Metternich

Belgique. Elle se termine le 18 Juin. C'est la défaite de Waterloo. Les coalisés ne font plus confiance à la France. A Vienne se réunissent tous les coalisés et lors d'un congrès organisé par le ministre des affaires étrangères de l'Autriche Hongrie, Metternich, les puissances victorieuses de l'Europe remodèlent la nouvelle Europe, avec des nouvelles frontières. La France perd Nice et la Savoie. La Prusse est morcelée. La Belgique est réunie au royaume des Pays-Bas. La Suisse est crée et pour éviter qu'elle

gouvernements européens ne toléraient chez eux rien de la littérature étrangère, rien sinon les romans. Tout le reste, surtout ce qui venait de France, était sévèrement consigné à la frontière. Oh, certes, bien souvent, on ne savait pas voir. Metternich lui-même ne savait pas plus voir que ses imitateurs. Et voilà comment des « choses terribles » ont pu passer (tout Bielinski a bien passé !). Mais, en revanche, un peu plus tard, surtout vers la fin de cette période, on se mit, de peur de se

l'Europe de la Sainte-Alliance, qui vient de triompher de Napoléon Ier, rejette la période révolutionnaire française et veut un retour à l'ordre ancien. I. Les mouvements libéraux et nationaux dans l'Europe de la Sainte-Alliance 1. L'Europe de Metternich contre les aspirations nationales et libérales • La Prusse, l'Autriche, la Russie et le Royaume-Uni se réunissent en congrès à Vienne en 1815 pour décider de la nouvelle carte de l'Europe et du sort de la France. • Les aspirations nationales ne

printemps des peuples, 1848 Vague de révolte, volonté de mettre en place un parlement. Bp de mouvements nationalistes. Effet de contagion dans toute l’Europe sauf Espagne, RU et Russie. Révolutions dîtes romantiques, certain idéal, optimisme=> Metternich doit démissionner, 1er ministre depuis plus de 30 ans. Autriche stoppe l’élan nationaliste en France et en Italie. Echec de toutes les révolutions, mais les idées vont rester. L’aspiration à la liberté n’est pas partie. Tout ce qui était prévu

rejoindre et de l'arrêter. On connaît la suite ! Mais le plus glorieux reste à venir ! En 1815, la France perd la guerre contre l'Autriche. Talleyrand représente Louix XVIII au congrès de Vienne. Lors d'une conversation informelle avec le prince Metternich, son alter-ego autrichien, Talleyrand vante la gastronomie française et surtout qu'aucun fromage ne peut égaler le Brie de Meaux. Les représentant des différentes nations présentes s'offusquent en vantant chacun un fromage de leur pays. Il est alors

(European Observation Network, Territorial Development and Cohesion) > ≠ visions subjectives de l’Europe. - Existence d’un cœur de l’Europe et d’une périphérie > illustre une Europe à géométrie variable, càd d’un gradient d’européanité. - Pour Metternich, chancelier austro-hongrois de la 1ère moitié du XIXe s., « l’Orient commence à l’Est de Vienne (cf. délimitation d’Huntington). III. L’Europe : fragments et emboîtements A) L’Europe des Etats : le pavage fondamental 1) Fragments

1797 ac les guerres it / Toscane, Gênes. On trouve tjs en Méd des commerçants, des dipl it. L'it est la langue d'échange (lingua franca) et sera suppléée fin 19e par le fr. AUTRICHE: (prend la Hongrie en1683) puiss centrale au 19e. Le chancelier METTERNICH est le dipl qui compte le+ au congrès Vienne. RUSSIE: puiss la +intéressée par le démembrement de l'EO car en pleine phase d'expansion (Caucase, Asie centrale, Extrême-Orient). Ce pays « prisonnier d'Asie » convoite la mer Noire et les détroits

la Lombardie, de Venise, du Royaume des Deux-Siciles, du Duché de Modène et Reggio, du Grand-duché de Toscane, du Duché de Parme et des États pontificaux au Royaume de Sardaigne. Jusqu’au milieu du xixe siècle, on pouvait considérer, à la suite de Metternich, que l’Italie n’était rien de plus qu’une « expression géographique ». L’unification italienne est donc un événement majeur de l’histoire de l’Europe dans la mesure où elle a transformé l’expression en réalité politique. Mais si tout le monde est

Berlioz l'a arrangée dans une première version pour deux chœurs et orchestre. Puis en 1848 dans une seconde version pour ténor solo, chœur et piano. En 1839, Schumann l'a inclus aussi dans le premier mouvement du Carnaval de Vienne, par défi envers Metternich, qui avait interdit la Marseillaise à Vienne. En 1872, le compositeur hongrois Franz Liszt a composé une fantaisie pour piano sur l'air de la Marseillaise. En 1880, le thème de La Marseillaise a été repris par Piotr Ilitch Tchaïkovski dans son

grandes puissances quant à l'Empire Ottoman mais aussi su retard économique de Saint-Pétersbourg qui amorce sa modernisation en 1861. Quant à l'Italie et à l'Allemagne, elles entreprennent leur unification. La première qui n'était considérée par Metternich que comme une « formule géographique » réalise son unité définitive derrière Camille Cavour mais reste cependant une puissance secondaire. Cependant, elle est un enjeu important pour l'Allemagne et la France puisque, peu industrialisée, elle représente