvrir le fonctionnement d’une société » : étude de la société selon Balzac. Vous devez commencer, bien sûr, par lire attentivement le texte. Attention à la phrase : « Il eut

Guerre Mondiale Dans l’espace géographique : Mes premières impressions : J'y ai tout d'abord vu un tableau assez plein, haut en couleur, mes en regardant un peu mieux, j'ai vu que l'homme au chapeau melon est un cul-de-jatte et que le mendiant n'a plus ni ses jambes, ni son bras gauche, ce qui, à mon avis montre bien les catastrophes qu'a engendré la Première Guerre Mondiale. Présentation : La rue de Prague (Pragerstrasse) est une rue très commerçante de la ville de Dresde, on peut

celui de la misère humaine que l’on peut voir sur des routes peuplées de misérables mendiants aux corps décharnés. La figure allégorique de cette misère est une femme, suivie de ses nombreux enfants : "mendiantes, suivies de trois, quatre ou six enfants, tous en guenilles, importunant le passant de leurs mains tendues", à laquelle s’ajoute le champ lexical de la pauvreté : « masures», « mendier la pitance », « mendiants», « incapables d’assurer la subsistance », « manquer de pain ». Cette misère est

Tout d’abord les personnages souffrent physiquement : le mendiant de Victor Hugo« grelotte  de froid » , celui de Picasso est « aveugle », quant au personnage de Maupassant, dans une perspective réaliste, insiste sur son infirmité avec « une jambe tordue » et « un pied bot » puis sur l’épuisement qu’en résulte car il est « las de ne plus traîner ». Les trois personnages ont faim ; le premier document représente un vieil homme entrant de mendier pour survivre, Maupassant lui insiste sur le fait

portez-lui cette aumône. » Tenez, voilà l’argent, il faut que je descende. Et Mlle Rose jeta la pièce d’or sur une chaise, le seul meuble à peu près qu’il y eût dans cette chambre désolée. « Arrêtez, Mademoiselle, dit Madeleine, je ne suis pas une mendiante, je ne demande l’aumône à personne. Mon terme, je le paierai ; il ne me faut pour cela qu’une semaine de travail. Remportez cet argent, ajouta-t-elle avec une certaine impatience, encore une fois, je n’en veux pas ; je ne tends pas la main. Madeleine

climat politique en Allemagne est très tendu à cette époque. II ) Description de l’œuvre : Nous pouvons voir un mendiant invalide, il lui manque des membres. Ses yeux sont vides cela exprime la tristesse, le malheur et le manque d’humanité. Ses membres en bois et sa maigreur montrent sa pauvreté. Nous pouvons remarquer un bourgeois invalide dans un chariot. Contrairement au mendiant, il est bien habillé et bien en chair. La petite fille est désarticulée, elle est toute seule dans la rue. Il

plutôt chaudes sauf la veste bleue du personnage de profil. L’œuvre présente des couleurs vives pour le premier plan (bleu la veste du personnage, rose la robe de la dame traversant la rue) et ocres pour les personnages en second et arrière-plan (le mendiant, l’enfant…) L’artiste à travailler sur les couleurs en contraste. La lumière vient de face, elle est naturelle et extérieure. Aucun élément ne ressort et aucun n’est dans l’ombre. Analyse : Les personnages sont

sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse. Alors je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq. A la grand'ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais. En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil il était midi