Mésenchyme

potential source of hepatic oval cells », Science, 284, pp. 1668-1170. 25 b) Les cellules souches mésenchymateuses Ce sont des cellules d’origine embryonnaire. Elles proviennent de cette structure particulière de l’embryon que l’on appelle le mésenchyme*. On en trouve des reliquats chez le fœtus particulièrement dans les capsules synoviales. Placées dans des conditions favorables, elles peuvent se différencier en différents tissus tels que le muscle, le tissu conjonctif ou le sang. On sait aussi

de la solidité et flexibilité. Les fibres de réticuline: relient le tissu conjonctif aux tissus adjacents. Les fibres élastiques: confèrent de l’élasticité. Le tissu conjonctif est de plusieurs types: Tissus conjonctifs de soutien (lâches ou mésenchymes): les plus répandus dans l’organisme. Il relie les épithéliums aux tissus sous-jacents et maintient les organes en place. Les trois types de fibres forment un réseau lâche. Il est présent dans la peau et partout dans le corps. Tissus conjonctifs

meristematic(al) adj. (bot.), méristématique meromorphic(al) function n. (math.), fonction f. méromorphe mescaline n. (pharm.), mescaline f. mesencephalic(al) adj. (anat.), mésencéphalique mesencephalon n. (anat.), mésencéphale m. mesenchyma = mesenchyme mesenchyme n. (bio.), mésenchyme m. mesenteric(al) adj. (anat.), mésentérique mesentery n. (anat.), mésentère m. mesh n., maille f. (réseau électrique, filet) mesic(al) adj. (phys.), mésique, ~ atom, atome mésique (ou mésonique) mesitylene n. (chim.), mésitylène

meristematic(al) adj. (bot.), méristématique meromorphic(al) function n. (math.), fonction f. méromorphe mescaline n. (pharm.), mescaline f. mesencephalic(al) adj. (anat.), mésencéphalique mesencephalon n. (anat.), mésencéphale m. mesenchyma = mesenchyme mesenchyme n. (bio.), mésenchyme m. mesenteric(al) adj. (anat.), mésentérique mesentery n. (anat.), mésentère m. mesh n., maille f. (réseau électrique, filet) mesic(al) adj. (phys.), mésique, ~ atom, atome mésique (ou mésonique) mesitylene n. (chim.), mésitylène

Cdx2, sont responsables de la différenciation et du maintien du phénotype intestinal. Facteurs environnementaux Ils entrent en jeu au niveau du développement intestinal. Ils sont impliqués dans les interactions entre l’épithélium digestif et son mésenchyme par l’intermédiaire de protéines spécifiques sécrétées par chaque type cellulaire concerné. Il semblerait que les facteurs EGF, TGFβ, et IGF2 jouent un rôle sur le développement organique. Cependant, l’influence des facteurs extrinsèques semble

couleur jaune ou rose pâle, parfois mobile par rapport aux plans superficiels et profonds. 3 Diagnostic différentiel Il se fait avec le cylindrome dont le pronostic est plus grave. 4 Histologie Elle montre un épithélium tubulaire ou trabéculaire et un mésenchyme avec des cellules étoilées ou allongées. 5 Traitement Exérèse chirurgicale mais la récidive est fréquente à cause de la fausse encapsulation de la tumeur. La surveillance du malade sera de règle car il y a risque de transformation maligne. 4

se différencier suivis des structures plus distales. Cette organogenèse est contrôlée par trois centres de signalisation : • la crête ectodermique apicale contrôle la croissance proximodistale ; • la zone d’activité polarisante localisée dans le mésenchyme postérieur du bourgeon induit la polarité antéropostérieure ; • l’ectoderme du bourgeon du membre contrôle l’axe dorsoventral. Figure 1 Développement du membre de Tétrapode • 2. Les gènes de la différenciation du membre L’organogenèse