Meursault Et La Peste

texte. - Quelle conception du métier d'écrivain Camus expose-t-il dans ce texte ? - Quel programme propose t-il à sa génération ? - Relever et commenter les mots clefs du texte. - Etablir des rapprochements entre La Peste et le discours de Suède (le discours illustre la Peste, même combat). Le rôle de l'art et de l'écrivain dans la société Albert Camus reçoit le Nobel en 1957 et c'est le 10 décembre qu'il prononce son discours de remerciement à l’Hôtel de Ville de Stockholm. Il est dédicacé

cycle de l’absurde. C’est un écrivain qui écrit par cycle. Il reçoit en 1957, le prix Nobel de littérature. Meursault est le héros du roman. Il apprend au début que sa mère est morte. Il rencontre le jour de l’enterrement de sa mère, Marie (sa petite amie). Il y a un rapport entre les deux paragraphes car ressemblance dans l’importance des questions et même type de réponse (sans émotion). La peste : 1947 Pb : Comment la succession de deux scènes similaires met-elle en valeur l’étrangeté du narrateur 

Classe de Première ☛ Le personnage de roman, du xviie siècle à nos jours ☛ La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation, du xvie siècle à nos jours La Peste Albert Camus Édition de Marianne Hubac Dans les années 1940, une épidémie de peste s’abat sur la ville d’Oran. Jour après jour, le lecteur suit l’apparition et l’extension de la maladie. Il découvre les réactions de chacun des personnages face aux souffrances et à la mort : certains fuient, d’autres restent pour

monde qui le dépasse ou dans un univers quotidien sans relief. Le lecteur est ainsi amené à réfléchir sur la société dans laquelle il vit et sur sa propre condition. Exemples : Candide de Voltaire, Bouvard et Pécuchet dans le roman de Flaubert, Meursault dans L'Etranger de Camus. le héros collectif, personnage épique : Au delà des personnages qui peuplent le récit, une collectivité s'impose parfois comme le véritable héros du roman. Il peut s'agir d'un groupe d'individus unis par le destin

1944, s'inspire assez fidèlement du destin dément du jeune empereur romain assassiné en 41 après Jésus-Christ et d'anecdotes authentiques évoquées par l'historien latin Suétone. Mais l'auteur en fait un héros de l'absurde, aux côtés de Sisyphe, de Meursault, de l'Étranger et de Jan, victime du Malentendu, pour constituer ce qu'il a appelé « le cycle de l'absurde ». À la mort de sa sœur et maîtresse Drusilla, Caligula a pris conscience que « Les hommes meurent et ne sont pas heureux » et veut aller jusqu'au

présenté est extrait de L'Etranger de Albert Camus, paru en 1942. L'œuvre de Camus se caractérise par deux thèmes principaux: celui de l'absurde qui naît du décalage entre un besoin d'idéal et le monde réel (cf. Le Mythe de Sisyphe, 1951 ou encore La Peste dans lequel l'auteur dépasse cet absurde en proposant un nouvel humanisme: celui de l'entraide) et celui de la révolte crée par le spectacle des crimes engendrés par l'humanité. Dans L'Etranger, Camus présente un homme que des circonstances extérieures

semblerait de plus que Camus néglige le héros, et oublie toutes les valeurs que celui-ci avaient auparavant. Il n’observe le héros que de la façon dont il apparaît dans ses propres romans : dans la Peste, ses héros n’ont rien de particulier qui les distinguent clairement des autres citoyens, dans l’Etranger, Meursault a tout d’un homme normale, peut-être un peu plus étrange que la moyenne sachant qu’il ne ressent rien, ou du moins pas grand-chose, lors de l’enterrement de sa mère ou de la demande en mariage

Afrique du Sud est un thème majeur de son œuvre, les relations humaines et les sentiments qui lient les hommes entre eux en sont un autre. L’écrivain se sent particulièrement proche d’Albert Camus (écrivain français, 1913‑1960), et notamment de Meursault, le principal protagoniste de L’Étranger (1942). Mais son affinité avec le philosophe de l’absurde s’explique également par le lien que ce dernier a établi entre les mots « solidaire » et « solitaire », et par ses développements sur le thème de l’exil

soigner les malades atteints de la peste dans le roman du même nom d'Albert Camus. Mais cette maladie est à la fois la métaphore du nazisme qui sévissait dans ces années 1940 où se déroule l'action, et du mal inhérent à la condition humaine. Cela donne alors toute sa force à la déclaration que fait Rieux à son ami Tarrou qui lui propose son aide : « Quand on voit la misère et la douleur qu'elle apporte, il faut être fou, aveugle ou lâche pour se résigner à la peste. » Et quand Tarrou lui objecte que

voilà parti à m'engueuler. J'ai tenu ferme bien entendu. — C'est pas vrai ! La race, ce que t'appelles comme ça, c'est seulement ce grand ramassis de miteux dans mon genre, chassieux, puceux, transis, qui ont échoué ici poursuivis par la faim, la peste, les tumeurs et le froid, venus vaincus des quatre coins du monde. Ils ne pouvaient pas aller plus loin à cause de la mer. C'est ça la France et puis c'est ça les Français. — Bardamu, qu'il me fait alors gravement et un peu triste, nos pères nous