Michel Gondry

L’engouement actuel pour les voyages à l’étranger semble répondre à un besoin bien plus profond qu’un simple effet de mode : les gens éprouvent le besoin de quitter temporairement (ou non) leur environnement habituel pour se confronter à d’autres sociétés. Ce goût pour le détour vers d’autres cultures peut soulever plusieurs interrogations, et notamment celle-ci : qu’apporte-t-il à l’être humain ? Pour répondre à cette question, nous disposons de trois documents textuels et d’un document iconographique

Introduction: Les textes suivant sont, Robinson Crusoé de Daniel Defoe écrit en 1719, La Ville, images à Crusoé de Saint-John Perse écrit en 1904, Suzanne et le Pacifique écrit par Jean Giraudoux en 1921 et Vendredi ou les Limbes du Pacifique de Michel Tournier en 1967. Nous allons étudier comment chaque auteur apporte les modifications nécessaires à leur texte pour différer de l’original. Seul sur une île déserte et en proie à l'inquiétude dans la version originale de Defoe, Robinson tâche rapidement

les biens des personnes publiques jouissaient déjà d’un statut spécial, symbolisé par leur inaliénabilité et leur imprescriptibilité. L’édit de Moulins), pris par le roi de France Charles IX en février 1566, avait été préparé par le chancelier Michel de L'Hospital. Il avait pour but de réglementer définitivement les aliénations au domaine royal. Pour ce faire, les légistes distinguèrent un domaine fixe (ensemble des biens et droits acquis par la Couronne à l'avènement d'un roi donné) et le domaine

Cependant, d'autres raisons bien différentes empêchent les autobiographes d'être totalement sincères. Cette fois-ci, ces raisons sont plutôt volontaires. « Qui se confesse ment, et fuit le véritable vrai », c'est ici que la citation de Paul Valéry prend tout son sens. En effet, cette fois, ces raisons tiennent plus particulièrement au récit. L'épreuve de l'écriture est une nouvelle déformation, c'est une recréation en un autre langage, un langage amélioré, pour des soucis stylistiques (...= Paul

SÉRIE L Objet d'étude : Réécritures. Textes : Texte A - Daniel Defoe : Robinson Crusoé (1719) Texte B - Saint-John Perse, "La Ville", Images à Crusoé, (Éloges, 1911) Texte C - Jean Giraudoux, Suzanne et le Pacifique, 1921 Texte D - Michel Tournier, Vendredi ou les limbes du Pacifique, 1967. Texte A - Daniel Defoe : Robinson Crusoé (1719). [Dans son roman, l'anglais Daniel Defoe raconte l'histoire d'un de ses compatriotes Robinson Crusoé qu'un naufrage aurait jeté sur une

Synthèse de textes Ces textes rassemblent les visions de Claude Simon, d’Alain Robbe-Grillet et de Nathalie Sarraute concernant l’évolution du roman. Ils étudient ainsi les caractéristiques du Nouveau Roman, mouvement littéraire du XXème siècle. Tout d’abord, les personnages évoluent. En effet, les personnages types du roman traditionnel ne sont plus crédibles aux yeux des lecteurs. Leur personnalité ne représente en aucun cas celle d’une personne de la vrai vie car elle se base sur un seul

et des races tel que le Hobbit. D’après Camus les héros romanesques nous ressemblent en tout point, il n’a pas tort. Ils ressentent effectivement les mêmes émotions, les mêmes questionnements. Extension du domaine de la lutte de Michel Houellebecq expose un personnage propre à notre société : seul et dépressif, ce personnage montre a travers son regard ironique et amer une société de consommation ou les hommes croyant avoir des amis sont finalement tous seuls. Mais eux du moins

partager de grands moments de bonheur, mais aussi d'immenses peines. L'important est de partager, de s'écouter, de se soutenir. Abbé PIERRE (Confessions. Paris, Albin Michel, 2002, p. 26) *     *     * L'amitié, c'est ce qui vient au cœur quand on fait ensemble des choses belles et difficiles. Abbé PIERRE (Confessions. Paris, Albin Michel, 2002, p. 57) *     *     * L'amitié est beaucoup plus tragique que l'amour. Elle dure plus longtemps. Oscar WILDE (Les ailes du paradoxe. Paris, Librairie Générale

vers le début du XVème grâce à Glovans de Médicis dominèrent la ville presque sans interruption jusqu’au XVIIIème siècle. Florence fut l’une des cités les plus influentes durant la Renaissance. L’art s’y développe avec de nombreux artistes tels que Michel-Ange ou Léonard de Vinci. Florence est le berceau de la Renaissance. -Les différents lieux de florence dans la pièce, marque de la renaissance : Dans la pièce de théâtre Lorenzaccio, les scènes se passent dans de nombreux lieux de Florence.

italien y évoque la figure emblématique de Michel-Ange, dont on n’a conservé d’ailleurs que très peu de portraits, et rapporte à son sujet qu’« il détestait représenter le vivant, s’il n’était pas d’une infinie beauté »[19] ; à propos des sculptures de Julien et de Laurent de Médicis à la sacristie San Lorenzo, le maître italien n’hésite pas à affirmer qu’il s’est peu attaché à les représenter « comme la nature les avait formés et composés »[20]. Michel-Ange affiche on ne peut plus clairement son