Mendiant

marier au jardinier pour « repasser sur la famille des Théocathoclès tout ce qui risque de jeter quelque jour un lustre fâcheux sur la famille des Atrides. » comme le dit le Président à l’Acte I, Scène 2. Le Mendiant : homme ou divinité, telle est la question concernant le Mendiant. On ne sait rien sur lui, même pas son nom, tandis que lui semble tout savoir ; il raconte les histoires en détails que ce soit celle de la chute d’Oreste, de l’assassinat d’Agamemnon ou même celle du meurtre d’Egisthe

l'Antiquité : A cette époque, les personnes handicapées, et particulièrement les enfants, étaient totalement exclus de la société. Considérés comme impurs ou victimes d'une malédiction divine, certains étaient tués dès la naissance, ou utilisés par des mendiants qui accentuaient le handicap pour mieux attirer la compassion. Une catégorie de personne le plus souvent ignorées, ou suscitant la fascination d'autrui de part sa relation soi-disant privilégiée avec le divin. Le handicap au Moyen-Age C'est au

êtres humains habituellement reconnu comme étant divergent de la société. Dans son poème «À une mendiante rousse», Baudelaire commence celui-ci par le vers : « Blanche fille aux cheveux roux, dont la robe par ses trous laisse voir la pauvreté et la beauté, » pour le poète c’était important que tous les poèmes dans «Les Fleurs du Mal» aillent un aspect de comparaison du bien et du mal. Dans «À une mendiante rousse», la jeune femme dont il est sujet fait partie d’un groupe marginal de la société habituellement

personnifications, les comparaisons (« courant comme un mendiant » : contradiction, puisqu’un mendiant attend, justement, sans bouger), la confusion entre « aube », « déesse » et « elle », tout cela conduit le lecteur à s’interroger sur le sens du poème. Ce récit merveilleux offre plusieurs nivaux de lecture. Ainsi, comme l’aube, la poésie est quelque chose qui échappe indéfiniment et qui convie à la poursuite. Elle fait du poète un « mendiant », toujours en quête d’un langage poétique nouveau. Les

+ adverbe de temps « alors », et emploi du passé simple : « je levai », du passé composé « je l’ai dénoncée » et de l’imparfait « je la chassai ». on peut noter l’action du poète avec les participes présents « agitant les bras, courant comme un mendiant ». l’aube, quant à elle, est représentée sous les traits d’une déesse voilée, en mouvement perpétuel puisque sa fonction est de parcourir le monde tous les matins pour le réveiller. On notera les multiples notations géographies qui suggèrent

Nous sommes en 79 après Jésus Christ, à Ostia, l’ancien port de Rome. Un groupe de quatre enfants composés de Flavia, la fille d’un armateur, Jonathan, un jeune Chrétien, Nubia, une esclave achetée par Flavia pour lui rendre sa liberté, et Lupus, un mendiant muet, mène l’enquête autour d’une série de meurtres mystérieux : trois chiens, dont celui de Jonathan, sont retrouvés décapités en quelques jours. Même si les soupçons se portent sur un certain Publius Avitus, il semble que cette accusation soit

une table, le Pape amasse des richesses (pièces, coffre, bourses…) - des gens qui tournent autour d’une église - des clercs autour d’un mort - dans le ciel, deux hommes, Dieu et un moine (avec 3 noeuds sur la ceinture, symbole de l’ordre mendiant franciscain) entourés d’éclairs A gauche (protestantisme) : . les moines ont une attitude bienveillante, ils s’occupent des pauvres, des handicapés . ils sont dans une attitude pieuse . il y a des anges dans le ciel . le prêcheur est en lien

Son rôle est clairement défini par les Euménides : c'est une arme, et la question est de savoir si celle qui la tiendra sera Clytemnestre ou Electre. Le rôle du Mendiant et des Euménides est plus complexe. Ils participent à l'action, les Euménides bâillonnent Oreste afin qu'il ne puisse pas répondre à l'appel d'Electre, le Mendiant répond à la place de Clytemnestre pour éviter qu'Egisthe n'apprenne le retour d'Oreste. Les Euménides ne sont plus exactement les Furies vengeresses de la mythologie

à l’origine de la clarté de l’incendie : "C’est la lueur qui manquait à Electre, avec le jour et la vérité" (ligne ). La punition d’Electre sera la solitude. Grâce à Oreste, Electre a perçu la vérité, lorsqu’il dormait à côté d’elle. Le mendiant l’avait prévu, ils ne se reverront plus jamais. Les Euménides exercent leur vengeance sur Oreste et elles remarquent à sa sœur : « Plus jamais tu ne reverras Oreste. » (à la ligne ). Les Euménides sont désormais les Erynnies, les

vérité. Grâce à sa présence, de nombreux personnages vont se révéler et faire éclater "leur" vérité, comme par exemple la petite Agathe dans l'acte II, 6. De plus, Electre et Egisthe se déclareront au fil de la pièce. Le personnage du mendiant (à la fois dieu, mendiant et metteur en scène) contribue à rétablir la vérité. C'est lui qui explique "l'histoire du poussé ou pas poussé", qui raconte le meurtre d'Agamemnon mais aussi celui d'Egisthe et de Clytemnestre. La dernière scène montre bien qu'Electre