Meursault Est Il Coupable

à son patron comme L.12 lorsqu’il dit «  il n’avait pas l’air content » c’est une interprétation et subjectif, décrit à partir de son regard. Il en rajoute comme s’il se sentait coupable ne affirmant à la L.13 le discours rapporté, discours direct «  ce n’est pas de ma faute » montre que quelques part il se sent coupable. IL agit comme s’il avait quelque choses à se reprocher. Tout le passage est écrit à la 1ère personne du singulier et on a donc accès au pensé du personnage la L. 14 le montre « 

pleuré à l'enterrement de sa mère ? Le chien de Salamano valait autant que sa femme. La petite femme automatique était aussi coupable que la Parisienne que Masson avait épousée ou que Marie qui avait envie que je l'épouse. Qu'importait que Raymond fût mon copain autant que Céleste qui valait mieux que lui ? Qu'importait que Marie donnât aujourd'hui sa bouche à un nouveau Meursault ? Comprenait-il donc, ce condamné, et que du fond de mon avenir... J'étouffais en criant tout ceci. Mais, déjà, on m'arrachait

respect des règles. 20e siècle : théâtre sans décor, le message est flou, plus de rideau rouge, le mystère théâtral a disparu. Beaumarchais (1732-1799) Beaumarchais écrit le barbier de Séville 1773, le mariage de figaro en 1781 et la mère coupable en 1792. Beaumarchais ne c’est pas considéré tout de suite comme un vrai écrivain mais plutôt comme voyageur. Notamment son voyage en Espagne d’où le barbier de Séville et le mariage de figaro. Ce voyage va servir de toile de fond à ces pièces. Après

par des formules négatives : refus d’intégration. Il explique d’ailleurs cette volonté : « je suis un être humain » ; il respecte sa condition humaine, sa dignité. · De plus, ce sentiment de marginalité s’accroît par le fait que Beranger se sent coupable (21-27) : il n’a pas retenu Daisy, puis il généralise (22-24) aux autres personnes et enfin à l’humanité (26-27) avec une récurrence de « personne » : La personne humaine a disparu et n'a plus de sens. III. REMISE EN QUESTION DE LA COMMUNICATION

personnages et les errements qu’ils éclairent une face fascinante de la condition humaine. L’accusé, s’il occupe la première place dans le déroulement du procès, n’est pas seul. Malgré le sentiment d’abandon et de solitude qui caractérise le Meursault de L’Étranger percevant son procès derrière un voile de distance, la culpabilité intérieure de l’accusé se dédouble en s’incarnant. Face à lui s’affrontent en effet des personnages à qui la codification du procès attribue une position définie selon

la provocation. Tableau de l’évolution des femmes. Lignes 1 à 11: il fait un tableau sombre de l’évolution des femmes. Il dit qu’il y avait un principe d’égalité entre les femmes et les hommes et qu’elles avaient des avantages. Il dit que le 1er coupable est la société mais que les femmes sont aussi responsable de leur état d’esclave. Il leur reproche d’avoir choisi la facilité de l’esclavage plutôt que les vertus plus pénibles de la liberté. Cette évolution est une dégradation. Il fait le récit

grillet auteur des années 50, il est le représentant du nouveau roman. Apres deux roman il publie le voyeur en 1955 . et comme dans tout ses texte auparavent il y a un crime. Le voyeur est un roman policier, mais il n'y a aucune enquéte et dont le coupable n'est pas désigné. Rien de le récit permet de dire que c est matias le criminel. Matias est voyageur de commerce. Il revient dans son ile natale pour vendre des montres. Son emploie du temp est minutieusement décrit sauf au moment du crime ( materialisé

est-il accusé d’avoir enterré sa mère ou d’avoir tué un homme ? » Meursault n’a pas le droit de parler : « Même sur un banc d’accusé, il est toujours intéressant d’entendre parler de soi. Pendant les plaidoiries du procureur et de mon avocat, je peux dire qu’on a beaucoup parlé de moi et peut-être plus de moi que de mon crime. Étaient-elles si différentes, d’ailleurs, ces plaidoiries ? L’avocat levait les bras et plaidait coupable, mais avec excuses. Le procureur tendait ses mains et dénonçait la

la foi de rendre compte une réalité mais de la mettre à distance. L’incipit d’Albert Camus, l’Etranger. | * Il s’agit de l’incipit d’Albert Camus. * Le personnage narrateur, Meursault, vient d’apprendre que sa mère est décédée. Il décide de se rendre à Marengo, à l’Asile où sa mère vivait. Lecture du texte… En quoi cette plongée dans l’intériorité du narrateur est également une plongée dans une nouvelle conception du romanesque 

son passé et l’ambiance malsaine vont plonger le lecteur dans un univers particulier. Conclusion : Le huit-clos du village, ses personnages et sa langue mystérieuse nous plongent dès l’incipit dans un lieu sinistre. De plus, le narrateur semble coupable d’une sorte de faute, ou victime d’injustice, bref, brisé par un lourd passé qui lui fait encore peur. L’ambiance malsaine liée au rapport dominant dominé entre Brodeck et les autres s’ajoute à cela, le début du roman est donc particulier, le lecteur