Mes Petites Amoureuses De Rimbaud

FICHE DE LECTURE CYRANO DE BERGERAC EDMOND ROSTAND L'auteur Arrière petit-fils d'un maire de Marseille ,Alexis-Joseph Rostand , et fils de l'économiste Eugène Rostand , Edmond Rostand nait dans une famille bourgeoise , aisée et cultivée en 1868 à Marseille . Au lycée , il se passionne pour Les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas , œuvre qui

présente. Le rossignol chante l’amour mais soudain il se tait pour laisser place à un « gémissement tellement profond qu'on l'eût pris pour l'adieu d'une âme ». C’est alors que tout semble mort. Maupassant emprunte même quelques mots tirés d’un poème de Rimbaud écrit en 1870, évoquant un soldat mort dans la nature. La nature semble morte elle aussi « Le ciel bleu leur paraissait obscurci ; l'ardent soleil était éteint pour leurs yeux ; ils s'apercevaient de la solitude et du silence. » Les deux personnages

Pléiade, constituée de 7 poètes (Ronsard, Du Bellay, Dorat) qui domine. * La Pléiade propose une poésie savante par imitation des anciens qui exploite et réactive les richesses de la langue. * La forme privilégiée est celle du sonnet (= signifie petite chanson). Il nait en Italie au 13ème siècle. Il est utilisé par Pétrarque à partir du 15ème siècle et est introduit par Marot au 16ème siècle et mis en œuvre par les poètes de la Pléiade. Très codifié, il constitue une forme fixe de référence. Il

abordent ce thème. ANTHOLOGIE : Je m'embarque joyeux, et ma voile pompeuse Je m'embarque joyeux, et ma voile pompeuse M'ôte déjà la terre et me donne les mers, Je ne vois que le ciel uni aux sillons pers : C'est le premier état de mon âme amoureuse. Puis je vois s'élever une vapeur confuse, Ombrageant tout le ciel qui se fend en éclairs, Le tonnerre grondant s'anime par les airs C'est le second état dont elle est langoureuse. Le troisième est le flot hideusement frisé, Le mât

pardonnant le vol des chandeliers, en refusant de refermer le cycle du vol et de la punition, parce que l’évêque lui a ainsi donné une nouvelle chance et qu’il lui a manifesté l’espoir qu’il plaçait en lui, que Jean Valjean, après avoir pris la pièce du Petit Gervais, entre en crise… et devient Monsieur Madeleine. Jean Valjean est bien prisonnier du regard de l’évêque, il ne peut empêcher ce regard d’entrer en lui et de lui faire contempler avec horreur l’acte qu’il vient de commettre ; la confiance de

bois frissonnant saigneMuet d'amour De chaque branche, gouttes vertes,Des bourgeons clairs,On sent dans les choses ouvertesFrémir des chairs : Tu plongerais dans la luzerneTon blanc peignoir,Rosant à l'air ce bleu qui cerneTon grand oeil noir, Amoureuse de la campagne,Semant partout,Comme une mousse de champagne,Ton rire fou : Riant à moi, brutal d'ivresse,Qui te prendraisComme cela, - la belle tresse,Oh ! - qui boirais Ton goût de framboise et de fraise,O chair de fleur !Riant au vent vif qui

changements de garnison de son père, car il était aimé, choyé par sa mère comme par sa cousine, Élisa Moncomble, qui, plus vieille de huit ans, était comme sa sœur adoptive. En 1851, les Verlaine s’installèrent à Paris, toujours avec Élisa. À neuf ans, le petit Paul fut interne à l’institution Landry, rue Chapsal. À partir de 1855, il suivit les cours du lycée Bonaparte (depuis Condorcet). C’était un élève studieux qui donnait entière satisfaction à ses maîtres, et comblait ses parents. Puis vint la classe

chaque syllabe qu'il prononçait. Au collège, ce petit gars avait éprouvé des difficultés d'intégrations avec ses camarades. Il était même parfois la cible de bizuterie sauvageonne par les autres élèves, qui avaient pour habitude le vendredi de passer à tabac les reclus de la classe avant d'aller en cours de musique. Contrairement aux autres reclus, il n'avait rien de disgracieux, principale cause de rejet. Parfois même, ces cheveux bruns, et son petit nez en trompette pouvaient susciter chez ses camarades

ni tours, ni clochers, ni tombeaux", tout attributs des chemins terrestres. Cette énumération par la négative, qui suit un ordre d'importance croissante -selon les critères humains usuels-, commençant par les plantes, puis les lieux d'habitation, petits, puis grands, puis les édifices voués à la défense, donc à la guerre, puis à la religion, et se terminant par l'évocation des splendeurs romaines, cette énumération donc, niant les causes de l'orgueil humain, désigne clairement la nudité de l'océan

connaît un essor important, sous l’impulsion des poètes de la Pléiade, comme Pierre de Ronsard. L’adoption du sonnet et la poésie en langue française sont les nouvelles formes renouvelées. Ronsard se voit sacré « Prince des poètes » pour sa poésie amoureuse comme le suggère « Mignonne, allons voir si la rose». Le XVIIe siècle est marqué par le Baroque et le Classicisme : le Baroque est caractérisé par l’instabilité du monde évoquée aussi bien par le thème de la mort que celui de l’eau, à travers