Métonymie

Personnification du vin : «  Le vin sait revêtir », «  fait surgir » (vv. 1 et 3) : donne une personnalité au vin. Ce qui lui permet d’être un sujet actif. * Périphrase : «  le plus sordide bouge » (v.1), périphrase d’une évasion onirique. * Métonymie : «  d’un portique fabuleux » (v. 3)  évoque le portique pour désigner les nombreux mondes possibles que l’on peut explorer grâce au vin. * Périphrase : «  Dans l’or de sa vapeur rouge » (v. 4) périphrase rappelant la robe du vin. * Comparaison :

sur lesquelles se fonde la société en temps de paix. La participiale à valeur passive, « la cloche se cassant » pourrait dès lors renvoyer à la rupture introduite par la guerre, les « coup(ures) » des « maîtres » étant alors une métaphore et une métonymie des ravages de la guerre. La provocation devient un exercice de style presque contourné, précieux. Certes il est dévalorisé par la trivialité des comparants mais on peut aussi y voir une ruse supplémentaire du narrateur, qui tel un chat, effectivement

elements avec un outil de comparaison. La metaphore : Rapproche sans outil de comparaison. La personnification : Attribue des comportements humains a des objets, des lieux, etc. L’allegorie : Represente une idee abstraite sous forme concrete. La metonymie : Remplace un terme par un autre, qui lui est logiquement associe : le concret par l’abstrait ou la partie pour le tout La synecdoque : Remplace un mot par un autre qui entretient avec lui un lien d’inclusion. Les figures d’exageration : L’hyperbole

(remplacement) La métonymie : Remplacer un mot par un autre. Le premier conserve avec le premier un rapport logique (le contenant pour dire le contenu avec l’expression : boire un verre) Qualité de la personne pour la personne: une fine lame Lieu pour une personne : Paris s’éveille L’antonomase est une forme de métonymie : dire un nom propre pour un nom commun (Quel Don Juan !) La métonymie crée une désignation imagée et un raccourci d’expression. La synecdoque : Forme particulière de métonymie. Pour

des analogies, celles qui amplifient, celles qui atténuent, celles qui expriment des oppositions. FIGURE | PROCEDE | EFFETS | EXEMPLES | METONYMIE | On ne nomme pas l’être ou l’objet. On utilise un autre nom qui lui est proche parce qu’il s’agit de : son contenant, sa cause, son origine, son instrument … | La métonymie permet une désignation plus imagée et une concentration de l’énoncé. | Boire un verreLire L.S.Senghor | LA SYNECDOQUE | On emploie, pour parler d’un être ou

assimilation entre un comparé et un comparant qui sont rapprochés sans outils de comparaison. Une métaphore filée est développée et poursuivie sur plusieurs mots. - Et tes mains, feuilles de l’automne - Les étoiles volaient dans les branches des arbres METONYMIE n.f. Remplacer un élément par un autre élément appartenant au même ensemble logique (contenu -> contenant ; partie -> tout) - Boire un verre - Manger son assiette OXYMORE n.m. Réunir à l’intérieur d’une même expression deux mots aux sens opposés

faible intensité, soit en utilisant la négation du contraire de ce qu'on veut dire. Elle prend donc la même forme que l'euphémisme, mais son effet est inverse : en disant moins, elle a pour ambition de faire comprendre plus, souvent par ironie. · La métonymie désigne un objet, une personne, un concept, en remplaçant son nom par une de ses qualités ou un de ses attributs (une partie, sa cause, son auteur, son contenant, son origine, n'importe-quoi pouvant participer à sa description). [->1] L'oxymore Association

assimilation entre un comparé et un comparant qui sont rapprochés sans outils de comparaison. Une métaphore filée est développée et poursuivie sur plusieurs mots. - Et tes mains, feuilles de l’automne - Les étoiles volaient dans les branches des arbres METONYMIE n.f. Remplacer un élément par un autre élément appartenant au même ensemble logique (contenu -> contenant ; partie -> tout) - Boire un verre - Manger son assiette OXYMORE n.m. Réunir à l’intérieur d’une même expression deux mots aux sens opposés

certaines sont appelées « tropes », consistent à enrichir la ou les significations d’un mot en les utilisant dans un contexte inattendu. On distingue généralement : 1) Les figures de sens, dont certaines sont appelées tropes (métaphores, métonymies), qui consistent à enrichir la ou les significations d’un mot en les utilisant dans un contexte inattendu. 2) Les figures de mots : elles concernent les jeux sur le lexique (néologismes, archaïsmes, étymologismes, antanaclases…) et les jeux

ce chêne solitaire, / Dont le rocher s'est couronné, / Parlez à ce tronc séculaire, / Demandez comment il est né." (Lamartine) | Métonymie | Elle substitue un terme à un autre qui lui est proche (rapport de proximité) | Nous avons bu toute une bouteille (contenu => contenant). Socrate a bu la mort (= la ciguë) (effet => cause) | Synecdoque | Variété de métonymie, elle joue sur un rapport d'inclusion | Il aperçut une voile (=un bateau) (partie = tout) Un mortel (=une qualité pour l'homme entier)