Mes Rêves

illustrent le thème des rêves. Mon anthologie vous démontera qu’il existe vraiment toutes sortes de rêves, exaltant, heureux, malheureux, selon ce que la vie nous réserve. L’adolescence est une période de la vie mémorable et pleine de surprise. C’est pour cela que je vous présente mon anthologie sur le rêve ainsi que tous ses aspects. Pourquoi j’ai choisis ce thème ? Je pense que c’est une question qui ne se pose même pas car nous vivons pour nos rêves ou même que nous vivons de nos rêves. Tout est issu

Lieux rêvés : * Forêt * Ancienne maison * Zone limitée : de ma chambre à la seconde pièce de la salle de bain. * Parc d’attraction * Lycée inconnu ( mélange de L’INDP de Thionville & du Charlemagne / parfois lieux inventé par mon imagination. Ce dernier reconstitue un établissement en mélangeant le tout ). * Appartements inconnus. * Maison de Tatie. * Appartement de . * Maisons / centres désaffecté(e)s * Lieux souterrains / grottes. * Rare mais

technique ne dépend plus du besoin de l’homme, mais bien de son imagination, elle est au service de ses rêves. Aussi, on constate que la technique est en progrès constant, de fait, le désir humain va au-delà de son besoin, l’homme est un être de désir et de rêve.   En effet, l’homme est un éternel insatisfait, un être remplit de désirs et de souhaits : « Ce qui pèse le plus lourd en l’homme, ce sont ses rêves » (Malraux), qui se créer de nouveaux besoin, et ainsi de nouvelles techniques pour les satisfaire

Il s’agit bien évidemment ici des rêves que l’on fait lorsque l’on est éveillé. Ces rêves sont profondément personnels et intimes. Le rêve de l’un n’est pas forcément le rêve de l’autre et par conséquent, la personnalité, le caractère, les désirs, les valeurs de chacun s’expriment à travers ces rêves. Ce qu’ils ont de commun est de revêtir un caractère forcément positif pour le rêveur. Le rêve est dans ce sens le contraire du cauchemar. Tous les rêves n’ont pas pour vocation à être réalisés

ainsi à orienter autrement sa vie, à la redessiner dans un ailleurs et un futur plus ou moins proches. Le rêve stimule l’individu qui ne se satisfait pas de ce qu’il est et de ce qu’il a. Il élargit les possibles. Multiples sont les éveilleurs de rêves (lieux, objets, personnes, sensations…). Les œuvres d’imagination sont aussi propices à la rêverie, elles permettent de se transporter dans d’autres espaces, d’autres époques, d’autres personnages. Cependant, le rêve risque de couper du réel et d’amener

Les yeux stériles, Le Tournant, Belle Main, Rêve, La plage, L’espion, Le château d’If, La peur, Les tours d’Eliane, Feu d’Artifice, Femme portative, Les Amis). En effet, cela est dû aux différentes pratiques surréalistes qui visent à raconter les rêves des artistes par des écritures et dessins automatiques afin de retranscrire une réalité pure découlant d’une liberté intérieure. Dès la préface, ou le frontispice, la notion d’imaginaire et de réalité entre déjà en jeu pendant que Paul Eluard énonce

tourmentés par des visions effroyables, qui parfois même peuvent encore préoccuper notre conscience après notre réveil. Les rêves sont en relation étroite avec les actes et les pensées de l'homme. Sigmund Freud (1856-1939) a donné un fondement scientifique en publiant en 1899 un ouvrage sur l'analyse du rêve (L'interprétation des rêves ou oniromancie). Il a su discerner que les rêves avaient un sens important pour la vie, qu'ils reflétaient l'intérieur de l'homme et permettaient des déductions sur son

René Magritte, "L'empire des lumières" (1954) Dans cette célèbre toile que Magritte (1898-1967) déclina en 17 versions, le peintre explore le territoire des rêves et de l'inconscient, thèmes chers au Surréalistes dont il fut le peintre le plus populaire. Avec le Surréalisme, le rêve redevient un thème d'étude fécond. Le Romantisme s'y était déjà intéressé mais comme moyen de décorporation de l'âme du dormeur permettant à celle-ci de rejoindre "L'âme universelle", sorte de résurgence du noos (équivalent

fait pas les mêmes rêves ni n’en fait les mêmes interprétations au fil des siècles. Dans la Rome Antique, les rêves étaient considérés comme des interventions divines et leur interprétation était cruciale pour bien comprendre les volontés du Panthéon. Puis, avec l’arrivée du christianisme, le rêve ordinaire, individuel, devient tabou, et son interprétation, interdite, oubliée. En effet, selon l’Eglise chrétienne le diable tentait de s’introduire dans les esprits par le biais des rêves, il était donc

incompréhensible, un contenu latent : les rêves ont un sens qu’il est possible de retrouver par un travail d’analyse. Il est possible de distinguer trois catégories de rêves: 1- les rêves sensés et compréhensibles (souvent très court, ils attirent peu notre attention, car peu déconcertants); 2- les rêves sensés mais déconcertants (aucune raison a priori d’avoir de telles idées) ; 3- les rêves insensés et inintelligibles. Selon Freud, la plupart de nos rêves fait partie de cette dernière catégorie