Mères et Filles

rapproche-t-elle les mères et les filles ou les éloigne-t-elle ? Aujourd'hui nous vivons dans une société qui évolue sans cesse. Hier encore la femme avait pour seule rôle d'être femme au foyer, maintenant elle doit en plus s’occuper de sa vie professionnelle... Toutes ses évolutions bonnes ou mauvaise jouent également sur les relations entre les mères et les filles. Ce qui entraine à ce poser la question suivante: L’évolution des mœurs rapproche ou éloignent-elle les mères et les filles? Dans une première

est de la ville de Nantes, et devient dès lors à la fois bailleur et financeur de l’association gestionnaire. Cette structure d’accueil est ce qu’on appelle un centre maternel qui accueille les mères et leurs enfants confrontés à des situations difficiles. Mais sa spécificité est de prendre en charge les mères adolescentes. La moyenne d’âge à l’admission est de 16 ans. Mais, il arrive parfois que la grossesse survienne encore plus tôt. La plus jeune des pensionnaires avait, à son arrivée, 13 ans.

élèvent seuls leurs enfants n'ont pas de conjoint pour les soutenir ou partager leurs sentiments. Le temps, l'argent et la solitude prennent donc souvent une dimension très importante dans leur vie.  Sur le plan financier, beaucoup de pères et de mères seuls sont pris dans un cercle vicieux: il leur faut gagner l'argent nécessaire pour assurer à leurs enfants un logement, une alimentation et un habillement corrects, mais pendant qu'ils travaillent, qui prend soin d'eux? Non seulement les garderies

précoce Etre maman bien avant ses copines, ça arrive. Qu'il s'agisse d'une surprise ou d'un projet de vie, un bébé bouleverse toujours le quotidien, d'autant plus quand sa propre enfance n'est pas très loin. Combien la France recense-t-elle de "filles-mères" ? Quels sont leurs besoins et leurs angoisses spécifiques ?… Aujourd'hui, plus de la moitié des européennes enceintes avant 18 ans décident de garder leur enfant. Et les jeunes papas acceptent alors volontiers d'assumer leurs responsabilités

Mères mineures, grossesses précoces : regards croisés entre professionnels et jeunes. Par Mary Dubois, étudiante en sciences politiques à l’Institut d’étude politique de Paris, stagiaire auprès de l’institution du Délégué général aux droits de l’enfant du 13 septembre 2010 au 13 mai 2011 Mai 2011 1 Remerciements Je tiens à remercier le Délégué Général aux Droits de l’Enfant, Bernard de Vos et toute son équipe de m’avoir permis de choisir ce thème et de m’avoir aidé à l’approfondir et à l’achever

mineures enceintes, dont 25 à 30 relèvent de la protection de l’enfance et sont prises en charge par l’Aide sociale à l’enfance (ASE) », explique Claude Roméo, directeur de l’enfance et de la famille au conseil général de Seine-Saint-Denis. « Jeunes filles victimes de maltraitance avant, pendant ou après la grossesse qui, faute de structures adéquates, étaient orientées dans un centre d’accueil en Loire-Atlantique ce qui ne facilitait pas le maintien des liens ». Le conseil général a donc créé la Maison

leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne Les enfants de l'école viennent avec fracas Vêtus de hoquetons et jouant de l'harmonica Ils cueillent les colchiques qui sont comme des mères Filles de leurs filles et sont couleur de tes paupières Qui battent comme les fleurs battent au vent dément Le gardien du troupeau chante tout doucement Tandis que lentes et meuglant les vaches abandonnent Pour toujours ce grand pré

l’action conjointe de trois facteurs : le développement de la scolarisation des filles, l’entrée massive des femmes dans le monde du travail et la maîtrise de la fécondité. A. Réduction des inégalités scolaires La massification et la réussite des filles à l’école ont permis une réduction des inégalités scolaire entre les filles et les garçons. En effet, dans les dernières décennies du XX° siècle, les filles ont rattrapé puis dépassé les garçons sur le plan scolaire : durée moyenne des

possessions et l’effet qu’elles produisent, nous servent de miroir et permettent ainsi de nous définir. Ladwein et Sevin, (2006) mettent en évidence dans leur étude exploratoire que la femme enceinte signale son appartenance au groupe social des mères, par les biens de consommation rattachés à sa grossesse. Dans ce sens, les possessions participent activement à la construction et à l’expression de l’identité sociale. Les objets de consommation sont ainsi perçus comme des biens positionnels, permettant

posent ici la question de la relation mères et filles et de ses impacts sur l'identité des jeunes femmes. Nous allons aborder le problème par deux approches. La première concernera l’examen des incompréhensions entre mère et fille : dans quel mesure les mœurs sont-elles responsables de cette césure. Puis dans une seconde partie, nous poserons la question des problèmes identitaires propres aux filles : quel est la part de responsabilité occupée par les « mères extrêmes ». Abdelmalek Sayad dans