Merde

les gens comme vous. Mais si vous m’enviez, cela veut dire que vous souhaitez vous retrouver à ma place, là, maintenant, tout de suite, et vous que souhaiteriez y rester aussi longtemps que possible, aussi longtemps que vos poumons noircis par cette merde hors de prix continueront d’aérer votre carcasse flétrie et désarticulée. Je n’ai pas pour habitude de mâcher mes mots. Je ne mâche rien. Je me gave. Je m’offre tout et n’importe quoi. Pour tout vous dire, je m’achèterais bien le Yémen, si il était

célèbre. Il ne faut pas se plaindre d’être connu quand on a ramé toute sa vie pour le devenir. J’ai hâte d’être célèbre pour pouvoir me lamenter d’avoir tout fait pour l’être. Elle m’a crié: _Tu finiras seul comme une merde! J’ai répondu: _C’est mieux que de finir seul avec une merde! Elle ne cesse de me répéter que je ne l’aime pas. Logique: quand je ne les aimais pas, elles croyaient que je les aimais. Maintenant la situation s’est inversée. Quelqu’un est passé dans ma vie. C’est si rare

Antrios, très très connu. Marc dit que c'est une merde. Peinture contemporaine. Serge seul : Marc est un garçon intelligent, qu'il estime depuis longtemps, ingénieur dans l'aéronautique fait parti des intellectuels nouveaux ennemis de la modernité. Marc est un adepte du bon vieux temps, il a une arrogance stupéfiante depuis peu. Marc a dit cela avec humour, c'est prodigieux qu'ils ait acheté ce tableau. Serge veut savoir pourquoi il l'a défini de merde. Serge n'accepte pas le rire de Marc face

du visage », le « visage à l'envers ». [...] Le mouvement de haut en bas s'y trouve incarné de la manière la plus évidente, souligné encore par le fait qu'entre les quatre premiers et le cinquième torcheculs, les sphères s'y voient qualifiées « de merde » et que l'orfèvre et la dame font l'objet d'une imprécation grossière : « que le feu sainct Antoine arde le boyau cullier ». Cette invective soudaine donne un grand dynamisme à tout le mouvement vers le bas. C'est dans cette atmosphère dense de «

sur le site réel de ol. le professionnel du club rhodanien ne semble ailleurs pas tourmenter bénéfice à aligner vercoutre entrée face aux girondins, lui qui regrettait être privé de lloris sans pour autant inquiéter passé la défaite tenir compte merde à Caen (0-1): "concernant hugo, je suis éminemment emmouscailler pour lui car il ne fait rien en amont la faute, personne ne embête et puis il ne joue pas le limitrophe match, en gros est un peu ça qui est passé. Mais ai la chance avoir vercoutre en

gosse. Je prend le cas de l'espagnol, je suis révolté, voir Fou! L'avenir se trace aujourd'hui, donc évitez de nous inculquer des foutaises et prenez exemple sur le Saint Michel, 1er avec sa ponctualité inébranlable: quand on dit 16h03, c'est 16h03 merde! Sur ce, vous salut Monsieur. ANONYMOUS

Terre en a ras le bol un point c'est tout ! Aujourd'hui j'ai de la chance Je suis encore là. J'vais pouvoir voir le ciel encore une fois. L'air pur ici aussi se fait si rare, Que même les clébards disent Qu'il y en a marre ! De respirer cette merde à pleins poumons, Tout ça pour qu'un petit con Gagne des millions. Tu sais que notre vie de chien nous suffit bien, Pas besoin de choper Le cancer des êtres humains. Nous paierons cher sans doute votre insolence, Vous jouez avec ce monde par

j'étais guéris. En fait non. Je me rend compte que je t'aime toujours, je me rend compte que mon amour pour toi n'a jamais eut de fin, pourtant je pensais avoir tournée la page, il faut que je la déchire cette putain page, il faut que je la brûle, merde! Facile à dire mais difficile à faire, je sais, mais je vais réussir. J'ai la musique à fond dans les oreilles, je m'en fous des mes timpens, là maintenant ceux que je veux c'est crier ma douleur , crier ma souffrance que je cache si bien et la

qui pue et j'aime ton corps tout émoustillé , on fait l'amour par où tu sais et je préfère me prostituer Punchline : [Parler de mes défauts ne fera pas diminuer les tiens ] « S’il faut souffrir pour être belle, toi t’as jamais mal. » Si la merde rajeunissait, toi tu serais immortel J'envie les aveugles de ne jamais voir ta face

raide, c’est le bon moment de le croquer au cou. Et en une seconde je le vidai de son sang. Je savourais ce goût de cocaïne et tous les membres de son corps. _ Ahhhh…….aaahhhhhh……aaaaaahhhhhhh……oooohhh mon dieu c’est quoi ce monstre ? _ Putain de merde ! Courez ! Courez ! C’est un malade ce mec !!!! _ Laisses la fille, laisses la salope viens laisses la pute ! Grouilles-toi putain ! Ils coururent dans les bois grisant, ne sachant pas de ce qui les attend. Je ne perds pas de temps, je les rattrape