Meursault Et Salamano

Système des événements. Camus a divisé son roman en deux parties. La pre1mere partie abonde en références temporelles précises pour indiquer la vie quotidienne de Meursault. Cette partie englobe seulement les événements qui se déroulent durant dix-huit jours en jui !let. Dans les deux premiers chapitres de la deuxième, Meursault résume 1es événements de onze mois. Les cha pi tres 3 et 4 couvrent les deux journées du procès, à la fin de juin. Dans le chapitre 5 on ne trouve pas la moindre

du personnage plus conforme en tout cas aux insertions de son auteur si l’on se demande pourquoi Meursault ne joue pas le jeu. La réponse est simple, il refuse de mentir. Mentir ce n’est pas seulement dire ce qui n’est pas. C’est aussi surtout dire plus que ce qui est. Et en ce qui concerne le cœur humain, dire plus qu’on le sent. C’est ce que nous faisons tous les jours pour simplement la vie. Meursault contrairement aux apparences ne veut pas simplifier la vie, il dit ce qu’il est, il refuse de masquer

« l'étranger » : Meursault; nous commencerons par une réflexion sur son attitude. Est-il un être étrange ou un étranger? Nous étudierons sa culpabilité ou son innocence. Ensuite, nous verrons si Meursault est un homme révolté. Nous finirons notre exposé par un parallèle entre l'auteur et son personnage : ce dernier est-il un « Camus raté »? I] L'attitude: Dès le départ, le lecteur est plongé dans le domaine du bizarre. Le personnage n'a pas de nom, on apprend plus loin qu'il s'appelle Meursault. Ce dernier

phrases « et je dirais plus » * Raymond, boxeur mais qui a tout de même besoin de Meursault face aux Arabes Il lui demande aussi d’écrire une lettre le défendant alors qu’ils se connaissent a peine. Mais aussi son comportement vis-à-vis de la femme qui bien qu’un jour il l’ai « battu à sang », dit qu’il lui arrivait de la « battre doucement » pourtant il ajoute que celle-ci criait * Salamano, le voisin de Meursault est absurde.

protagoniste, Meursault. À travers ce roman, l’histoire est racontée dans le premier et en fait il n’y a pas beaucoup d’action – avant que le point culminant du roman, quand Meursault tue l’Arabe, l’intrigue est concentré sur les aspects quotidiens de sa vie et ses observations aux autres autour de lui. 2. Pour moi, il n’y a pas un personnage avec lequel je peux m’identifier parce que la façon dont laquelle les personnages ont représenté est complètement subjective et personnelle de Meursault à cause

vient de mourir, le jeune Meursault, employé de bureau à Alger, va l'enterrer sans larmes. Il éprouve sans doute de la peine mais ne fait aucun effort pour manifester sa douleur. Le lendemain il retrouve une ancienne collègue, Marie Cardona. Ils se rendent à la plage puis au cinéma et passent la nuit ensemble. La vie reprend son cours monotone. Meursault rencontre un voisin, Raymond Sintès : celui-ci s’est montré brutal avec sa maîtresse, une Maure, et demande à Meursault de témoigner pour lui lorsqu’il

l’œuvre * Le narrateur, Meursault, employé de bureau à Alger, apprend que sa mère est morte, dans un asile. Il va l’enterrer sans larmes, sans regrets, et sous un soleil de plomb qui ne fait qu’augmenter son envie d’en finir avec la cérémonie. De retour à Alger, il va se baigner et retrouve une ancienne collègue, qui se nomme Marie. Ils vont voir un film comique au cinéma, et elle devient sa maîtresse. Un soir, Meursault croise Salamano, un voisin, et est invité par Raymond, un

grande passivité. L´oeuvre est plein d´absurde qui sort de la différence entre l´entendement de la vie du héros et de la société. La liberté et la compréhension du monde arrive juste après la condamnation à mort. Les personnages principaux : Meursault- narrateur Un petit employé du bureau vivant du jour au lendemain. Il est indifférent aux circonstances et considéré comme un criminel. Il repète mécaniquement des gestes quotidiens et cherche l´amusement primitif. Il vit dans la non-activité.

mère, à Marie qui l’aime, …) Il s’agit d’un personnage naïf qui ignore toutes les conventions sociales et donne libre court à ses réactions absurdes. À cause des 4 coups de pistolet, Meursault goûtera la vie de la prison (une période de privation et d’insatisfaction à l’attente de la sentence inéluctable). -> Meursault est l’image du citoyen du XXe qui n’a que la complexité, l’étrangeté de ses comportements face à l’absurdité du monde. • L’affaire de ne pas pleurer sa mère se trouve privilégié aux

ainsi que le révèle la longue description du dimanche – qui occupe un chapitre entier du roman ! - tel qu’il est vécu par Meursault à travers sa réflexion en forme de conclusion à la fin de la journée : « J’ai pensé que c’était toujours un dimanche de tiré. » (p.38). Une condition humaine qui repose en outre sur une absolue contingence ainsi que finit par le formuler Meursault après ses heures de réflexion en prison : « Comme si tous les chemins familiers tracés dans le ciel pouvaient mener aussi