Mendicité Des Enfants

Les enfants des rues Introduction : L'expression « enfant des rues » désigne de façon générale un enfant (au sens de personne mineure) qui vit dans et de la rue, au sein d'une ville. Qui sont les enfants des rues ? : Les enfants des rues ont entre 5 et 16 ans, mais il est courant d’en rencontrer qui ont à peine 3 ou 4 ans aux côtés de frères plus âgés qui assurent leur protection. La majorité des enfants des rues sont des garçons. Les filles ont en effet moins visibles dans la rue pour deux raisons:

pour les mineurs, ils relèvent de la justice des adultes. Le modèle dominant est la potestas patria de la loi romaine, le père a tous les droits sur l’enfant et l’autorité publique ne s’immisce pas dans la sphère privée. En cas de délinquance d’un enfant mineur, seul son âge peut être pris en considération par le juge comme justification, excuse ou circonstance atténuante de l’acte commis. Le Code pénal de 1791 est fondé sur le présuppréflexion, d’intelligence et qu’un traitement différent peut

la ville et de chasser les autres. A Strasbourg, à Amiens, à Rouen, à Dijon, partout les pauvres sont désormais divisés en trois catégories, les mendiants, les malades ou infirmes, les vieillards – encore que rien ne soit rigoureux, car il y a les enfants trouvés, les prostituées, les escrocs classiques, tous les marginaux en rupture avec le lien social, en un mot, les « fainéants », sorte de concept flou qui enferme dans une réprobation globale ceux qui ne peuvent plus Gérontologie et Société - n°

affectés à des ateliers d’armes et aux logements des maîtres et ouvriers des forges de guerre. Le Conseil Général des Hospices décide en 1812, d’y transférer la Pharmacie générale des hospices qui était installée depuis 1796 dans l’ancien hôpital des Enfants Trouvés, sur l’île de la Cité. Pendant à peu près 150 ans, la pharmacie centrale occupe l’hôtel de Miramion. Son déménagement dans les années 1970 va permettre l’extension du musée. L’hôpital et les pauvres Objectifs pédagogiques :

vitale. On constate que ces individus n'ont pas intériorisé les normes modernes de consommation. Les marginaux de ce type n'éprouvent pas le sentiment d'humiliation lorsqu'ils fréquente les assos. la mendicité elle est le symbole de la déchéance sociale. La mendicité nécessite un apprentissage des techniques particulière et d'une organisation rationnelle dans la marginalité. Ceux qui pratiquent cette activité forment un clan dans lequel ils peuvent échanger des conseil et stratégies

  L'ASSOMMOIR Gervaise, la fille d'Antoine Macquart, a, à vingt-deux ans, fui Plassans avec son amant, Auguste Lantier, un ouvrier chapelier, et leurs deux enfants, Claude, le futur peintre de “L’oeuvre”, et Étienne le futur héros de “Germinal”. À Paris, ils habitent un hôtel meublé misérable dans le quartier populaire de la Goutte-d’Or. Lantier abandonne vite la jeune femme, emportant tout ce qui reste de leurs maigres économies.     Jolie, courageuse

des aubergistes. Il assiste à une représentation théâtrale. Il donne l’alerte quand il voit un jeune voleur dérober une bourse, mais ce dernier s’échappe. Ch. 6 : Tom, arrivé à Londre aperçoit Ratsey. Il suit Grimly qui recrute des enfants pour la mendicité. Au moment où Tom, ligoté et hurlant, va être amputé de ses jambes, le voleur de bourses le délivre in extremis. Ch. 7 : Le voleur est en fait une fille, Molly Vide-Gousset. Tom se confie à elle. Ch. 8 : Il se rend au Théâtre de la

Gervaise Macquart, le personnage principal, une Provençale originaire de Plassans, boiteuse mais plutôt jolie, a suivi son amant, Auguste Lantier, à Paris avec leurs deux enfants, Claude et Étienne Lantier. Très vite, Lantier, paresseux, infidèle et ne supportant pas de vivre dans la misère, quitte Gervaise et ses enfants pour s'enfuir avec Adèle. Gervaise, travailleuse, reprend alors le métier de blanchisseuse qu'elle a appris à Plassans. Elle accepte d'épouser Coupeau, un ouvrier-zingueur auquel

 Résumé en bref  Gervaise, la fille d'Antoine Macquart, a, à vingt-deux ans, fui Plassans avec son amant, Auguste Lantier, un ouvrier chapelier, et leurs deux enfants, Claude, le futur peintre de “L’oeuvre”, et Étienne le futur héros de “Germinal”. À Paris, ils habitent un hôtel meublé misérable dans le quartier populaire de la Goutte-d’Or. Lantier abandonne vite la jeune femme, emportant tout ce qui reste de leurs maigres économies.     Jolie, courageuse, dure à la peine, elle travaille comme blanchisseuse

financière, des travailleurs précaires, des jeunes en rupture familiales, des étrangers immigrés en France (roumains, maghrébins…), des sortants de prison que nous croisons dans nos rues, ils nous arrivent aussi de voir des femmes enceintes ou avec enfants. Un grand nombre d’entre eux sont addicts à une ou plusieurs drogues, ils peuvent être porteur de maladie et ou de handicap physique ou mentale. Le temps de vie dans la rue ainsi que leur parcours peut être très différents d’une personne à l’autre