Mères et Filles

de la salonnière a la mère. Mademoiselle de Lussan dans les «Les veillées de Thessalie » nous présentent un conte domestique. La conteuse est une femme plus âgée qui raconte à son audience de jeunes filles un conte pastoral qui se situe dans la Grèce antique. Tout en écoutant la conteuse les filles s’occupent les mains avec des travaux domestiques. Madame de Genlis « La Belle et la Bête » sous forme de pièce de théâtre présente une infortunée héroïne enlevée par la Bête, mais pour la sauver

étaient moins bien instruites que les hommes et les citadins étaient mieux instruits que les paysans. Les filles ne recevaient que l'éducation religieuse, les préceptes de civilités et l'instruction scolaire. Elles avaient le choix entre le mariage ou le couvent, d'où elles ne sortaient qu'a leur 20 ans. A part les enseignements domestiques, elles n'ont pratiquement aucun enseignement. Les filles aisées restaient au couvent jusqu'à leur mariage. Elles ont un enseignement pratique : La couture, les soins

I)L'éducation avant le 20eme siècle Avant 1870, les jeunes filles, ayant peu de droits, n'avaient pas accès à l'enseignement scolaire. Elles ne savaient donc ni lire, ni écrire, ni compter.Avec la naissance de la IIIéme République, les temps changent: les jeunes filles sont toujours considérées comme inferieures, elles obtiennent cependant des droits, en particulier le droit à la scolarité. Leurs vies vont donc être bouleversées grâce à des lois qui petit à petit changent leur histoire. a)

Boitelle). Maupassant dénonce le fait que les enfants ne grandissent pas dans un univers protégé, à part. Des leur plus jeun âge, ils sont confrontés très directement aux réalités cruelles du monde des adultes, à toutes les misères du cœur humain. Les mères Maupassant veut tout d’abord rappeler le rôle de la mère, aimante (dans le papa de Simon, aux champs, le père, Coco, le baptême) amoureuses (dans le papa de Simon, aux champs, le père), dévouer à leur famille, et à l’éducation de leurs enfants. Mais

nous sommes victimes. Résumé L’auteur nous livre les recherches qu’elle a faites sur les femmes en situation de précarité en France, notamment les travailleuses précaires, les chômeuses, les mères célibataires, les femmes battues qui se retrouvent à la rue du jour au lendemain, les grands mères qui n’ont d’autres revenus que le minimum vieillesse, les adolescentes en errance, les immigrées, les clandestines, les SDF. Elle pose le questionnement suivant : Pourquoi les femmes, parce qu’elles

célibataire : Le travail domestique des filles Le travail domestique des mineures est un phénomène qui prend ses racines du milieu rural, dont la population constitue la moitié du pays. Même si les familles limitent la liberté de leurs filles lorsqu’elles sont à leurs côtés, elles les confient insouciamment à des ménages citadins sachant qu’elles vont générer un revenu. Devenues petites bonnes, pour ne pas dire esclaves de leurs employeurs, les filles, en plus de la violation de leurs droits à

le recueil ? Assemblage de textes de même nature, le recueil était encore en 1937, année de publication des Mains libres par Ray et Eluard, cousu à l’aide d’un fil et d’une aiguille. Or le motif de la couture est un thème récurrent dans l’œuvre et sa présence aux deux seuils du recueil, dans le couple liminaire précisément intitulé « Fil et aiguille » puis dans « La couture », semble lui accorder une importance particulière. Il semble bien que le motif tisse, au propre comme au figuré, ce recueil

familles monoparentales sont plus difficiles que celles des autres familles, avec des situations néanmoins très contrastées, selon leur situation sur le marché du travail et leur environnement social. Ainsi, « les mères seules de jeunes enfants rencontrent davantage de difficultés que les autres mères en couple: difficultés d'accès à l'emploi pour les moins diplômées d'entre elles, difficultés spécifiques de modes de garde pour les enfants et plus généralement difficultés pour concilier une activité professionnelle

envieux, on est jaloux, on se trompe, on s'afflige, on se cache, on dissimule, on s'épie, on se surprend, on se querelle, on ment ; les filles en imposent à leurs parents ; les maris à leurs femmes ; les femmes à leurs maris ; des filles, oui, je n'en doute pas, des filles étouffent leurs enfants ; des pères soupçonneux mépriseront et négligeront les leurs ; des mères s'en sépareront et les abandonneront à la merci du sort ; et le crime et la débauche se montreront sous toutes sortes de formes. Je sais

envieux, on est jaloux, on se trompe, on s’afflige, on se cache, on dissimule, on s’épie, on se surprend, on se querelle, on met ; les filles en imposent à leurs parents ; les maris à leurs femmes ; les femmes à leurs maris ; des filles, oui, je n’en doute pas, des filles étoufferont leurs enfants ; des pères soupçonneux mépriseront et négligeront les leurs ; des mères s’en sépareront et les abandonneront à la merci du sort ; et le crime et la débauche se montreront sous toutes sortes de formes. Je