Mendiant

misère, la liberté d’expression, la cause des femmes, l’abolition de la peine de mort et de l’esclavage, les droits de l’enfant et l’instruction gratuite et obligatoire pour tous. Il défend ces causes dans ses œuvres tels que « Melancholia », « le Mendiant ».Il désir que par ses œuvres, la société va changer .  *Homme qui s’engage  L’écrivain s’engage aussi personnellement dans sa carrière d’homme politique tout autant que dans sa vie d’homme. Victor Hugo connait une certaine carrière politique

guerre est évoquée par la misère du mendiant : appauvrie par la guerre cotrainte par le traité de Versailles de verser des «réparations » à la France, l'Allemagne n'a pas d'argent pour verser des pensions aux invalides de guerre incapables de travailler. La petite fille n'a pas de chaussures, sa pauvreté et sa solitude nous font penser qu'elle est peut-être orpheline. - Le climat social et politique en Allemagne : même si une main donne quelque chose au mendiant, la circulation rapide dans la rue

Par exemple ; « Si vous vouliez, monsieur, me secourir de quelque aumône ? » l. 1042-1043. Dans l’extrait, le pauvre est reconnu comme mendiant. L’infériorité du pauvre est aussi mise en évidence par les vouvoiements ; « Je vous assure » l. 1064, « voudriez-vous » l. 1069 et par la répétition de « Monsieur » l. 1042 et 1046. Dernièrement, le portrait du mendiant qui montre sa faiblesse est mise en place dans la citation « Hélas, Monsieur, je suis dans la plus grande nécessité du monde. » l. 1059

ne va pas en essayant de faire ressentir de l‘émotion. On peut citer à ce propos « Le mendiant » extrait de Les Contemplations de Victor Hugo; en effet, ce poème montre bien la détresse que certaines personnes peuvent avoir tout en marquant une différence sociale entre ces personnes qui sont les plus démunies et les personnes aisées qui n‘ont donc pas les problèmes que les plus pauvres. On voit que le mendiant du poème est aidé par une personne plus riche, il rappelle donc que cette pauvreté peut

("dictature de droite"). IX]Couleurs : Les couleurs présentent sont des couleurs vives pour les premiers plans (bleu du veston du personnage au premier plan, robe rose de la dame traversant la rue) et ocres pour les personnages en arrière-plan (le mendiant, l’enfant…) X] Analyse de l'oeuvre : Cette scène ce déroule 2 ans après la Première Guerre Mondiale. Les hommes représentés par Otto Dix sont des anciens combattants allemands, l'un porte la médaille de Guerre. Ils possèdent tous les deux des

sans retour. Au sens large, la mendicité est toute activité qui fait appel à la générosité des passants et inclut la demande d’argent, la vente de fleurs, la signature de pétitions, la pratique d’un instrument de musique, etc. A la différence du mendiant qui se fixe sur un territoire, le vagabondage désigne communément le style de vie de celui qui vit de manière permanente sans adresse et sans emploi fixe, volontairement ou non, errant de ville en ville. Le vagabond a été décrit comme «clochard »

DISSERTATION : LES PAUVRES ET L’ASSISTANCE AU XVIIIème SIECLE. Axes de lecture du sujet : * Qu’est ce qu’être pauvre ? * Qu’est ce que l’assistance ? * Les femmes sont-elles plus pauvres que les hommes ? Plus de mendiants femmes qu’hommes ? * Existe-il un seuil de pauvreté ? A partir de quand est-on considéré comme « pauvre » par la société ? * Les hôpitaux ? * La charité ? * Y’a-t-il différentes sortes de pauvreté ? Des « paliers » de pauvreté ? * Y a-t-il eu des

apporte quelques précisions, les employés qui quittent leur travail, devront se munir d’une « attestation certifiée par les autorités de leur district ». Tout personne qui a plus de « 12 ans devront être agricole ». Les mendiants valide sera pris pour vagabondage et les mendiants invalides peuvent demeurés là où ils sont, si les habitants tolèrent leur présence à l’inverse ils devront retourner sur la « terre de naissance » et ce enfin d’y finir leur vie. Au XIV ème siècle, les mesures sont renforcés

Dans un tout petit village vivait un mendiant. les gens ne le regardaient même pas quand ils passaient près de lui dans la rue. Le mendiant, un homme d'un certain âge, avait tout perdu. Son travail, sa famille, ses amis... Tout. Depuis il se plaçait toujours devant l'hôtel du village en espérant qu'un voyageur fortuné lui donne quelques billets. Les jours passèrent plus lentement les uns que les autres et le vieil homme perdait espoir et s'engouffrait dans la solitude et la tristesse. Un jour

vitaux : Cependant le fainéant avait besoin de manger tous les jours. Mais le lecteur aussi est surpris, qui espérait peut-être des jours meilleurs pour le pauvre Cloche. La mort de celui-ci entraîne la fin du récit, puisque c’est ce pauvre mendiant qui faisait l’objet de notre attention. La fin est donc fermée. On le voit, cette histoire n’est pas très gaie, c’est le moins qu’on puisse dire. Mais la vie n’est-elle pas désespérante ? La misère morale et physique, l’indifférence voire l’hostilité