Merleau Ponty Savant

1. Le sujet La conscience : Descartes, Discours de la méthode La perception : Alain, 81 Chapitres sur l'esprit et les passions L'inconscient : Freud, Métapsychologie Autrui : Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception Le désir : Épicure (342-270 av. J.-C.), Doctrines et Maximes L'existence et le temps : Pascal, Pensées, Lafuma 47 (1670) 2. La culture Le langage : Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes L'art : Hegel, Esthétique I Le travail

Daniel Liotta, a été consacrée à Histoire de la Folie à l’âge classique de Michel Foucault. Elle a donné lieu à de fertiles échanges. Une seconde séance, sous la conduite de Ronald Bonan, a présenté un extrait de la préface de Signes de Maurice Merleau-Ponty. Hannah Arendt, Pierre Bourdieu, Jean-Paul Sartre, Nelson Goodman, etc., constitueront l’objet de futurs séances. A l’issue de la première séance, l’auditoire a manifesté le désir de prolonger la réflexion sur Foucault. Le cercle essaiera donc

exprimer son état naturel, tout en étant culturel, par le procédé de la sublimation. Phénoménologie de la perception de Merleau-Ponty, philosophe français du XXème siècle, affirme qu’il est impossible de dissocier les comportements « naturels » et les comportements « culturel » de l’homme. Tous les comportements humains sont impérativement naturels et culturels. Merleau-Ponty donne l’exemple du baiser amoureux. Le caractère naturel du baiser amoureux est le rapprochement corporel, et l’association

à mesure que la lumière s’élevait sur notre horizon ». Rousseau prétend donc que les sciences et les arts sont des ennemis de la vertu, c’est-à-dire de la bonne conduite, de la morale. Plus récemment, au 20ème siècle, le philosophe Maurice Merleau-Ponty expose une vision différente des rapports entre nature et culture chez l’Homme. Pour lui, ces deux notions sont extrêmement liées : il n’y a pas de réel combat. « Tout est fabriqué et tout est naturel en l’Homme », chacune de ses actions est imprégnée

XVIIe siècle dit le Grand Siècle Baroque et Classicisme Roman et contes Poésie Moralistes Philosophie Molière : dom Juan, le Misanthrope, tartuffe, les femmes savantes (comédie) Racine : Phèdre, Bérénice, Britannicus, Andromaque (tragédie) Corneille : le Cid, Cinna, Horace… (tragédie, tragicomédie) Madame de Lafayette : La princesse de Clèves Honoré d’Urfé : l’Astrée Charles Perrault : Contes Fénelon : les aventures de Télémaque Boileau : art poétique. Malherbe Saint Amant la

d’impiété, se défend bien de ne point honorer les Dieux ; il affirme même croire plus que ses accusateurs ; mais la différence, c’est qu’il cherche à donner un sens, à interpréter, à raisonner pour rendre compte de ses croyances. Et comme le souligne Merleau-Ponty, dans son livre intitulé Éloge de la philosophie (1953), la croyance ne laisse pas de place aux raisonnements, elle s’y oppose sans raison ; pour ce motif , en parlant de Socrate il dit : “ il donne des raisons

exemples que je vous scanne (il serait intéressant d’en retenir un, pour le bac). On remarque donc que ces œuvres sont caractérisées par une dimension de « liberté » : celle de la personne qui les interprète. Par exemple, les œuvres de la musique dite savante (ce que l’on appelle régulièrement musique « classique ») sont des œuvres dont l’interprétation est plutôt fermée. Alors évidemment, il reste toujours une part d’improvisation dans le jeu d’une musique écrite. Par exemple, les partitions

En conséquence, la raison en tant que substance pure dissociée du corps où elle se trouve n’est pas pensable pour la raison elle-même. Or le corps lui-même semble ne pouvoir être dissocié du monde qu’il perçoit par le biais de ses sens. Ainsi Merleau-Ponty, dans L’oeil et l’esprit montre que mon corps est à la fois voyant et visible. Il se touche touchant. Il est pris dans le tissu du monde et sa cohésion est celle d’une chose. Mais puisqu’il voit les choses, elles sont incrustées dans sa chair,

philosophie, la sociologie et l'économie, la préhistoire, l'archéologie et l'histoire, la linguistique. Un accueil tout particulier est réservé aux savants étrangers. Des professeurs titulaires étrangers font partie du corps professoral. Les titulaires de la chaire européenne et de la chaire internationale sont renouvelés chaque année. Une cinquantaine de savants étrangers sont invités pendant un mois pour donner une série de quatre conférences. TOUJOURS EN MOUVEMENT Depuis sa fondation, en 1530 par

Stockholm un an plus tard. Gassendi (Pierre Gassend, Dit) : (1592-1655) Né à Digne, Gassendi étudie la théologie en Avignon puis enseigne la philosophie à Aix-en-Provence. Prévôt de la cathédrâle de Digne à partir de 1626, il fréquente les milieux savants parisiens. Il enseigne ensuite les mathématiques au Collège royal de Paris de 1645 à 1648. Il eut une influence certaine sur les philosophes du XVIII° siècle (Locke, Bayle, Voltaire). Freud (Sigmund) : (1856-1939) Sigmund Freud est né en 1856