Méridien de Greenwich

Rose Ligne - appelée méridien ou longitude - était une ligne imaginaire tracée sur le globe terrestre entre le pôle Nord et le pôle Sud. Leur nombre était théoriquement infini, car chaque point de la planète pouvait prétendre à son propre méridien. Le problème qui se posait aux anciens navigateurs était de savoir lequel on pouvait nommer Rose Ligne - la longitude zéro, qui permettait de situer tous les autres méridiens du globe. Aujourd'hui, la Rose Ligne passait à Greenwich, en Angleterre. Mais

soleil Toute application solaire nécessite la connaissance du mouvement apparent du soleil pour un point donné de la surface terrestre, caractérisé par sa latitude (positive pour l’hémisphère Nord) et sa longitude (définie par rapport au méridien de Greenwich, positivement vers l’est). Figure 2.2 Trajectoires apparentes du soleil vues par un observateur terrestre: pour un jour donné, le soleil décrit un cercle centré sur l’axe de rotation de la terre, déplacé à un angle δ par rapport au

l’imiter, quand l’ingénieur, l’arrêtant de la main, lui dit : – 124 – « Non, mon cher Spilett, attendez. Vous avez conservé l’heure de Richmond, n’est-ce pas ? – Oui, Cyrus. – Par conséquent, votre montre est réglée sur le méridien de cette ville, méridien qui est à peu près celui de Washington ? – Sans doute. – Eh bien, conservez-la ainsi. Contentez-vous de la remonter très exactement, mais ne touchez pas aux aiguilles. Cela pourra nous servir. – À quoi bon ? » pensa le marin. On

rapport au nord par exemple, vers laquelle il s’est dirigé (ici, environ 180 km, 19° à l’est du nord). Longitudes et latitudes forment un système de coordonnées, dont le point de référence (l’origine) est l’équateur pour les latitudes et le méridien de Greenwich (Angleterre) pour les longitudes (voir annexe IV du manuel). Le choix d’une origine différente, l’aéroport dans cet exemple, et d’un axe par rapport auquel on mesure les orientations, ici l’axe nord-sud, définit un autre système de coordonnées

trouvions tout près de la commune de Greenwich et de son célèbre observatoire. Mais, de ce côté de la Tamise, le quartier gagné sur les eaux du fleuve n'était que modernité, les immeubles de verre et d'acier rivalisaient de hauteur, le béton avait coulé par tonnes. En fin d'après-midi, j'avais réussi à convaincre mon ami d'aller nous promener du côté de l'île aux Chiens, et de là, nous entrâmes sous le dôme de verre qui surplombe l'entrée du tunnel de Greenwich. À quinze mètres de profondeur, nous

les traités, toutes les conférences se passent en Europe, elle exploite les ressources du monde entier, elle est le centre du monde. Jusqu’à un certain point, l’expression "L’Europe est l’horloge du monde" ne doit pas être prise à la légère (méridien du Greenwich...). Le monde a été formé par l’Europe, le modèle dominant c’est elle, les références restent européennes. On se modernise comme l’Europe l’a fait pour mieux pouvoir lutter contre l’Europe. L’Europe a apposé sa marque sur le monde : sport,

située au pôle Nord. Cette île représente le centre suprême nommé difficilement selon les Traditions : île Blanche, Avallon ou Shambhalla ou Pays de l'Agartha. Cette île matérialise, sur la Terre, le point principal où se focalise le fameux méridien 0 ou lumineux..." Elle ajoute que l'Hyperborée est également nommée Ultima Thulé ou Ile Blanche et qu'il y vivait "une race divine, spirituelle, élevée au niveau de conscience cosmique. On appelait ces habitants les grands transparents et leur

français de la culture, le projet Gutenberg, le Bibliothèque Nationale, la bibliothèque gnostique de société, le département de l'étude de peintures et du service de documentation à l'auvent, les nouvelles catholiques du monde, l'observatoire royal Greenwich, la société record de Londres, la collection de Muniment à l'abbaye de Westminster, le brochet de John et la fédération des scientifiques américains et des cinq membres de l'opus Dei (trois actifs, deux anciens) qui a raconté leurs histoires, positif

comparait ensuite ses relevés avec les éphémérides donnant la position dans le ciel, au dessus de l’Observatoire Royal de Greenwich, du soleil (pour la navigation de jour) et des étoiles (pour la navigation de nuit) en fonction de l’heure. L’horloge du bateau devait être mise à l’heure avec une grande précision avant de partir. Il suffisait de passer devant l’Observatoire de Greenwich. Tous les jours, une boule horaire donne l’heure précise à 12 h (en hiver) ou 13 h (en été). Elle monte à demi-mat

Internet Visite virtuelle du Musée des Arts et Métiers : http://www.arts-et-metiers.net/visitevirtuelle/ – Exposition virtuelle de la BNF sur les Lumières et l’Encyclopédie : expositions. bnf.fr/lumieres – Visite virtuelle de l’observatoire de Greenwich www.rmg.co.uk/royal-observatory – Site de l’exposition sciences et curiosités à la cour de Versailles (2011) : http://sciences.chateauversailles.fr/ © Hachette Livre 2014 – Reproduction interdite moderne. Le document 1 est un tableau qui