Meursault évolue

multiples romans, écrit son forme de journal intime. Le personnage narrateur, Meursault, est anti-conventionnel, anti-conformiste, « étranger » à la société et à lui-même, mais pourtant confronté à la civilisation et à la constitution. Décalé par rapport à la norme, il peut d’emblée dérouter le lecteur par son absence de sentiments. L’extrait étudié se situe au début du chapitre 5 de la deuxième partie. On retrouve Meursault ayant déjà été condamné pour son crime et attendant son dernier jour en prison

symboliquement contrairement au 19 ème siècle. Néanmoins certains écrivains introduisent des symboles dans les noms des personnages. C’est le cas dans l’Etranger de Camus, où le nom du personnage de Meursault ( personnage principal de l’œuvre) symbolique la contraction entre « mer » et « soleil ». En effet, Meursault est un personnage qui a peu de « lumière » et qui est froid et hypocrite envers la société (il ira jusqu’à tuer un arabe). I-b) L’identité du personnage Deuxièmement, l’identité du personnage

personnages de ses trois romans évolue dans la nature mais dans des milieux différent. Pour Thérèse Raquin c’est au bord d’une rivière qu’elle se situe avec Laurent et Camille. Alors que Tchen évolue dans la nuit noire a la lumière des réverbères. Pour meursault l’action se dans une ville avec une chaleur étouffante « la brulure du soleil » (L.14). Dans chacun de c’est trois extrait la scène se passe dans le silence lors de la mort du personnage a l’exception de meursault ou lui rompt le silence en tirant

quelconque. Meursault est en quelque sorte le degrés 0 de la conscience. Ce n'est qu'à la fin du roman qu'il prend conscience de l'absurdité du monde et des lois humaines , mais c'est trop tard car il est condamné a mort. Sa prise de conscience de la liberté n'est seulement que intellectuel. Meursault est donc victime de l'absurdité. Résumé de L'étranger Le roman est divisé en deux parties égales . La première partie va crescendo et doit aboutir au meurtre de l'arabe. Meursault part enterré

moitié du 20e siècle, les mentalités ont évolué. Dans le texte d'Albert Camus, Marie est une femme spontanée qui se laisse guider par ses sentiments sur l'instant: « Elle a murmuré que j'étais bizarre, qu'elle m'aimait sans doute a cause de cela et que peut être un jour je la dégouterais pour les mêmes raisons. ». Dans ce texte, on parle peu de sentiments, le mariage est banalisé; il n'a plus la même valeur et Marie est attirée physiquement par Meursault, sa personnalité passe au deuxième plan.

français. Le roman s’ouvre, alors que Meursault va enterrer sa mère. Le lendemain, il rencontre Marie, se baigne avec elle, ils couchent ensemble. Et puis, il devient l’ami de Raymond. Celui-ci les invite à pique-niquer sur la plage. Tandis que les trois hommes se promènent, ils sont accostés par des Arabes qui ont un compte à régler avec Raymond. Bagarre. Meursault regarde. Plus tard, retourné seul vers la source qui coule à une extrémité de la plage, Meursault y rencontre l’un des Arabes. Il sort

comportement de Meursault à travers ses attitudes, ses mouvements, et sa propre analyse après le meurtre ce qui nous permettra d'en déduire la signification de cette page de la vie de Meursault. Tout d'abord, on est dans un long récit où Meursault raconte comment des circonstances indépendantes de ses volontés l'ont amené au meurtre. Meursault est revenu vers la source parce qu'il avait trop chaud : en effet, il vit au niveau de son corps et donc au niveau de ses envies. Meursault a personnifié

nouvelle conception du romanesque ?          Nous chercherons donc à comprendre les raisons du malaise certain qui saisi le lecteur à la première lecture, mais surtout à en déduire les implications dans la construction du personnage ambigu qu’est Meursault.   I- Une écriture désincarnée A-A la découverte d’une intériorité     A1- Première personne et temps de l’écriture --> Omniprésence du « je » + marqueurs temporels  « aujourd’hui », « hier », « demain », « dans l’après-midi » -> forme

ressortir à chaque événement triste « C’est malheureux » -la répétition des insultes « Salaud!Charogne! » a aussi un effet comique. -comme d’ailleurs l’idée fixe du maitre qui est tellement obsédé par son chien qu’il en oublie de répondre au bonjour de Meursault. L’humour noir, comique de geste, situation, caractère mais derrière le comique, il y a une tragédie et c’est ce mélange qui constitue tout l’absurde du passage. En effet, tout est absurde dans cet épisode: -l’homme déteste le chien mais ne peut

deuxième partie, Meursault reçoit la visite de l’aumônier, qui tente de le convertir à la foi en Dieu en invoquant la peur qu’inspire la proximité de la mort. Mais Meursault affirme qu’il ne croit pas en Dieu, qu’il n’a aucun espoir en une vie après la mort et que toutes les vies, tous les êtres se valent, étant donné que rien n’a d’importance, puisque la vie est absurde. Après s’être révolté violemment contre les propos de l’aumônier et s’en être pris physiquement à lui, Meursault se retrouve seul