Mes chers amis

Plaidoyer : Les JustesMes chers camarades, madame NisolleNous ressentons beaucoup de peine pour monsieur Yanek Kaliayev. Cet homme aussi courageux que sensible, cet homme dont le sort est entre nos mains aujourd’hui, cet homme ne mérite pas une condamnation à mort alors qu’il ne cherchait qu’à faire régner la justice afin de sauver son peuple du despotisme.Si vous pensez vous trouvez devant un dangereux meurtrier sans cœur qui a tué un homme, le mari d’une femme, le Grand-Duc de Russie. Eh bien détrompé

éditorial p.6 6. Un guide (de recommandations) p.4 7. Une histoire 8. Un journal intime p.3 9. Une lettre a) informelle: à un ami/camarade/copain p.11 à un membre de ta famille b) semi formelle: aux parents de tes amis p.12 c) formelle: au directeur (de ton école, d’un entreprise) pp9/10 au professeur au rédacteur d’un journal une lettre d’affaires 10. Une liste p.4 a) de recommandations b) de

8/04/14 Français – lettre ouverte Consigne : Vous écrivez une lettre ouverte aux dirigeants des pays qui pratiquent encore la peine de mort pour les convaincre de la supprimer. Chers amis, je voudrais en ce jour, tenter de vous convaincre sur le fait de l'abolition de la peine de mort dans vos pays. Je l'admets, tout individu portant volontairement atteinte à la vie de ses semblables doit être puni. Cependant, je pense que la peine

va descendre où tout se désassemble. Quel ami me voyant en ce point dépouillé Ne remporte au logis un œil triste et mouillé, Me consolant au lit et me baisant la face, En essuyant mes yeux par la mort endormis ? Adieu, chers compagnons, adieu, mes chers amis, Je m’en vais le premier vous préparer la place. RONSARD P., Derniers Vers, 1586 -Situation : sonnet de Ronsard (16e siècle – Pléiade). Extrait du recueil « derniers vers » publié en 1956, donc recueil posthume (Ronsard est

« Le monde est un pervers et je continuerai de le braver. Parce que le monde est un enfer plus rien ne m'atteindra ». Mes chers camarades de classe, à travers les mots d’Indochine, je vais vous parler du monde dans lequel nous vivons aujourd’hui. Un monde où si tu es différent des autres ou si tu essaies de l’être on te montre du doigt parce que c’est « mal ». Cette critique est alimentée par différents facteurs comme le code vestimentaire, la musique que l’on écoute, nos centres d’intérêts, l’éducation

ont vécu cette fraternisation. Nous pouvons également prendre pour exemple le film Joyeux Noël de Christian Carion, qui montre la fraternisation de camps ennemis lors de Noël. La trêve de Noël 1914 vue par un caporal Français : Le 26.12.14 Mes chers Parents, Encore 36 heures de tranchées faites, mais celles-ci se sont passées dans des conditions particulières que je vais vous raconter. Nous étions cette fois à 25 mètres des tranchées allemandes, que nous distinguions très nettement. Ceux que

oublié au combat . 5) J'observe que dans la propagande, le soldat est sensé être vu comme un héros par les non combattants mais la population ne fait ressentir aucune admiration, plutôt de l'indifférence. Mes chers parents, Je suis encore vivant et en bonne santé, grâce à mes frères d'armes, qui m'ont donné tout ce dont j'avais besoin. La seule chose qui n'ont pas su me redonner, était mon ami, mon Ami qui m'était si précieux, si gentil, si combattant

hiver dans la mort. Victor Hugo dans son fameux poème « veni, vidi,vici » nous expose le jugement de sa vie qui est à son crépuscule et nous dépeint la mort comme une délivrance. Il voit la mort comme une délivrance et un moyen de retrouver les êtres chers qu'il a perdue au cours de sa vie. Ici, la mort n'est donc plus une source de terreur et de souffrance, mais un cadeau de délivrance pour l'Homme. On retrouve cette vision de la mort dans de nombreux poèmes comme dans Décembre de François Coppée.

corps s’en va descendre où tout se désassemble. Quel ami me voyant en ce point dépouillé Ne remporte au logis un œil triste et mouillé, Me consolant au lit et me baisant le face, En essuyant mes yeux par la mort endormis? Adieu chers compagnons, adieu mes chers amis, Je m’en vais le premier vous préparer la place. (Ronsard, Derniers vers, Sonnets, 1)

propos du roi (le lion) sont sages et prononcé avec mansuétude (humanité). Il entame son discours par un contre-rejet « mes chers amis » (15) pour insister dessus. Il se place au niveau de son auditoire, pour faire preuve de chaleur et de solidarité et marquer une certaine égalité entre eux. Ce terme est mis en contre rejet soutenus par la rime intérieur en [i] « dit » ; « amis »…(15) plaçant le groupe nominal en évidence. L’intérêt général est rendu au ver 20 « guérison commune » ; « nos péchés » ;