Metternich

Révolution en Espagne qui fait peur aux souverains européens qui craignent la contagion ; Congrès européen, vont écraser révolution mais il faut passer par la France. Ultras français veulent y aller pour arrêter révolution. Chancelier autrichien Metternich qui est tout puissant est contre révolutionnaire, il fait faire une sainte alliance pour arrêter la révolution, il se méfie de la France mais prend le risque de leur confier la tache. L'armée française va envahir l'Espagne : succès militaire et

puissances défendent à l'intérieur du concert européen, de sorte qu'aucune nation ne peut ou ne veut briguer une position dominante. L'effroi de la Révolution française a conduit l'ensemble de l'Europe à se reconnaître dans le système de l'Europe de Metternich. Les gouvernements sont surtout préoccupés par l'instabilité extérieure, et dans le cas de la Russie et des Etats-Unis, par la poursuite de l'expansion à travers leurs continents respectifs. Cette stabilité relative de la scène internationale

l’ordre dans les relations en Europe. B) Le traité de paix de Vienne de novembre à juin 1815 -Les protagonistes : Les conférences ont pour objectif de déterminer le sort des territoires vaincus par Napoléon Ier. Lord CASTELREAGH (Angleterre), METTERNICH (Autriche) et TALLEYRAND (France). Anglais et Autrichiens ont adoptés une politique commune ne pas écraser la France sous les représailles. L’Angl souhaite préserver son empire colonial et Autriche veut accroître son unité. Développement de

projet de paix perpétuelle à l’Europe par Kant. => On a des thèmes + construction pol qui soulèvent idée que les Etats europ peuvent fonctionner ensembles. 1815 : Congrès de Vienne qui crée la sainte alliance entre la Russie, l’Autriche (Metternich : Autriche qui fonde ce projet), la Prusse. => Coopération de pays sur la base d’une Europe monarchique. A l’occasion de ce congrès il y a eu des projets proposés ms ils échouent (comme celui de Saint Simon). Dans la 1ère moitié du XIXe s

effet, fidèle à l’orientation belliciste, F-J a préféré défendre des intérêts qui n’étaient pas vitaux, la présence autrichienne dans les Balkans. Il a trahit les politiques d’apaisement de l’allemand Bismarck (chancelier) et du prince autrichien Metternich, selon lesquelles les grandes puissances n’avaient rien à faire dans le guêpier balkanique. L’erreur capitale de l’Empire est d’avoir voulu s’embarquer dans la conquête de ses territoires pour compenser ses pertes ailleurs. Alors l’Empire austro-hongrois

mari d'une couturière traverse rapidement le roman. 《Regimbart ne voyait dans les faits que des faits.》. Pellerin est un peintre. En 1869, le livre fut entièrement lue, en plusieurs parties, chez la princesse Mathilde. Grands compliments de Mme de Metternich, ainsi que de Viollet-le-Duc. Cependant, certaines personnes comme Du Camp pensent que ce roman est un échec. Selon Flaubert, tout est faux dans la littérature 《 fausse armée, fausse politique, fausse littérature, faux crédit, et même fausses courtisanes

tête; mais tu ne toucheras pas à la mienne. » Les abolisseurs d'âme (matérialistes) sont nécessairement des abolisseurs d'enfer; ils y sont à coup sûr intéressés. Tout au moins ce sont des gens qui ont peur de revivre, -des paresseux. Madame de Metternich, quoique princesse, a oublié de me répondre à propos de ce que j'ai dit d'elle et de Wagner. Mœurs du XIXe siècle. XV Histoire de ma traduction d'Edgar Poe. Histoire des Fleurs du mal, humiliation par le malentendu, et mon procès. Histoire de

manquent plus desormais aux italiens que les terres irrédentes qui demeurent une pomme de discorde avec Autriche jusqu'à la Première Guerre mondiale. Pour conclure jusqu'au milieu du xixe siècle, on pouvait considérer que, selon la définition de Metternich, l'Italie est une « expression géographique ».Un sentiment d’unité national au 19eme siecle en Italie voit de plus en plus le jour c’est le Risorgimiento .Cette unification est obtenue car les rois de la maison de Savoie ont d’une part unifié une

congrès réuni, à Prague. C'est le moment que choisit l'Autriche pour dévoiler ses intentions : elle réarmait depuis des mois, et sûrement pas pour voler au secours de Napoléon, ni pour assurer une "médiation armée" comme l'affirmait son ministre Metternich. Pour faire bonne mesure, Bernadotte entraîna la Suède dans la coalition. A la mi-août, les opérations militaires reprirent. Encore vainqueur à Dresde, Napoléon fut cependant mis en danger par les défaites subies par ses maréchaux. Il fut contraint

d’Etat ou des jeux d’alliance et de confrontations forment la trame des relations. C’est ce socle, ce modèle qui au sortir des guerres napoléoniennes est reconnu par la construction d’un accord, d’un traité sous l’égide du ministre autrichien : Metternich. Ce traité reconnaît une société d’Etat cad des pays dotés chacun d’une souveraineté reconnue par les autres, disposant d’un territoire. Mais au sein de ce « concert des Nations » l’objectif est de faire de telle sorte qu’aucun état, aucune puissance