Métope

marbre sa qualité d' exécution est remarquable , trois de ces cotés était paré de carreaux et parements. Il étais ouvert sur l' agora grâce a une colonnades de 35 colonnes ( hauteur complètes : 5,18 m , diamètre de la base 0,73 m ). L a frise est a métopes lisses , et elle était couronné par un créneau de marbre sculpté. Dans son traitement on retrouve des éléments caractéristique de l' Asie Mineur, du Péloponnèse et de la Grèce continentale au IV e siècle. En haut on retrouve de gargouille en forme

très simple formé d’une échine que domine un tailloir carré. Celui-ci supporte à son tour une poutre pétrifiée, l’architrave, elle-même surmontée d’une frise formée de l’alternance de triglyphes et de métopes. Le triglyphe est un bloc sur lequel se détachent en relief trois baguettes verticales; la métope est le panneau de remplissage entre deux triglyphes. Au-dessus de la frise est la corniche, et l’ensemble de ces trois éléments constitue l’entablement qui sert de point d’appui à la charpente d’un

érigé entre 106-109 après Jésus-Christ, de 39 mètres, un noyau cylindrique et entouré d’une plate-forme circulaire, le noyau était recouvert de blocs de pierre, se poursuivant sur une rangée de panneaux sculpté, des métopes en bas-relief avec des scènes de la lutte. Au-dessus des métopes, une frise en bas-relief couronnant le noyau circulaire, au-dessus du noyau un cône recouvert d’écaille en pierre et un hexagone de 6 mètres où se tien le trophée en lui-même. On se pose la question de la véritable

contre les Perses Le trésor des Athéniens, d'après Pausanias, a été édifié pour commémorer la bataille de Marathon de 490 av. J.-C., qui marque un coup d'arrêt pour l'avancée Perse ; même si des doutes persistent étant donné que la structure des métopes, qui représentent les exploits de Thésée et d'Héraclès, est d'un style plus ancien, datant la construction de l'édifice après la mise en place de la démocratie à Athènes en 508-507 av. J.-C. Ce trésor se trouve sur la gauche de la voie sacrée au

orné de sculptures. Sur les côtés du bâtiment, entre le haut des colonnes et le toit, se trouvait une rangée de blocs appelée actuellement entablure dont les surfaces apparentes portaient souvent des sculptures appelées frises, qui alternaient des métopes et des triglyphes. Aucun des bâtiments grecs n'a conservé intactes ces sculptures, mais on peut les voir sur des copies modernes de temples grecs comme à l'Académie nationale grecque à Athènes. Façade de la Bibliothèque de Celsus, Éphèse

horribles, si bien qu’il s’immola lui-même sur un bûcher pour échapper à ce supplice digne du Tartare. C’est plus souvent cette image de ruse méchante qui prévalait lorsqu’on évoquait les centaures dans l’antiquité. Combat contre les centaures, métope sud du Parthénon, Athènes. Scylla, pour sa part, était un rocher du détroit de Messine, voisin du tourbillon Charybe et très dangereux pour les navigateurs. Selon le mythe qui la concerne, Scylla était une nymphe sicilienne, aimée de Glaucos et métamorphosée

caractérise par une absence de base, il y a un fût cannelé et le chapiteau est sans décor. Une frise dorique est composée de 2 éléments : une partie rectangulaire avec 2 cannelures où il y a 3 glyphes (=triglyphe) et entre chaque triglyphe il y a une métope L’ordre ionique (dédié aux Déesses) Il se caractérise par une colonne qui a une base, le fût cannelé et le chapiteau est composé de volutes. L’ordre corinthien (feuille d’acanthe) Il se caractérise par le chapiteau où sont sculptés «3rangs de feuilles

|l'ionique | |Architrave |frise constituée de triglyphes et de |3 bandeaux superposés |bandeaux superposés + frise | | |métopes |surmontée d'une frise continue |  | | | |ornée de peintures ou reliefs | 

de Nîmes et puis en 1989 il redessine intégralement la place d'Assas, il y ajoute un monumental cours d'eau représentant Némausus et Némausa les fondateurs de la ville de Nîmes. Par la suite,il crée des mosaïques à Paris, place d'Iéna (dans les métopes du bâtiment du Conseil économique et social construit par Auguste Perret). Une importante rétrospective de son œuvre (peinture, sculpture et cinéma) a lieu en 1992 à la Galerie nationale du Jeu de Paume à Paris. En 1997, le Centre Georges-Pompidou expose

Tempietto, Rome, vers 1503 : plan centré, cloître circulaire dans le projet initial. è Bramante utilise le plan circulaire, inspiration directe des temples antiques (tholos), coupole sur un tambour. Utilisation de colonnes d’ordre dorique, triglyphes et métopes. Réflexion sur l’antique, ressemblance à un temple païen Cl : - utilisation de la coupole, nouveau traitement de la façade, répertoire antique, plan en croix latine aussi largement adopté, réflexions sur le plan centré - théorie de l’architecture