Métonymie

déréalisation. II/Des correspondances et des confusions L’observation des éléments regroupés par deux conduits à remarquer une interpénétration de deux mondes. Les similitudes syntaxiques : les 2 termes « chars » (charrues) et « proues » (métonymie ou synecdoque pour bateau) désignant successivement la terre et la mer, se trouvent rapprochés sur plusieurs plans :  par la  répétition du terme « argent » déplacé au vers 2 par rapport au vers 1, par la matière et la couleur (de ce fait), par la

imagé d’un concept, d’une idée (Ex : La Mort, cette faucheuse) • Métaphore : un détournement de sens, sens figuré ( Ex : Etre à cheval sur les principes) b) Figures par substitution (remplacer un terme par un autre) Procédé de symbolisation • Métonymie : Lorsqu’on désigne un objet par sa matière. Les cuivres. = Synecdoque • Synecdoque : Lorsqu’on désigne le contenu par le contenant : Boire un verre + La partie pour le tout, ou l’inverse : Prendre la voile • La fonction par le lieu • Métaphores

(féminin) : figure d’analogie, semblable à la comparaison mais sans « Toute sa personne était une grimace. » l’outil-comparant « comme ». (Hugo, Notre-Dame de Paris) On dit qu’une métaphore est filée quand elle s’étend sur plusieurs lignes. Métonymie (féminin) : consiste à désigner « boire la mort » pour « boire le poison » un objet ou une idée par un autre terme que celui qui lui convient. La contenant//contenu : compréhension se fait grâce à une relation « boire un verre

des caractéristiques humaines à un animal, un élément de la nature, un objet. « Enfin, là règne la misère sans poésie; une misère économe, concentrée, râpée. » (Balzac, le Père Goriot) « Mon pauvre argent, mon cher ami » (L’Avare , Molière)  Métonymie : remplacement d’un terme par un autre qui lui est logiquement associé . - Le contenu par le contenant : - Le tout par la partie : - L’objet par la matière : boire un verre faire de la voile ( = du bateau à voile) croiser le fer ( = l’épée

du message. Ainsi du « jeu » donc, du « couple », et de « l’absence de gravité ». On pourra rajouter à cette liste d’évocations la /légèreté/ des corps qui ne subissent pas la gravité (évocation du produit par l’action qu’il a sur les corps, en métonymie donc, de l’effet pour la cause) ; la /fraîcheur/ du produit (vs. sans doute la chaleur de l’atmosphère, puisqu’ils évoluent semi-vêtus) ; le /luxe/ pourquoi pas, avec cet environnement bourgeois ; la /jeunesse/ sans conteste ; la /détente/ encore

« quelques mouvements de joie » Substantif Procédé stylistique grammatical Acte qui permet le rapprochement de l’être aimé qui procure de la joie Dire le moins pour exprimer plus : litote Désigner la partie pour le tout : synecdoque (métonymie particulière) Transition : Cette lettre d’une religieuse portugaise exprimer la démesure passionnelle et qui passe par le sentiment éprouvé et aussi, sa concrétisation physique. Il est aussi question du bonheur d’aimer dans une moindre mesure. Cependant

sot » « Va je ne haie point » CORNEILLE. La METHAPHORE : figure de style qui établit une assimilation entre deux termes sans outils de comparaison. Exemples : « Le printemps de la vie » « Ma soif est un esclave nu » Paul VALERY. La METONYMIE : figure consistant à prendre la partie pour le tout, la matière pour l’objet, le contenant pour le contenu, la cause pour les faits et inversement. Exemples : « La salle applaudit » « Une fourrure » (sous-entendu un manteau de fourrure)

mode et coller au bitume. », « Pour réussir un fils, il faut un père exceptionnel et beaucoup de fromage. » - Synecdoque : procédé qui consiste à désigner le tout par la partie, l’objet par sa matière. Exemple : « Un troupeau de 20 000 têtes. » Métonymie : désigner le contenant pour le contenu, l’effet par la cause. Exemple : « Téléphoner à l’Elysée. » Litote : dire le moins pour signifier le plus. Exemple : « C’est pas mal du tout. », « Vas, je ne te hais point. » Allégorie : personnification d’une

l’invention » (V.13) il utilise ici un euphémisme en guise d’atténuation de la « guerre » qui existe entre les poètes antiques et ceux modernes. « Vous dont la bouche est faite à l’image de celle de Dieu » (V.15) Il utilise une métaphore ainsi qu’une métonymie il compare les poètes(les bouches dans le texte) à Dieu, il fait un éloge aux poètes. C’est une tonalité épidictique. « A ceux qui furent la perfection de l’ordre » (V.18) Il utilise ici une périphrase pour parler des poètes antiques. « Nous ne sommes

grande que, lorsqu’on la lit, on s’aperçoit souvent du caractère impossible qu’elle révèle. Exemples : Mon amour, je t’attendrai mille ans s’il le faut. / C’était un coup de de trompette à réveiller les morts. 4. LES FIGURES DE SUBSTITUTION La métonymie : Cette figure implique, comme on le dit le plus couramment, le fait de remplacer un contenu par son contenant. Ainsi, dans l’expression « Boire un verre » nous remplaçons ce que contient le verre par lui-même. Cette figure sera donc présente chaque