Métamorphisme hydrothermal

l’asthénosphère = SUBDUCTION 2-2 : Des traces de subduction : On trouve dans les alpes des échantillons de roches. De metagabbro à chlorite (schiste vert) puis de metagabbro à glaucophane (schiste bleu) et enfin des éclogites, ce qui traduit un métamorphisme de haute pression et basse température. Lors de la collision, ces roches qui se sont formées en profondeur (environ 100 km) sont remontées vers la surface. 2-3 : Des traces de collision : Suite à la subduction de la marge européenne sous

présence des formations très différentes, zones de dissolution karstique ou d’altération locale ; — anisotrope : l’anisotropie peut apparaître dès la formation de la roche (disposition stratifiée des roches sédimentaires) ou en liaison avec le métamorphisme (foliation des gneiss et micaschistes), ou lors de la fracturation subie lors d’un épisode tectonique, etc. ; — biphasique puisque contenant de l’eau au sein des pores de la matrice rocheuse ou dans les discontinuités ; cette eau peut modifier

une roche à texture schisteuse, c’est-à-dire qui se délite en feuille plus ou moins épaisses, ondulées ou irrégulières. Le mica est souvent abondant mais on y trouve beaucoup d'autres minéraux faisant varier la couleur. Le schiste se forme par métamorphisme de moyen degré de sédiments a grain fin, et forme souvent de grandes unités régionales en zone montagneuse. -L'ardoise: est une roche familière, très utilisée pour les toitures et les sols. Grâce à son très bon clivage bien plan, on peut la débiter

paragénèses Ex. : Muscovite + quartz -> feldspath potassique + andalousite + H2O Les conditions du métamorphisme - Les types de métamorphisme •On distingue le dynamo-métamorphisme qui est dû à l'effet de la pression (roches intensément déformées avec relativement peu de néoformations de minéraux. Il s'agit de roches telles que les cataclasites ou les roches formées lors de impacts de météorite •Le métamorphisme de contact est dû essentiellement à l'effet de la température. Il se développe dans les roches

impossible. Vers la fin du 20ième siècle, des organismes ont été découverts à de grandes profondeurs, venant contredire toutes les hypothèses quant à la possibilité de vie dans cet environnement. De plus, différents écosystèmes, tel les monts hydrothermaux, présentant des conditions de vie spécifique y ont été répertoriés. Les scientifiques se sont alors questionnés sur les adaptations qui ont permis à la vie de prospérer, malgré les contraintes importantes de l’environnement. Parmi celles-ci, notons

importantes d’activité hydrothermales. Puis, en 1980, français et américains, repartis à bord d’Alvin, observent enfin les sources hydrothermales en activité : les êtres aux morphologies exubérantes grouillent en réalité autour de ces sources à une température d’environ 350°C ! Lieu de dégagement en grande quantité de molécules minérales et d’énergie chimique, dans un océan primitif où l’hydrothermalisme était beaucoup plus actif qu’aujourd’hui, les édifices hydrothermaux ont pu former de véritables

Longtemps on y pensa toute vie impossible, pourtant les premiers bathyscaphes y découvrirent, dans les années 1970, un foisonnement de vie au sein d'écosystèmes inconnus, à proximité d'importantes ressources minérales. Aujourd'hui, certaines sources hydrothermales profondes (fumeurs noirs) sont associées à une des principales hypothèses quant à l'origine de la vie sur Terre. Les abysses restent néanmoins très mal connus ; à l’heure actuelle, 95 % des abysses restent inexplorés, les grands fonds sont cartographiés

entre 5000 et 6000 mètres de profondeur. ( ensuite la description du schéma ) Jusqu’aux années 1970 on pensait que la vie n'y était pas présente mais on a put trouver par la suite de nombreuses espèces vivantes, faunes et flores et de cheminées hydrothermales malgré des conditions peu favorables au développement de la vie. Ainsi, plus on va dans les profondeurs, moins la biodiversité y est dense. 2° Des conditions de vie extrêmes a) L'obscurité La lumière est une chose indispensable à la vie

Ce phénomème transformant les roches à l’état solide grâce à l’eau chaude (près de la dorsale) s’appelle le métamorphisme hydrothermal. Or je sais que le métamorphisme hydrothermal est à l’origine de l’augmentation de la densité de la lithosphère océanique. J’en déduis donc que la lithosphère voit sa densité augmenter parce qu’elle refroidit et parce qu'elle subit le métamorphisme hydrothermal. Sur le document 3a, qui est accompagné d’une réaction chimique (doc 3b) ayant lieu lors du vieillissement

même composition chimique que la péridotite… (Page 209 et exo 2 page 224) D/ Les transformations qui affectent la LO « vieillissante » La LO se « forme » donc au niveau des dorsales puis va évoluer progressivement.. (Voir vidéo bilan) 1) Le métamorphisme hydrothermal 2) L’épaicissement de la LO Conclusion 1° La divergence des plaques, de part et d’autre des dorsales, permet la formation d’une nouvelle LO (lithosphère océanique), dont la croute se forme par apport de magma d’origine mantélique. Ce magmatisme