Métonymie

yeux qui apparaissent noirs, couleur intensifiée du brun. Yeux caractérisés par l'oxymore « hardiesse candide » signifie innocente et provocatrice →? perso troublant, les yeux sont les reflets de l'âme, personnalité d'E concentrée dans son regard (métonymie*). Portrait métonymique, qui s'attarde seulement sur les mains et les yeux. -Cheveux d'E décrit par 1 longue phrase(9lignes) qui se termine par une surprise (même que pour les ongles): coiffure dont il connait pas la provenance, pourtant qui est

• Suppression (ex : ellipse) • Inversion (ex : figure du chiasme) • Substitution (ex : métaphore) Les grandes figures de rhétorique: • Synecdoque/litote • Hyperbole/ellipse • Antithèse/comparaison • Tautologie/double sens • Métaphore/métonymie Synecdoque : figure de style consistant à prendre la partie pour le tout, le tout pour la partie, le genre pour l'espèce, l'espèce pour le genre, etc. Ex. : acheter un vison, une voile à l'horizon, boire un verre, etc. Litote : figure de rhétorique

par toute une expression ) : Métonymie Elle remplace un mot par un autre mot selon un lien Ex : Je viens de lire un Zola. / Boire un verre. logique, par une relation analogique. Il est premier violon à l’orchestre de Paris.. La table 12 s'impatiente. C'est une décision de l'Elysée. Elle consiste à désigner la partie pour le tout (et le tout pour la partie), ainsi que la matière pour l’objet et le particulier pour le général.. C'est un cas particulier de la métonymie. Elle remplace un mot par une

Deux catégories majeures de figures de style peuvent être repérées à partir d’une analyse stylistique: microstructurales et macrostructurales. Parmi les figures de style microstructurales, on peut identifier une métonymie et une métaphore à l’intérieur de l’extrait. Une métonymie est « une figure de style qui consiste à désigner un objet ou une idée par un autre terme que celui qui convient » (Études littéraires). Lorsque Frédéric dit qu’il imagine les cachemires « drapés autour de ses reins »

puits. (J. Brel) | Métaphore | Rapproche des termes sans expliquer le lien de ressemblance ou d'analogie | Mise en relief insolite de relations analogiques | Il pleure à gros bouillons. L'espoir fleurissait. (J. Brel) | Métonymie | Remplace un terme par un autre, rattaché au premier par un lien clair | Création d'un effet de raccourcis qui attire l'attention, frappe émeut, persuade | « boire la mort » pour « boire le poison » | Personnification | Un

sens propre et figuré, etc. Ex. La nuit tombe et personne pour la ramasser. HOMONYMIQUE: figure fondée sur l’utilisation d’homonymes, à savoir des mots de forme identique mais de sens différents. Ex. Climatisation...sans frais! (Nissan) 6. MÉTONYMIE C’est la figure qui consiste à employer le nom d’une réalité pour en désigner une autre qui a un rapport habituel avec la première. Ex: Je t’invite à prendre un verre. Toute la ville en parle. 7. PERSONNIFICATION Figure qui consiste à représenter

réaliste du détail. Surgissement de la « palette » du peintre. Accumulation savante, érudite qui sera reprochée à Huysmans ultérieurement. « Ô miroitant et terne enfumé », périphrase apostrophique qui met en balance les 2 aspects lumineux de l’objet. Métonymie : La qualité est nominalisée pour remplacer l’objet : Le regard ne porte pas sur la nature commune du hareng mais sur les qualités transfigurées de celui-çi. « Je » = 1ère apparition = cadre intime = focalisation directe du poète qui « contemple »

personnes qui charment (« masques » (v.2) = métonymie). Le 8ème vers indique le moment : « au clair de lune »; répété au 9ème vers → _ clarté, atmosphère particulière (allitération en « l » aux vers 8 et 9) par la lune : fête nocturne en plein air. _ titre du poème. Personnages principalement absents : _ présents qu'aux 2 premières strophes, disparaissent ensuite. _ insistance sur le décor : statues, marbres (métonymie) Décor: _ parc, bois, grands arbres, fontaines

Les métonymies La métonymie est un trope (figure de substitution) : il s’agit d’un rapport de contiguïté entre deux objets. On trouve plusieurs métonymies dans notre texte : « fouillis de modes surannées » → vêtements « les pâles Boucher » (13) → tableaux de Boucher « un granit » (20) → synecdoque de la matière (monument de granit = un sphinx) « une vague épouvante » (20) → espace qui cause l’épouvante (métonymie : l’espace pour la cause) → La métonymie condense

|REDONDANCE | | |ALLEGORIE | |PLEONASME | |Par substitution |METONYMIE, |Utilisant la syntaxe |ANAPHORE | | |SYNECDOQUE | |PARALLELISME