Mercantilisme Et La Révolution

a comme but de montrer les points communs entre les théories des économistes libéraux tels qu’Adam Smith, Frédéric List et Friedrich List et leur contribution pour la construction de la théorie du commerce international. Aux aubes de la révolution industrielle, Adam Smith est le premier à appuyer sur des bases théoriques la libre initiative et la liberté du commerce. Dans sa démarche, il part de l’idée que l’activité économique de chaque personne est déterminée par son intérêt personnel

change licite. Crédit raisonnable. C Les protestants : Luther et Calvin. 1517 apparitions d’un schisme des chrétiens. 95 thèses de Luther. Courant réformateur souhaitant réformer la règle, notamment le fonctionnement de la hiérarchie de l’église. Révolution des idées, puis une guerre civile européenne. Martin Luther : Curé, avec une bonne formation, et s’implante en Allemagne. C’est un moine, scandalisé des dérives de l’Eglise : Discipline du clergé : Critiquée, d’abord car elle recrute n’importe

(1723-1790), comme le pionné de ce système économique basé sur la concurrence et le capitalisme. Cet universitaire s’est intéressé aux mécanismes des nouveaux marchés qui commençaient à apparaitre grâce à la Révolution industrielle britannique et à l’abandon du système protectionniste de mercantilisme (l'Etat joue un rôle primordial en adoptant des politiques protectionnistes qui établissent notamment des barrières tarifaires et encouragent les exportations). Dans un contexte marqué par les idées et les

La révolution française : (1789 à 1792) {draw:frame} La France de 1789 n'est pas l'État connu et unifié d'aujourd'hui. Nice, la Savoie et Avignon n'en font pas partie. Elle compte 28 millions d'habitants. C'est une France rurale, isolée, une France des campagnes, peu de communications entre les français. Une France analphabète, la France des piétons, où l'on se déplace peu. C'est la France de Louis XVI qui règne depuis 1774, un Roi relativement populaire mais faible, et qui a du mal a s'imposer

comme l'unique survivant des « trois avatars de la modernité ». • Un théâtre fou, brutal, clinquant, joyeusement provocateur. Un potlatch dramaturgique où la carcasse de nos sociétés " avancées " se trouve carbonisée sur la rampe festive d'une révolution permanente. Il hérite de la lucidité d'un Kafka et de l'humour d'un Jarry ; il s'apparente, dans sa violence, à Sade ou à Artaud. Mais il est sans doute le seul à avoir poussé la dérision aussi loin. Profondément politique et joyeusement ludique

relations. Les hommes ont besoin de relation avec les autres. Ils ne peuvent vivre seuls. * 3. Un commerce développé dès l’Antiquité Ex : la route de la soie (Chine) ou encore le Japon qui était le réservoir de l'Asie pour l'argent. B. La révolution médiévale Notre système économique mondialisé est né en Europe. * 1. L’autonomisation de l’économique Les relations économiques traditionnelles sont encastrées dans les relations sociales (Karl Polanyi, 1944, La grande transformation). Europe

=(Recettes/Ventes – Coûts) = prix de vente . quantité vendue. La seule certitude pour maximiser le profit, c'est de minimiser au maximum ses coûts en particulier la force de travail. Idée de reproduction de la Force de travail. Il faut faire la révolution: voir l'armée de réserve et la Force de travail → récupérer les moyens de production = socialiste → communiste. 3) L'approche marginaliste : marginaliste =néoclassiques. (Walras(Eq Gé, trouver les conditions pour O=D sur tous les marchés avec un

juste ». Activité commerciale légitimée par un apport réel de richesse au produit via sa transformation, son transport ou par son caractère vital pour la survie du marchand et de sa famille. II. La naissance de l’économie moderne A. Le mercantilisme Développement des idées mercantilistes (entre le 16e siècle et le milieu du 18e siècle) dans un contexte de capitalisme commercial : multiplication des transports, grandes découvertes et monarchies absolues. (JEAN BODIN, LUIS DE ORTIZ et WILLIAM

Comment la multiplier, l'accumuler ? Les méthodes pour produire ? _ Comment on distribue cette richesse au sein d'une société ?   La deuxième c'est l'univers NEOCLASSIQUE(libéraux) : L'économie est une science des choix sous contrainte. Révolution marginaliste. Idée : On ne peut pas faire tout ce qu'on veut. Le besoins de l'homme sont illimitées mais les ressources pour satisfaire ces besoins sont limitées. Il faut donc faire un choix. L'économie est l'étude des choix.   # il est bien

certain essor depuis la Renaissance. A compter du XVIème siècle, la révolution agricole anglaise est  allée de pair avec l’affirmation d’un capitalisme agraire lié à la définition de « droits de propriété »  dont  D.  North  a  souligné  toute  l’importance.  L’activité  manufacturière  a  connu  dans  les  mêmes  temps une longue mutation passant du domestic system au putting out system, au sweating system,  et enfin au factory system1. C’est avec la révolution industrielle que l’entreprise, ce « microcosme du