Mes Filles Mes Filles Anastasie

madame de Beauséant et son amant, celle qui lie Anastasie à Maxime et celle entre le père Goriot et ses filles. Certes, cette dernière ne parle pas d'un couple mais il s'agit tout de même d'une relation d'amour car un amour paternel en reste un. Ce lien entre le père et les filles est exalté au possible. Les sentiments du père sont plus grands que ce qu'on peut imaginer. Il en arrive, sur son lit de mort, à s'inquiéter plus du sort de Delphine et Anastasie que du sien. (« Elles vont venir, reprit le

Parisienne.     C) Les personnages Le père Goriot : vieillard qui a dedié sa vie à ses filles, Delphines de Nucingen et Anastasie de Restaud. Il n'hésita pas à se ruiner , leur offrant tout ce qu'elles désiraient. Au fur et à mesure de l'histoire sa fortune diminuera considérablement. Son dernier souhait sera de voir ses filles avant de mourir, cependant celui-ci ne se réalisera pas et il décédera avec l'idée que ses filles ne l'aimaient pas. Il était négociant en vermicels et pâtes. Eugène de Rastignac : c'est

droit à Paris, et partant y faire fortune. EN vrai arriviste, il fréquente les salons parisiens. Il n’arrive pas à faire son choix entre Delphine qu’il aime et Victorine Taillefer qui est prête à se laisser conquérir. Il a du cœur contrairement aux filles du père Goriot sur lesquelles il va veiller jusqu’à sa mort. Vautrin : Il a une quarantaine d’années. Il se fait passer pour un ancien commerçant et fouille dans le passé des gens. Il semble avoir «  au fond de sa vie un mystère soigneusement enfoui »

au retour de la soirée chez madame de Beauséant, Eugène a trouvé Goriot mourant. Christophe envoyé auprès des filles pour un secours d’argent n’obtient rien, Anastasie est en conférence avec son mari, Delphine dort. Les longues plaintes du père désignent l’objet de son mal : « Ne pas les avoir, voilà l’agonie ». Eugène effectue alors une démarche vers chacune d’elles, vainement. Anastasie seule viendra, mais trop tard, son père aura sombré dans l’inconscience. Goriot meurt sans avoir revu celles à

A. Le lexique du sentiment 1. L'amour de Goriot envers ses filles Le Père Goriot aime de tout coeur ses filles, au point que cet amour s'est transformé en folie. Ligne 17 - "n'a eu qu'une passion" ; "il adore, dit-on, ses filles" Il aime tellement ses filles qu'il a tout donné pour elles, il en est même venu à se sacrifier quand il comprit que ses filles avaient honte de lui et qu'il ne pouvait plus être accueilli chez ses filles. Ligne 49 - Il avait donné, pendant vingt ans, ses entrailles

pensionnaires intrigue Eugène. Chez Mme de Restaud, puis, dans le faubourg Saint-Germain, chez Mme de Beauséant, sa cousine, où il rencontre la duchesse de Langeais, Rastignac apprend la vérité sur le père Goriot. Cet ancien vermicellier est méprisé par ses filles auxquelles il a consacré tout son amour et sa fortune. Il se ruine pour les caprices d’Anastasie (devenue la comtesse de Restaud) et de Delphine (épouse du banquier baron de Nucingen), qui ont toutes deux des amants. Pour faire son entrée dans le

Le Père Goriot, Honoré de Balzac En 1835, Honoré de Balzac, grand auteur réaliste, écrit Le Père Goriot. Il y retrace l'histoire d'un homme qui, par adoration pour ses filles, sacrifiera tout pour ces dernières; Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen. Dans l'extrait que nous étudions, Balzac nous relate l'enterrement de cet homme. Pourquoi l'auteur met-il ici en avant le manque d'argent, omniprésent durant la description des funérailles ? Nous analyserons tout d'abord l'aspect

prétend être ses filles en échange de quelques services inappropriés de leur part. Eugène reconnait en Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen ces deux femmes. Il ira voir sa cousine, de Beauséant, afin de faire d’elle son  « initiatrice» dans le monde. Il recevra par la même occasion la confirmation de la paternité de Goriot sur les deux femmes. Il apprendra qu’après avoir perdu sa femme qu’il aimait d’un amour profond, le père Goriot décida de déverser son amour sur ses filles. Ainsi donc il

personnages Le Père Goriot : Vieillard qui a dédié sa vie à ses filles, Delphine de Nucingen et Anastasie de Restaud. Pour elles, il n'hésita pas à ses ruiner, leur offrant tout ce qu'elles désiraient. (Au fur et au mesure de l'histoire et que sa fortune se lapide (s’anéantit), il monte dans la pension Vauquer). Son dernier vœu sera de voir ses filles sur son lit de mort. Il ne réalisera pas, ce qu'il le laissera mourir sur l'idée que ses filles ne l'aiment pas. → Voir des pages 126 à 129 dans le livre

l’amour paternel de père Goriot pour ses deux filles Anastasie et Délphine. Cet amour maladif qui va détruire le père à la fin Père Goriot a fait son fortune pendant la révolution vendant des pâtes. il a perdu sa femme très tôt et élévé ses deux filles lui-même. Il les a gâté sans cesse : « Riche de plus de soixante mille livres de rente, et ne dépendant pas douze cent francs pour lui, le bonheur de Goriot était de satisfaire les fantasies de ses filles »[1] Il refuse de leur juger et il leur porte