Mères et Filles

femmes plus âgées, à condition bien sûr qu'elles soient suivies. En effet, d’après de nombreux spécialistes, le jeune âge des mères n’est pas synonyme de risque médical supplémentaire. Toutefois, des facteurs de risque existent et la combinaison de problèmes psychosociaux, de difficultés relationnelles au sein du couple ou de la famille, ou encore la crainte que ces jeunes filles ont de l’avenir peut entraîner des complications au cours de leur grossesse. Dès lors qu’elle a décidé de garder l’enfant

These novels would appeal to a wider readership than works by Historians with the same subject matter. iii
 
 
 Keywords • L’Histoire • L’histoire • Le roman • Le coron • Les Poilus • Les Boches • Les filles mères iv
 
 
 Definition of concepts 1. According to the Petit Larousse Illustré, L’Histoire written with a capital H refers to the study and science of the account of facts and past events concerning the life of humanity, of a society, a person

d’élever les enfants. En acceptant le rôle donné par la société, la plupart de femmes se tournent vers les emploits traditionnellement féminins et les postes moins exigeants. Les statistiques nous montrent que dans les pays industrialisés les filles obtiennent des meilleurs résultats scolaires et aquierent plus de diplômes universitaires, comparativement aux garçons. L'emploi accru des femmes dans les dernières décennies a contribué à la croissance du PIB mondial. Elles sont importantes pour

tout, un citoyen est un acteur politique. Depuis la loi établie par Périclès en 451 avant J-C, il faut, pour être citoyen, être né d’un père et d’une mère, non citoyenne, mais fille de citoyen. En effet, même liées aux citoyens en tant que mères, épouses ou filles, les femmes ne sont pas des citoyennes. L'inégalité entre les femmes et les hommes paraît naturelle aux Athéniens. De plus pour obtenir le statut de citoyen un athénien doit avoir accomplie son service militaire (éphébie) et être âgé de plus

foyer. L’ignorance se fait remarquer entre autre lorsque les femmes d’un certain âge critiquent les jeunes femmes qui tombent enceintes avant le mariage, c’est-à-dire les filles-mères. Le personnage de Lise Paquette, qui est célibataire et enceinte, fait une remarque à propos de Rose Ouimet qui tient des préjugés envers les filles-mères : « M’a la tuer, la calvaire! Grosse maudite sans dessine! Ça se parmet de juger le monde, pis ç’a pas plus de tête… » (Act 2, p.76) Il est donc évident que ce manque

française Ce sont d'abord les réticences des hommes au pouvoir qui excluent ces femmes de la sphère politique. La plupart des députés partagent les conceptions exposées dans Émile, ou De l'éducation de Rousseau d'un idéal féminin restreint au rôle de mères et d'épouses, rares étant ceux qui, comme Condorcet, revendiquent le droit de vote des femmes. En novembre 1793, toute association politique féminine est interdite par la Convention, un seul député s'y oppose Louis Joseph Charlier, mais les femmes

mère au foyer, 20% employé et 20% cadre. Leur panier moyen en prêt à porter sur un mois est de 100 euros pour elle et leur famille. Le magasin étant dans un centre commercial il y a beaucoup de trafic, en journée la plupart des clientes sont des mères aux foyers ou en congés maternités celle-ci prennent leur temps et souhaite être conseillé, leur revenu sont donc plutôt dans la moyenne et cherche un bon rapport qualité prix avant tout. Dans la soirée il y a plus de salariés sortant du travail

société. Les femmes s’occupent toujours de leurs foyers. Ce rôle traditionnel est ainsi rappelé par une directrice d’école aux jeunes filles qui ont terminé leurs études primaires et quittent l’école (doc. 1, dossier 2). Mais durant la guerre les femmes sont seules et font alors également office de chefs de famille. Certains droits des pères sont ainsi transmis aux mères (doc. 2, dossier 2). Pour autant, les femmes qui remplacent les hommes pourront-elles réussir dans leurs nouvelles tâches ? C’est

d'apprendre est d'autant plus vif. Les partisans comme les adversaires de l'éducation des filles pressentent que le droit au savoir contient en germe l'autonomie ainsi que le pouvoir féminin. Durant cette période, la femme a bien une infériorité intellectuelle par rapport aux hommes mais elle n'est pas naturelle. Elle est due à un accès difficile à l'enseignement de qualité. Au cours du Second Empire, les filles n'ont la possibilité de se rendre qu'aux pensionnats ou aux écoles privées pour suivre un

pour filles. En 1838 est alors crée la première école normale d'institutrices Puis en 1850, la loi Falloux fixa l'objectif d'une école primaire pour filles dans chaque commune de plus de 800 habitants. Aussi, en 1867, la loi Duruy aligne ce seuil sur les standards masculins en le fixant à 500. A cette époque, 41% de la population féminine est illettrée contre 25% pour la population masculine. Les couvents et congrégations prennent alors majoritairement en charge l'éducation des jeunes filles mais