Mères et Filles

difficultés de la vie. Déjà du temps des grecs et des romains. Avant le christianisme, il existait un embryon de charité qui reposait sur des initiatives individuelles, motivée plus par la crainte de la morale chrétienne que par l’amour d’autrui. Au fil du temps, la société commence à prendre conscience de la nécessité de respecter la personne humaine, et parallèlement s’ébauche la reconnaissance des enfants. En 1793 à l’écriture de la constitution des droits de l’homme, la notion de secours publique

entièrement à l'éducation de sa fille comme l'indique l'expression « elle avait passé plusieurs années sans revenir à la cour », faisant ainsi un sacrifice de soi, ce qui est à contre-courant des pratiques de son époque. En effet, au 17è siècles, les jeunes filles étaient élevées par un précepteur, ou au couvent. C’est donc toute l’originalité de Mme de Chartres. Elle consacre toute son énergie à l'éducation complète de sa fille comme le montre l'opposition entre les expressions « elle ne travailla pas seulement

SCOLARISER LES FILLES ? JE NE SUIS PAS MA MERE ! CHÈRE BINTA ET VOS POÈMES, PENSÉES, PHOTOS…. TABLE DES MATIÈRES LETTRE DE LA RÉDACTRICE EN CHEF ...................... 1 INTERVIEWS AVEC LES FEMMES PROFESSIONNELLES .... 2-4 LES FEMMES ADMIRABLES ................................ 5 JE NE SUIS PAS MA MÈRE !............................. 6-7 HOMMAGE À MA MÈRE ................................. 8-9 LE VIH ET LA VULNERABILITÉ DES FEMMES ........10-13 POURQUOI SCOLARISER LES FILLES ............

de fin d’études sur les adolescentes enceintes car je trouve que c’est un sujet dont on ne parle pas assez dans nos sociétés. En effet, l’actualité ne concerne que peu ou pas du tout les jeunes filles touchées par une grossesse à l’adolescence. J’ai moi-même connu dans mon entourage plusieurs jeunes filles ayant vécu cette situation. Je me suis alors posé la question de savoir comment cela pouvait-il arriver et pourquoi faire le choix de garder l’enfant ? Après plusieurs recherches j’ai finalement

sommes heureux ; et tu ne peux que nuire à notre bonheur. Nous suivons le pur instinct de la nature ; et tu as tenté d’effacer de nos âmes son caractère. Ici tout est à tous ; et tu nous as prêché je ne sais quelle distinction du tien et du mien. Nos filles et nos femmes nous sont communes ; tu as partagé ce privilège avec nous ; et tu es venu allumer en elles des fureurs inconnues. Elles sont devenues folles dans tes bras ; tu es devenu féroce entre les leurs. Elles ont commencé à se haïr ; vous vous

L’ignorance se fait remarquer entre autres lorsque les femmes d’un certain âge critiquent les jeunes femmes qui tombent enceintes avant le mariage, c’est-à-dire les filles-mères. Le personnage de Lise Paquette, qui est célibataire et enceinte, fait une remarque à propos de Rose Ouimet qui tient des préjugés envers les filles-mères : « M’a la tuer, la calvaire! Grosse maudite sans dessine ! Ça se parmet de juger le monde, pis ç’a pas plus de tête… » (p.76) De plus, la trahison prend une place importante

mère, cela va influencer l'aide au devoir de son enfant. Ainsi plus le niveau d'étude sera élevé, plus l'aide sera facile à donner et bénéfique pour l'enfant. Par exemple, 91% des mères ayant un certificat d'études primaires se juge dépassé par les devoirs de son enfant se trouvant au lycée alors que seulement 45% des mères disposant d'un diplôme d'enseignement supérieur se jugent dépassées. La famille instaure des valeurs et normes propres à elle, et l'école essaye d'instaurer l'égalité, respect etc

l’appropriation du monde extérieur tandis que les femmes se consacraient à des activités plus reposantes en effectuant un travail domestique au sein de leur habitation. De ce fait, les garçons étaient élevés en grande partie par leurs pères et les filles, par leurs mères. Cette séparation distincte des deux sexes a traversé de nombreuses époques, et ce n’est qu’il y a un peu moins d’un siècle que de réels changements dans cet ordre des choses sont apparus. Toutefois, peut-on vraiment parler d’égalité des

l’histoire, le vécu de chaque femme. A la naissance de l’enfant, les réactions des mères sont très différentes. Certaines femmes ne prennent conscience de leur état qu’au cours de l’accouchement : il leur est alors très difficile de faire face en même temps à l’accouchement et à la levée du déni. Si elles sont seules à cet instant, le pronostic vital de l’enfant est souvent engagé. Mais près de la moitié des mères accueilleraient favorablement cet enfant « surprise ». Que deviennent-ils ces « enfants

dynamiques de changement social par la conception et la mise en œuvre de projets pilotes en partenariat avec des partenaires locaux ; En partenariat avec ces OSC, EquiPop s’engage au plus près des populations pour faire avancer la cause des femmes et des filles. Faire que naître fille ne soit plus un handicap.  Mobiliser les acteurs d’influence pour créer un environnement institutionnel et juridique plus favorable. Informer les décideurs, les encourager à agir mais aussi les rappeler à leurs engagements