Mercantilistes Physiocrates Et Classiques

II- Les physiocrates Ce courant s’est développé sur la période allant de 1756 et 1777, essentiellement en France. Ce courant était plus limité en temps et en espace. C’est un courant en réaction au mercantilisme (interventionnisme). Sous le mercantilisme l’état avait multiplié les règles. Les physiocrates se révoltent contre les mercantilistes, c’est des libéraux. Auteurs : Quesnay, Mirabeau, Mercier… 1) La doctrine : ● Les lois naturelles : Selon les physiocrates il existe un ordre naturel gouverné

Du Mercantilisme aux Classiques plusieurs reflexions se sont portées sur la notion de valeur sans pourtant pavenir à determiner un point de vue clair et précis.Du Mercantilisme aux Classiques plusieurs reflexions se sont portées sur la notion de valeur sans pourtant pavenir à determiner un point de vue clair et précis. Chez lesMercantilistes notamment Jean Bodin et Jean-Batiste Colbert (economistes Français), le commerce était à l’origine de la création de richesse car elle permettait l’accumulation

économie on qualifie de rare tout bien qui répond simultanément à deux questions. Il doit à la fois répondre à un besoin pour être demandé et ne pas être donner à confusion par la nature afin qu’une offre se manifeste. De la conception étroite des classiques limités aux richesses matériels la sphère de l’économie s’étend progressivement à tout ce qui satisfait un besoin. L’utilité se reconnait au fait que les biens rares sont tous ceux qui s’échange contre de la monnaie ou tout bien de même nature.

la guerre, grâce au commerce, Montesquieu, parlera de « doux commerce ». Selon eux la richesse vient des métaux précieux (or, argent). Pour les mercantilistes l’état doit contrôler le commerce, via les droits de douanes, les règlementations, et la fiscalité. Mais il peut y avoir une opposition entre l’état et la liberté de commerce. Les physiocrates (physiocratie : gouvernement de la nature), « laissez faire, laissez passer » de De Gournay. (voir page 13). Ils restent dans l’ambiguïté, pour eux

leur activité se développe plus ils s'enrichissent, plus ce sera facile pour le roi de prélever l'impôt. Ici, l'intérêt du souverain et des commerçants se rejoignent. Par le biais de la fiscalité, on va pouvoir s'assure un revenu. Pour les Mercantilistes, le commerce international est considéré comme « un jeu à somme nulle », c'est un jeu dans lequel ce qui est gagné par les uns est perdu par les autres (dans ceux qui participent). En d'autres termes, il ne peut y avoir des gagnants que parce

extérieur dans la dynamique économique chez les mercantilistes et les classiques De tout temps, les tentatives d’analyse économique ont tentés de voir le jour. Les plus ancestrales : comme les mercantilistes ou les physiocrates ne sont pas réellement qualifiées de courant économique, car leurs définitions de l’économie n’étaient pas assez profondes, ne prenant pas le facteur de croissance en compte. C’est pour cela que les mercantilistes et les physiocrates ne sont que des précurseurs, ayant permit

GRANDS COURANTS DE PENSEES Les mercantilistes « Protéger pour développer » Les mercantilistes ont les premiers, du XVIe jusqu’au XVIIIe siècle, défini des concepts permettant d’expliquer la richesse des nations et recommandé, ou mis en œuvre, des mesures pour favoriser leur dynamisme économique. Selon eux, les objectifs visés sont simples : richesse et puissance et pour ce faire, on compte trois facteurs de croissance : abondance en hommes, abondance en argent et intervention étatique. -

dont les économistes envisagent la croissance, et ce, en s’intéressant tout d’abord aux précurseurs de l’économie comme les mercantilistes ou les physiocrates, puis en voyant la pensée des économistes classiques comme Smith et Ricardo, et enfin nous passerons a la croissance chez Marx. Les Précurseurs Dans un premier temps nous allons voir comment les mercantilistes l’ont envisagée. On recense trois formes différentes de mercantilisme. Tout d’abord la croissance par la monnaie, où pour qu’il

circonscrivent le mercantilisme à la période allant de 1450 jusque vers 1750. Il naît au moment où émerge la notion d'État qui doit s'imposer sur deux fronts : à l'extérieur face au pouvoir papal et à l'intérieur pour unifier le territoire. Les penseurs mercantilistes prônent le développement économique par l'enrichissement des nations au moyen du commerce extérieur qui permet de dégager un excédent de la balance commerciale grâce à l'investissement dans des activités économiques à rendement croissant, comme

se développe, plus ils s'enrichissent, plus ce sera facile pour le prince de prélever l'impôt. Ici, l'intérêt du souverain et l'intérêt des commerçants se rejoignent. Ici, par le biais de la fiscalité on va pouvoir s'assurer un revenu. Pour les mercantilistes, le commerce international est considéré comme un « jeu à somme nulle » = c'est un jeu dans lequel ce qui est gagné par les uns est perdu par les autres (dans ceux qui participent). En d'autres termes, il ne peut y avoir des gagnants que parce-qu'il