Mères et Filles

L’éducation des filles par Leirn PETIT SURVOL HISTORIQUE L’éducation des femmes est un problème relativement moderne dans le sens où pendant longtemps, on n’en voyait pas l’intérêt. De toutes manières, tant que l’éducation des hommes ne paraissait pas être une priorité, il n’était pas très important de s’interroger au sujet de celle des femmes. A Athènes, la femme est réduite à un demi esclavage. Quand Platon propose d’admettre un conseil de matrones à l’administration de la République et de

La Parentalité ; Défi pour le troisième millénaire Un hommage international à Serge Lebovici Sous la direction de Leticia Solis-Ponton Le fil rouge PUF Serge Lebovici : Né à Paris. D’abord interne en pédiatrie, puis psychiatre à l’Hôpital des enfants malades à Paris, il est assistant au service de psychiatrie d’enfants du professeur Heuyer, de 1947 à 1957. En 1959, il crée avec Philippe Paumelle l’Association de Santé mentale du 13e arrondissement de Paris, service pilote de psychiatrie

Introduction : Au niveau mondial, 986 filles naissent pour 1000 garçons, dans certaines parties du monde, un grave déséquilibre s'installe (Chine). Dans les pays riches, des disparités existent dès la scolarité. Les filles au niveau scolaire réussissent mieux ; en effet, elles sont très à l'aise, et intègrent toutes les filières ! Leur réussite est meilleure que celle des garçons surtout dans l'enseignement supérieur. Mais plus tard dans la vie active, les filles ont un travail moins qualifié et un

désigne la cellule qui se divise pour produire des « filles ». Les mères ont un rôle très important dans l'éducation des enfants et le titre de mère peut être donné à une femme qui n'est pas le parent biologique de l'enfant mais qui remplit le rôle de celui-ci et élève l'enfant. Il s'agit en général d'un parent adoptif ou d'une belle-mère (la femme du père de l'enfant). Les mères sont célébrées dans de nombreux pays. En France, la fête des mères a lieu le dernier dimanche de mai, sauf si elle coïncide

informations sur le physique avec superlatif ou adjectif fort. Le portait est hyperbolique. Madame de Chartres vertueuse, courageuse, elle éduque à sa fille à son image. On apprend le portrait moral à travers celui de sa mère. Elle est l’une des filles de grandes familles (l. 229 et l. 251/252) Portrait idéaliser, construit par hyperbole (portrait élogieux)->physique, social, morale. Le portrait se fait à travers les yeux de la cours. Elle est décrite par les yeux de la cours qui est admiratrice

le poète s’empoisonne aussi. Il y a un étiolement de l’amour qui devient un faux-amour . L’autre élément féminin, c’est les mères filles de leurs filles : au printemps, le colchique donne des fruits et des fleurs en automne, il y a inversion du temps et de la logique par un retour paradoxal. Les yeux sont comme des fleurs, les fleurs sont des mères filles de leurs filles. Les paupières sont comparées aux fleurs. Donc les paupières et les fleurs vont se flétrir puisqu’elles battent. Aux vers 5-6

prendre soin de ses enfants et de son mari, s’occuper des travaux ménagers et de tout ce qui s’agit de propreté dans son foyer. Dès leurs naissances, les filles étaient immédiatement distinguées des garçons, il y’avait une très grande différence dans les travaux attribués aux uns comme aux autres. Les filles étaient entrainées à être des mères de famille tandis que les garçons eux étaient entrainés à être des chefs. On les préparait à s’occuper de l’autorité, de la succession, de l’héritage

Fiche de lecture Les filles du coinAMSELLEM-MAINGUY Yaëlle (âge:41 ans):Docteure en sociologie et chercheure associée au CERLIS, Yaëlle Amsellem-Mainguy travaille sur la santé et la sexualité des jeunes. Elles s’intéresse plus largement aux rapports de genre à l’adolescence et lors de l’entrée dans l’âge adulte ainsi qu’à la manière dont les professionnel·les exerçants auprès des jeunes appréhendent les questions d’intimité, sexualité.Elle est co-responsable du réseau

société ? Christine Bard propose de s’interroger sur « l'accès des femmes à une identité propre, qui ne soit ni celle de père, ni celle de leur mari, à leur « devenir-sujet », à leur « autonomisation » » (p. 10). Pour comprendre cela, elle prend comme fil conducteur l'émancipation. Le plan est plus ou moins celui de l’ouvrage, c'est-à-dire un découpage thématique et chronologique classique. Les chapitres un à cinq que nous étudierons ici abordent le XXème siècle jusqu'aux « années noires » de

Comme Roméo et Juliette, Paul et Virginie sont le symbole de la jeunesse et de l'amour parfait. Leurs mères, rejetées par la société, se sont réfugiées dans l'île de France, aujourd'hui l'île Maurice, et élèvent ensemble leurs enfants. Paul et Virginie se sont baignés dans la même eau, nourris des mêmes fruits. Ils s'aimaient en frère et soeur jusqu'à ce qu'ils grandissent, s'aiment autrement dès l'adolescence et soient séparés à cause de la naissance de tels sentiments. L’amour naît entre les deux