Mérovingiens

relate l'histoire de l'église débutant par la genèse de l'homme, jusqu'en 572, s'adressant au personne lettrée de son époque, l'auteur à travers ce récit narratif à nature historiographie, nous fournis une source d'information sur le règne des rois Mérovingiens et ici plus particulièrement sur celui de Clovis 1er. Après avoir été mis à mal ainsi que son armée, lors d'une bataille contre les Alamans Clovis qui ne croit plus trouver grâce auprès de ses dieux, s'adresse au Christ lui demandant la victoire

précise que une fois sur place, les soldats peuvent être amenés directement à combattre. Ils doivent donc être prêts. On voit ici que l'armée carolingienne était bien organisée. Elle casse avec l'image plus désorganisée et brouillonne de l'armée mérovingienne avec un rassemblement de guerriers,ect .. : «  avec armes, outils et autres instruments nécessaires » : on voit bien ici que l'Empereur ne fournit rien à ses combattants, c'est à eux d'assurer l'armement etla logistique ( vivres, vêtements, outils

confrontation. D'un côté, la coutume germanique, que soutient l'aristocratie, veut que le territoire sur lequel règne un souverain soit divisé entre tous ses fils légitimes après sa mort ; c'est ainsi qu'il en a été décidé pour la totalité des souverains mérovingiens et carolingiens jusqu'à Louis le Pieux. De l'autre, une conception nouvelle, soutenue par l'Église, veut que l'empereur ne prenne pour seul héritier que son fils aîné afin d'éviter les guerres entre frères rivaux. Ainsi, Louis Le Pieux le Ier parvient

Legrand PierreGroupe J Histoire du droit Séance n°2 : La Gaulle Mérovingienne Commentaire de texte : Grégoire de Tours premier historiographe de l'histoire de France mais aussi évêque de Tours vers 573 est surtout connut pour son œuvre latine du VIeme siècle intitulé « L'histoire des Francs ». Il s'agit d'une œuvre colossale qui s’étale sur une période de dix-sept ans ( 575-592) et regroupent dix livres. A travers ces livres il décrit les événements de la vie politique, économique et

L’Ancien Régime et la Révolution La France avant la Révolution, héritage institutionnelle de l’Ancien Régime Section I : Le Roi de France La France a été un royaume dirigé par un Roi. Plusieurs dynasties se succèdent sur le trône royal * Les mérovingiens, descendant de Clovis, roi au royaume des francs du Vème au VIII ème siècle * Les carolingiens avec Charlemagne, du VIIIème au Xème siècle * Les capétiens à partir de l’année 987 : Hugues Capet devient Roi jusqu’au XIXème siècle pendant

d’enfant mâle pour lui succéder – capétiens-Valois. Guerre de 100 ans. Création d’une dynastie par l’hérédité, l’héritier du trône est le fils ainé, il n’y a plus réellement d’élection. 2) L’hérédité. Avantage : investissement direct, les Mérovingiens ont disparu à cause de la division du royaume en petits royaumes pour chaque fils, donc hérédité et primogéniture = garantie que le sang royal était en de bonne mains et consolidation de l’harmonie du royaume. 3) Le sacre. Il fallait sacrer

l’Etat demeure) mais aussi la continuité. Les germains, en pénétrant dans l’empire d’Occident ont sonné le glas. De ces conflits vont sortir vainqueurs les Francs, qui jusqu’à 751 vont reconstituer l’unité de la Gaulle déchirée. 751 : les Mérovingiens disparaissent parce qu’ils n’ont pas été capables de maintenir cette unité. Pépin le Bref donne naissance à une autre dynastie : la dynastie Carolingienne, de Charles Magne (Carolus Magnus). Ils vont donner l’illusion de l’unité retrouvée et apparaitre

tenter d’affermir ses droits et ses privilèges actuels.  Ici, Gervais fait référence à la figure de saint Rémi, son lointain prédécesseur sur le siège archiépiscopal de Reims. Selon l’historien du VIe siècle Grégoire de Tours, Rémi baptisa le roi mérovingien Clovis (vers 466-511) le 25 décembre 496 ou 498 à Reims. On sait qu’il n’est nullement question d’élection – Clovis est déjà roi – et de sacre (ou de consécration) lors de cette cérémonie contrairement à ce qu’affirme Gervais : « En recevant la

alleux, c’est-à-dire des terres en pleine propriété reçues en héritage, mais il ne s’agissait à proprement parler que d’une succession immobilière. Mais par le fait même que la loi salique manifestait la continuité du principe de masculinité des Mérovingiens aux Capétiens, cette loi connut une fortune considérable. L’antiquité de l’édit semblait plus convaincante que l’origine coutumière des règles successorales. B. Le Principe de catholicité. Les guerres de religions qui frappèrent l’Europe

sanctuaire. L’empereur était sacré car son pouvoir était d’origine divine. Mais on est allé plus loin sous l’époque franque avec pratique du sacre. SECTION 1. LE SACRE DU ROI DE FRANCE §1. L’HERITAGE DE L’ANCIEN TESTAMENT La monarchie mérovingienne n’a pas connu le sacre. Cette pratique n’a été introduite qu’au profit des rois carolingiens. La pratique du sacre n’apparait pas avec la christianisme : Rome n’a jamais connu le sacre. Les germains n’avaient pas non plus recours à cette pratique