Mercantilisme Et La Révolution

Plan : I. La pensée économique de l'époque moderne II. La naissance de l'économie moderne II.1 Origines II.2 Le mercantilisme II.3 La théorie physiocratique II.4 Autres contributions III. L'école classique et les réponses au classicisme III.1 Les classiques III.2 Prémices du socialisme III.3 Le marxisme III.4 L'école historique IV. L'école néoclassique et les réponses au néoclassicisme IV.1 L'école néoclassique et ses héritiers IV.2 L'École autrichienne IV.3 L'institutionnalisme IV

territorial en 1648 - Centre politique fort. Administration qui va contrôler le territoire. Lancer l'agriculture. - Developpement Mercantilisme : Consiste à protéger l'économie, à conquérir les marchés étrangers, accumuler le métal précieux. Ces Etats modernes créeent une nouvelles catégories sociales qu'on appele la bourgeoisie. Cette bourgeoisie devient protestante. - La révolution des transports. L'espace maritime est a maitriser. Le developpement de nouvelles techniques de transport vont ouvrir des routes

nourriture à chaque printemps. Il arrivera ainsi à se concilier les bonnes grâces des rentiers terriens tout en proposant un nouveau système prenant en compte autant que faire se peut les idées nouvelles et permettant de dépasser le mercantilisme (et le colbertisme) sans révolutionner la société. Les physiocrates font émerger des principes foncièrement naturalistes (en accord avec l'étymologie du mot physiocratie: gouvernement par la nature) et au fond anti-chrétiens pour leur temps, notamment l'idée selon

1) pourquoi parle-t-on de révolution industrielle au 19e siècle et non de simple progrès technique? On parle de R.I. car les progrès techniques vont engendrer une mutation dans tous les domaines : production, mode de vie, démographie, paysage, culture, mentalité,… ->Conséquences écologiques : politique de grands travaux (terrassement, déboisement, asséchage) ->Attention à la localisation des usines. Elles privilégient la proximité d’un centre urbain pour la main d’œuvre, des vois de communications

siècle). Ce courant n’est pas une véritable école de pensée mais plutôt un ensemble d’auteurs (espagnols, italiens, britanniques, français) ayant pour principal point commun d’écrire pendant la phase de transition qui sépare l’économie médiévale de la révolution industrielle. Au fil de cette période, qui est caractérisée par de grands changements, le courant va dans différents domaines : - Domaine économique : développement très important de l’activité commerciale (apparition de produits nouveaux,

relève la bizarrerie "des mœurs et des coutumes européennes" (l.19) ... Ironie * Il souligne la facilité usurpatrice du souverain. III - Une critique du pouvoir 1 - Allusion ironique au pouvoir monarchique européen * Dénonciation du mercantilisme colonial (Roi d'Espagne => Pérou) * Critique des guerres incessantes qui ruinent. * Référence à la vente des "titres d'honneur" (l.28) * Le roi est un mauvais gestionnaire : Dévaluations 2 - Le roi, habile manipulateur * Pouvoirs thaumaturgiques

marqué par le protectionnisme, il met une taxe sur les exportations de matières alimentaires (éviter les famines) Théorie du Mercantilisme : Un pays doit se protéger en favorisant ses exportations et en freinant ses importations • La Révolution : libéralisme politique/économique 2 écoles de pensée : Physiocrate (Quénet) et les Classiques (Smith, Ricardo…) En 1791 la révolution interdit les corporations (Loi Le chapelier) La DDHC 1789 : reconnaissance du droit de propriété • Le premier Empire

Microsoft Word - Oral de storia .docxLo sviluppo delle piazze parigine come spazi pubblici tra il settecento e il ottocento INTRODUCTION La place est considérée comme un espace public tant par ces caractéristiques que par ses usages. En effet ses caractéristiques sont généralement le fait d’être un domaine public non bâti, et ses usages sont d’être un espace de circulation, d’interaction et de promenade. La place représente aussi une scène idéale pour la représentation collective de

démarches philosophiques. L’économie en tant que discipline scientifique n’est apparue successivement comme la science des richesses (notamment à la Renaissance avec le courant Mercantilisme qui s’est intéressé à l’accumulation de l’or ou de métaux précieux comme source de la richesse d’une nation; puis au début de la Révolution Industrielle avec le courant Classique de Smith qui s’est penché sur l’analyse de la répartition de la richesse des nations) et la science de la rareté développée par le courant

économique. Trois doctrines se sont suivies. Du XIII au XV règne la pensée scolastique, basée sur les idées d'Aristote et la morale chrétienne, dont les chefs de files sont St Thomas d'Aquin, Nicole d'Oresne et Jean Buridau. Au XVI naît le mercantilisme selon lequel «Il n'y a de richesse et de force que d'hommes » — J Bodin. Pour les mercantilistes, il faut tout faire pour soutenir le commerce -exporter pour s'enrichir- mais ils prônent parallèlement un protectionnisme avec des douanes sélectives