Menton

comme le Maître de Philosophie dans Le Bourgeois Gentilhomme de Molière, le Professeur accorde beaucoup d’importance à une articulation excessive. Lorsqu’il apprend à son élève comment se faire entendre « il est recommandé […] de lever très haut le menton, de vous élever sur la pointe des pieds […] » il prend la célèbre expression « tomber dans l’oreille d’un sourd » au pied de la lettre, se ridiculisant ainsi devant les spectateurs et renforçant encore plus l’absurdité des mots qu’ils utilisent les

l'utilisation du noir, puisque à des plages de noir en aplat continu, font contraste des zones traitées en nombreux fins détails séparés : le déchiquetage et les pointillés des zones grisées du visage (les tempes, le relief du nez, le bord des pommettes et du menton), les traits multiples qui forment les sourcils, le détail des mèches de cheveux.Il s'agit de l'expression a10 du "un / multiple".La couleur rose envahit presque tout le visage, y compris ce qui serait normalement le "blanc des yeux", et ce recouvrement

séparément) Nice – Monte-Carlo Monte-Carlo – Menton Villefranche – St Jean-Cap-Ferrat Magnan – Madeleine Nice – Levens Contes – Bendejun Pont de Peille – La Grave Menton – Villa Caserta Menton – Sospel le Réseau Départemental est terminé. La compagnie des Tramways de Nice et du Littoral (T.N.L) exploite alors un réseau urbain et un réseau départemental très étendu qui voit l’apogée de son extension en 1912, avec l’ouverture de la ligne Menton – Sospel franchissant le fameux viaduc du Caramel

l’homme à mentir. Le mensonge relève d’une volonté de tromper autrui. Selon Paul Valéry « ce qui nous force à mentir, est fréquemment le sentiment que nous avons de l’impossibilité chez les autres qu’ils comprennent entièrement notre action ». Si nous mentons, c’est parce que nous avons jugé que la réalité d’une chose nous concernant ne nous convenait pas et/ou parce que nous savons qu’elle ne plairait pas à autrui, au préalable. Nous avons donc peur de nous heurter au jugement d’une personne ou d’un groupe

corps, Toile blanche = espace Deux lectures du manque gant sans main.) pictural encore vierge Le don(p.26) Lignes courbes. Chevelure-fleuve, aux lignesPrésence et plénitude. serrées et noueuses, qui crée une force et renverse le corps : cambrure. Du menton au sommet du triangle formé par l’ensemble, coulent les lignes du corps => Dynamisme. Le dessin est la transcription graphique d'une de ses photographies de 1923 « Grand nu renversé en arrière » transposant par les traits du dessin les effets de la

certains lieux publics. Le premier jour où Joseph va à l’école avec son étoile, on se moque de lui et son professeur l’ignore. Le soir même leur père annonce à ses deux fils cadets qu’ils doivent partir rejoindre leurs deux grands frères en zone libre à Menton dans le Sud de la France pour fuir les Nazis. Après un dernier repas en famille, ils prennent le train gare d’Austerlitz. Le train est bondé et ils s’assoient à côté d’un vieille dame à qui ils disent qu’ils vont voir leur mère malade et que leur

HISTOIRE DE LA VIEILLE « Je n'ai pas eu toujours les yeux éraillés et bordés d'écarlate ; mon nez n'a pas toujours touché à mon menton, et je n'ai pas toujours été servante. Je suis la fille du pape Urbain X, et de la princesse de Palestrine. On m'éleva jusqu'à quatorze ans dans un palais auquel tous les châteaux de vos barons allemands n'auraient pas servi d'écurie ; et une de mes robes valait mieux que toutes les magnificences de la Westphalie. Je croissais en beauté, en grâces, en talents,

«  Nous mentons tous plus ou moins » écrit Emile Zola. Selon vous, le roman montre-t-il le réel avec vérité ou est-il nécessairement un mensonge ? D'après la citation de Emile Zola « nous mentons tous plus ou moins » extraite de la préface de Germinal, nous pouvons penser que le roman réel est particulièrement issu de mensonges. Zola est un est écrivain du XIX ème siècle appartenant au mouvement naturaliste dont on peut dire qu'il est le créateur. Le naturalisme est un mouvement qui est né de

refoulement, c’est une condition indispensable à la sociabilité de l’homme. En effet, il se doit de rejeter ses désirs contradictoires, ses désirs qui conduisent à avoir des rapports violents avec autrui, etc. Par-là, c’est nécessairement que nous nous mentons à nous même. En fait, cela nous permet d’obéir aux valeurs imposées par la société et par notre raison pour garder équilibre et santé. Le refoulement est donc une condition indispensable à la vie en société. Durant la shoah, le mensonge envers soi-même

esthétique propre à l’artiste peintre. Le tout est condensé dans ce goût assez romantique pour le démoniaque. La suite du portrait va détailler et justifier cette première impression fugitive. La description part du front pour descendre jusqu’au menton, avant de remonter jusqu’aux yeux sur lesquels elle s’attarde, comme dans un accès à l’intériorité du personnage. À partir de ce moment, nous changeons de point de vue, ce n’est plus Nicolas Poussin qui s’exprime, mais Balzac. L’auteur a repris ses