Métonymie

le vent âpre gémit » Cliché Image stéréotypée, lieu commun. Le cliché de « la fraiche jeune fille » Parabole Récit allégorique qui délivre un enseignement. Parabole de l’enfant prodigue par exemple. Figures par correspondance Métonymie Une partie pour le tout, le contenant pour le contenu… Je bois un verre ! Synecdoque Elle permet de désigner la partie pour le tout. Je vois une voile au loin. Figures par animation Personnification Un objet ou un animal est présenté

un | | | | |poète, le deuxième un imbécile ». | | |la métonymie |elle remplace un terme par un autre qui a un rapport logique mais |« C'était au temps où Bruxelles chantait » | | | |qui n'a aucun élément

neige étend son blanc manteau » la métonymie elle remplace un terme par un autre qui a un rapport logique mais qui n'a aucun élément matériel commun. Elle peut substituer le contenant au contenu (ex), le symbole à la chose (les lauriers = la gloire), l'objet à l'utilisateur (le premier violon), l'auteur à son œuvre (un Zola), l'effet à la cause (Socrate a bu la mort = la ciguë) « C'était au temps où Bruxelles chantait » la synecdoque c'est une variété de métonymie, parfois confondue avec elle ; elle

tradition du vers 1 par l'alexandrin et le vers parfaitement scandé ; Locution "a la fin" = rupture des le début ctd saturation. 2-Il fait l'éloge du monde moderne ( surprenant). Lieu caractérisé par la tour Eiffel : Paris qu'il désigne par la métonymie de la tour Eiffel (objet de polémique a l'époque car innovent , disgracieux par ces matériaux) = objet de l'apostrophe qu'i invoque et personnifie par la métaphore filée d'une bergère protectrice de Paris. Sélection dans le monde moderne qui étonne

parler à des êtres absents ou inanimés. e. Paradoxe: on présente ce que l'on pense sous une forme contraire à l'opinion publique. 4. Les figures de sens. a. Synecdoque: sert à désigner un tout par l'une de ces parties. b. Métonymie: sert à désigner un objet par le nom d'un autre objet, les deux aillant un lien habituel. c. Métaphore: métaphore liée tout au long d'un texte. d. Hyperbole: exagération. e. Euphémisme: atténue. f. La litote: elle sert à exprimer le moins

identifié le champ lexical de la mort (v. 35: tuez, v. 36: sanglants, v. 39: crimes, v. 41: funèbres, v. 42 ténèbres) et plus précisément celui de la peine de mort (v. 29: gibet, v. 31: bourreau, v. 45: l’échafaud, supplice). Au vers 35 se trouve une métonymie ouvriers du trépas, qui fait allusion au bourreau en renforçant l’aspect cruel, de même que les mots qui suivent: sanglants, mauvais, durs. Le rejet/contre-rejet du vers 28-29 « Arbre, veux-tu être gibet? » accentue la séparation du poème en

deux termes non voisins. Ex. Un gros point noir macule l’idée blanche du poète. Oxymore : Contradiction entre deux mots voisins. Ex.  Cette obscure clarté qui tombe des étoiles [...] c) Les figures de substitution Métonymie : consiste à remplacer un mot par un autre mot appartenant au même ensemble et entretenant une relation logique avec le premier. On peut remplacer : - l’auteur pour l’œuvre Ex. Prenez votre Grévisse. - le contenant pour

: non par ce que dicterait la raison, mais par un ensemble de raisons qui font du sacrifice le comble de la passion amoureuse. La première tirade oppose un bonheur passé et partagé dans une nature sauvage à l’imminence d’une exécution (puissante métonymie de « l’échafaud »), sort qu’Hernani revendique au nom de son statut de « misérable » et de « proscrit », indigne de celui de Doña Sol, « bonne », « secourable », et accessible à la pitié. La seconde tirade, dite « tombant à genoux » (signe de révérence

pleine d’espoir et celle que l’on connaît : l’indicateur corrompu et entremetteur pervers du souverain détesté par tout le monde. Tandis que sa mère accuse Lorenzo et elle même pour la mutation de ce dernier, sa tante Catherine accuse Florence, métonymie du duc Alexandre de Médicis. La scène 6 de l’acte I permet au spectateur d’apprendre des nouvelles informations sur Lorenzo. La scène est propice a un échange de confidences car le contexte est loin de Florence (qui a une connotation négative) ;

Verser des torrents de larmes. La comparaison n. f. Au moyen d’un outil de comparaison (« comme », «tel(le) que » par exemple…) cette figure établit un rapport d’analogie entre un comparant et un comparé : Ses yeux sont bleus comme l’océan. La métonymie n. f. Elle remplace un terme par un autre qui est lié au premier par un rapport logique: Ex: le contenant pour le contenu (Boire un verre) Le symbole pour la chose (Les lauriers, symbole de la gloire) L'écrivain pour son œuvre (Lire un Zola)