Metternich

1813 était resté l'affaire des intellectuels, s'exacerba au cours des guerres de libération convergeant rapidement en un sentiment national « allemand », bien que celui-ci fût continuellement réprimé par les forces conservatrices et le système de Metternich après 1815. L'occupation napoléonienne aura donc également été un vecteur du sentiment national dans les « pays de langue allemande », lequel n'allait cesser de s'exprimer au cours du Vormärz et dont la conséquence logique était l'émergence d'une

loge dans une petite maison de la rue Newton où il tient salon tous les mercredis. Ses projets sont multiples et peu fixés, les autorités musicales en place ne se pressant pas pour lui faire des offres. Grâce à l’intervention de la princesse de Metternich, femme de l’ambassadeur d’Autriche, Napoléon III donne l’ordre de représenter à l’Opéra Tannhäuser. Il semble que l’auteur ait accueilli cette nouvelle avec un plaisir mitigé : « Qui savait mieux que moi que ce grand théâtre d’Opéra avait renoncé

sont peu nombreux et trop faibles pour renverser les monarchies. Des soulèvements échouent un peu partout : en Savoie, à Gênes mais aussi dans d’autres Etats italiens. A chaque fois, les révoltes sont sévèrement réprimées. De plus, le chancelier Metternich, soutenu à la fois par le roi de Prusse et le tsar de Russie, met fin rapidement à toutes les tentatives de révolutions libérales dans l’Empire austro-hongrois. Malgré ces échecs, les caractéristiques de ce mouvement lui font gagner un crédit

un homme politique important, espion à ses heures. À Paris, il sera en mission secrète, dans le but de faire évader Louis XVI et sa famille alors emprisonnée. Il meurt lors du congrès de Vienne en 1814 où, en compagnie de Talleyrand et de Metternich, il tente de redéfinir l’Europe après « l’épisode » napoléonien. C’est un libertin, philosophe et ami de Voltaire, le confident de tous les rois et reines d’Europe, mais aussi un écrivain de valeur. Goethe dira de lui qu’il aura été « l’homme

récupère une partie de la Pologne, et toute la zone de la Rhénanie, le Palatinat, donc le royaume de Prusse devient énorme. L’empire de Russie capte toute la Finlande. Les leaders de la restauration L’Europe de 1815 : le système Metternich Le principe de Metternich était le premier ministre représentant l’empire d’Autriche pour consolider au nom de la Sainte Alliance, signifiant que les souverains en place le sont par la volonté de Dieu. Les souverains se coalisent pour maintenir la paix et faire

officielle. On trouve 140 diplomates dont Metternich (Autriche), Wellington et Castlereagh (Royaume-Uni), Nasselrode (Russie) et Talleyrand (France). On trouve aussi des souverains tels que le Tsar Alexandre 1er (Russie), Frédéric-Guillaume III (Prusse) et François 1er (Autriche). Le Congrès de Vienne est un moment de véritable enjaillade en dehors des réunions. Le diplomate Belge avait dit que « le Congrès de Vienne ne marche pas mais il danse ». De même, Metternich dira « le Congrès de Vienne, c’est le

n’était pas du tout l’image que laissera par contre Hitler. Le concert européen des traités de Vienne * La sainte alliance * La quadruple alliance * La conférence d’Aix la chapelle * Le concert, instrument favori de Metternich C’est Metternich qui a inventé la notion de «  concert européen », c’est une formule pré- européenne avant la lettre en considérant qu’il s’agissait de cristalliser une situation territoriale créer la situation par le traité de 1814- 1815 en appliquant

Sur le plan politique les grandes puissances européennes au lendemain des guerres napoléoniennes s’efforcent d’assurer une certaine stabilité internationale. C’est le thème du concert européen défendu lors du congrès de Vienne par le chancelier Metternich afin de préserver l’ordre dynastique qui a été menacé par la révolution française. Dans cette perspective, la multiplication de la concertation interétatique avec l’organisation de congrès internationaux réunissant les grandes puissances qui vont

de gloire personnelle comme il le dit lui-même : «J’ai aimé la gloire comme une femme», comme du côté politique où il assista à plusieurs régimes au cours de sa vie, où il se montra pour certains historiens moins acteur que comédien, comme le dit Metternich : «Poète et pamphlétaire, il ne possédait aucun des éléments qui constituent un homme d’État», avec une politique fondée sur la foi, la tradition et la passion de la liberté. Il savait mieux que personne que la monarchie avait été engloutie par

directoire européen dés 1818 lors du congrés d'Aix-La-... Le droit de contrôle qui est reconnu au puissances étatiques pour maintenir la paix allant jusqu'à permettre d'intervenir par la force dans les affaires des autres états. Le systéme de Metternich qui repose sur deux principes : -la légitimité du pouvoir monarchique -l'équilibre entre les puissances européennes On en parle le plus souvent pour parler de son éffondrement. En effet, le systeme ne s'est pas montré satisfaisant d'ou son effondrement