Métallographie

L’impression s’opère en fait grâce à un processus chimique : une fois le bloc de calcaire humidifié, les zones écrites attirent l’encre graisseuse, alors que les zones de calcaire la repoussent. Au cours du XIXe siècle, la lithographie évolue en métallographie, une plaque de zinc venant remplacer la pierre, trop complexe d’utilisation. Ce procédé va donner naissance, quelques années plus tard, à l’impression offset. L’héliogravure est inventée au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. C’est l’héritière

puddlage ; procédé Thomas-Gilchrist de déphosphorisation du fer) ; le résultat le plus sensible est la diminution considérable du prix de revient des aciers (de 100 à 12 dollars la tonne chez Carnegie, de 1870 à 1900), tandis que les progrès de la métallographie engagent la sidérurgie dans l'ère des alliages (au tungstène ou au chrome, expérimentés dès les années 1860) et des aciers spéciaux, grâce aux applications de l'électricité (fours à arc, électrolyse). Bref, tout concourt à alimenter une demande

complétement. 145 Science et industrie, Paris, 1925 Bernard Girard Histoire des théories du management 136 William Siemens, il était, lui-même, un spécialiste de la physico-chimie des alliages. Il s’intéressait aux techniques d’essais, à la métallographie et à l’usage du microscope dans les laboratoires industriels. C’est à ce titre qu’il découvrit, d’abord, Taylor, à l’Exposition Universelle. Celui-ci y présentait “une découverte sensationnelle appelée à révolutionner la construction mécanique”146

attendre 1982 et les microscopes à effet tunnel pour enfin voir réellement les atomes ! Citons aussi les chercheurs Georges Charpy (1865-1945), Henry Le Chatelier (18501936) et Floris Osmond (1849-1912) qui sont considérés comme les fondateurs de la métallographie. 24.1 Définitions Reprenons la plate-forme élévatrice étudiée au chapitre 16. Les roulements des quatre galets de guidage sont soumis à des pressions de contact élevées. Il faut donc utiliser la matière et la traiter de la façon la plus judicieuse

C. MORTET, op. cit.,, 18, 20 et s. ; H. BOUCHOT, op. cit., 55. [65] C. MORTET, op. cit.,11 ; A. BLUM, op. cit., 35 et s., 52 et s. [66] C. MORTET, op. cit., 22 et s. [67] Ibidem, 28 et s. [68] Ibidem, 31. [69] Maurice AUDIN, La métallographie et le problème du livre, dans Gutenberg-Jahrbuch, 1930, p. 11-52 ; Typographie et stéréographie, dans Gutenberg-Jahrbuch, 1931, p. 28-37 ; et t. I de la Somme typographique de Marius AUDIN, Paris, 1948. [70] DE LABORDE, Débuts de l'imprimerie

main (burin, eau-forte, etc.), ou bien mécaniquement (héliogravure, etc.), sur bois, linoléum, cuivre, acier, etc. Les pierres lithographiques, revêtues de dessins à la main ou par report photographique et préparées à l'acide. Les plaques pour métallographie ou calcographie (lithographie à plat, sur métal), revêtues d'empreintes, généralement en zinc ou aluminium, y compris les feuilles métalliques souples similaires pour rotocalcographie (offset). Les cylindres gravés ou impressionnés pour la reproduction

métal.), métallisation f. metallise (-lize) (to) v. t. (chim.), métalliser metallising = metallisation metallization = metallisation metallize (to) = metallise (to) metallographic(al) adj. (métal.), métallographique metallography n. (métal.), métallographie f. metalloid n. (chim.), métalloïde m. metallosis n. (path.), métallose f. metallurgic(al) adj. (métal.), métallurgique metallurgist n. (métal.), métallurgiste m. metallurgy n. (métal.), métallurgie f. metamer n. (zoo.), métamère m., somite m

métal.), métallisation f. metallise (-lize) (to) v. t. (chim.), métalliser metallising = metallisation metallization = metallisation metallize (to) = metallise (to) metallographic(al) adj. (métal.), métallographique metallography n. (métal.), métallographie f. metalloid n. (chim.), métalloïde m. metallosis n. (path.), métallose f. metallurgic(al) adj. (métal.), métallurgique metallurgist n. (métal.), métallurgiste m. metallurgy n. (métal.), métallurgie f. metamer n. (zoo.), métamère m., somite m