Métèque

qui lui a/ont été attribué(s) : • Soit le texte sur les femmes, texte 2.22 et le texte 2.16 • Soit le texte sur les Métèques 2.20 et le texte 2.16 • soit le texte sur les esclaves 2.19 et le texte 2.16 2. Par groupe : • sélectionnez les informations sur l’auteur de votre texte • sélectionnez ensuite les éléments importants dans le texte qui vous a été attribué (femmes, métèques ou esclaves). • (Notez-les dans un tableau) Chaque groupe choisit un-e porte-parole qui résumera oralement le texte

(registre de naissance) , née de père citoyen et de mère athénienne , avoir plus de 18 ans et être éphèbe , sont donc exclu de la citoyenneté les métèques , les esclaves , les femmes et les enfants , soit une majorité de la population ( 40 000 Citoyen sur 350 000 habitants ). L’existence de l’esclavage et l’exclusion d’accès à la citoyenneté des métèques sont en désaccord avec la définition de démocratie moderne. Deplus tout les citoyens pauvres n’ont pas la possibilité de participer à l’Ecclésia

même si, pendant la guerre du © Nathan 2010, Histoire 2de coll. Sébastien Cote Chapitre 2 – Citoyenneté et démocratie à Athènes (Ve-IVe siècles av. J.-C.) Péloponnèse, la longueur du conflit entraîne un recours de plus en plus important aux métèques, esclaves et mercenaires. Les citoyens servent dans l’armée en fonction de leur fortune car ils doivent financer leur équipement. Les plus riches sont cavaliers, puis viennent les hoplites, tandis que les plus pauvres sont employés comme rameurs

d’habitants à Athènes : le citoyens exclusivement des hommes, les femmes et enfants de citoyens (environ 110000) les métèques (envrion 40000) et les esclaves (environ 150000). Les critères pour être citoyens sont donc très sélectifs car sur environ 340000 habitants il y a seulement 40000 citoyens. Les femmes sont exclue de la citoyenneté ainsi que de la vie politiques comme les métèques : résidents étranger libre payant une taxe de résidence. Les esclaves quant à eux sont considéré comme des animaux

place. Ils réussissent dans les moments de faiblesse de la cité, comme par exemple pendant la guerre. L'égalité des droits ne concerne que les citoyens (hommes libres de père et mère athéniens et ne sont pas citoyens les femmes, les enfants et les métèques). C) Le pouvoir du peuple: Dans la démocratie Athénienne, tout les citoyens peuvent participer à la gestion de la cité. Périclès institu le mysthos (indemnités versées au citoyens tirés au sort pour les magistratures les plus banales, ce qui représente

: "Qui veut, qui peut donner un avis sage a sa patrie ?" Lors, a son gré, chacun peut briller... ou se taire. Peut-on imaginer plus belle égalité ?" La population d'Athènes vers 430 av. JC Citoyens : 35-45.000 Avec familles : 110-180.000 Métèques : 10-15.000 Avec familles : 25-40.000 Esclaves : 80-110.000 Total : 215-300.000 La vie quotidienne à Athènes Avec cela, pour remède à nos fatigues, nous avons assuré à l'esprit les délassements les plus nombreux : nous avons des concours

règles athénienne, les femmes ne possédaient rien; c’est à leur époux que tout revient. Elles n’ont pas non plus le droit de vote. La courtisane La courtisane est une femme étrangère résidant à Athènes avec le statut de métèques. On ne sait presque rien sur les femmes métèques, hormis le fait que la taxe spéciale qui frappait à Athènes les étrangers résidents était pour les femmes de six drachmes par an au lieu de douze pour les hommes. On peut penser que plusieurs d’entre elles étaient les épouses

dirait la vérité que quand la crainte ou une torture nouvelle l'emporterait sur la crainte de son maître. Les métèques : S'il le désirait, un maître pouvait donner sa liberté à un esclave : tout ce que l'on exigeait était une simple déclaration devant témoins. L'ancien esclave, lorsqu'il devenait un homme libre, était enregistré non comme un citoyen mais comme un métèque. Les métèques jouissaient de tous les droits civiques (mais non des droits politiques) à l'exception du droit de posséder la

qualité d’Athénien pour assurer l’immortalité d’Athènes. On parle de citoyenneté fermée. Sous section 2 : la situation de l’étranger Le monde grec connait deux types d’étrangers : le grec qui parle grec mais qui vient d’une autre cité qui sont les métèques et le barbare qui ne parle pas grec et n’est pas natif d’une cité grecque A. Le barbare Pour un grec un barbare est celui dont on ne comprend pas la langue, barbaros est une onomatopée qui désigne le croassement des oiseaux, d’où le terme barbare

les citoyens et la participation de tous à la vie politique apparaissent peu à peu. II La citoyenneté À Athènes vivent plusieurs catégories d’habitants. Nous pouvons retrouver : • les citoyens. • les femmes. Elles n’ont aucun droit. • les métèques. Il s’agit des étrangers, ils sont libres. • les esclaves. Ils sont au service des citoyens. Revenons aux citoyens. Ils sont répartis en quatre classes selon leurs revenus. Chaque citoyen appartient une tribue, de plus les citoyen ont des droits