Microcosme

assimilé à un « oracle »; « admirablement » => présentation dans le discours de Pangloss.       L'évocation de ce contexte s'apparente donc beaucoup à celle du conte. II. Les caractéristiques du conte       La description du lieu en fait un microcosme, un endroit merveilleux et coupé du monde et de la réalité. On retrouve la formule traditionnelle: « il y avait », les personnages sont mis en scène dans un lieu imprécis: « en Westphalie », qui est un pays peu connu et qui a la réputation d'être

Épaule aux doigts Vers 25 à 29 -> Jambes Vers 30 à 50 -> Yeux Tour du corps de la femme Contemplation sans aucun verbe conjugué 2. Une femme au corps agréable Bouche en cocarde -> joyeux Jambes de fusées -> Finesse 3. Le corps de la femme est un microcosme (monde miniature) On retrouve un ciel avec étoiles, éclairs / mers avec écume, écluse / Pierre avec ambre, ardoise / Animaux avec loutre, souris… / Végétal avec foin coupé, moelle de sureau. Mécanisme avec le sablier. Elle parvient à confiner les

surréalisme s’organise autour de l’idée de beauté, dont la femme est l’incarnation parfaite. A la différence de la femme Baudelairienne qui peut avoir des valeurs négatives, la femme surréaliste est célébrée et souvent considérée comme une fée ou un microcosme. Loin d’être un objet sexuel, la femme est une médiatrice, un être sacré. Elle assume également un rôle d’inspiratrice, de muse. Dans Je t’aime, Eluard fait une déclaration d’amour, en forme d’action de grâce, à sa bien-aimée qui représente sa raison

trouble la quiétude). La cour n'est en fait qu'une illusion. une illusion du pouvoir, de la richesse, de la connaissance… Candide vit donc au sein d'un monde d'illusions dont il est victime. IL croit à ce qu'il voit car il ne connaît que ce monde. un microcosme qui n'est qu'incohérence. Ce monde va changer à la suite d'une péripétie dont Cunégonde sera la cause (le baiser). Voltaire caricature en quelques sortes le départ de Candide en le montrant chassé du paradis terrestre comme Adam mais ici, la tentatrice

III/ LA NATURE REPREND SES DROITS a) b) c) CONCLUSION Bernard Werber : les Fourmis Dans de nombreuses traditions, depuis les plus primitives, nous nous sommes toujours perçus comme une synthèse du monde, un modèle réduit de l'univers, un microcosme.

évènements sont créés par la rencontre des vices et des vertus, grandes catégories morales, mais, s’ils parviennent un instant a marqué le public, la vie reprend rapidement son cours (comparaison au char de Jaggernaut). Paris s’apparente donc à un microcosme qui offre une vision exagérée, caricaturée et comme passée à la loupe des vices, des vertus et des actions des hommes. L’interpellation du lecteur - L’auteur, après avoir souligné à quel point les émotions, aussi fortes soient-elles, s’estompent

la France connaît une importante vague d’intempéries, les inondations sont nombreuses dans le pays. D’emblée, on peut voir un analogisme entre le « temporel » et le « politique » ; en effet, les deux affiches relient le macrocosme climatique au microcosme politique français. La couverture de Siné Hebdo Les principaux signes graphiques à repérer sont : · - Les (jeux de) mains · - L’eau · - La tête Arrêtons-nous un instant sur cette main quasi-divine, venant du ciel et traversant l’image

représentée dans « chargé de, dans, où, tu contiens, embrasser, est enfermé » ; la grandeur dans : « tout un monde, infinis, profondeurs, ouvre les vastes bras, embrasser la gloire, azur du ciel immense et rond, ciel, océan ». La chevelure devient un microcosme, d’où le poète, comme un magicien, fait surgir une multitude de paysages, et de sensations. Ø      Un champ lexical de l’abondance et de la fécondité développe cette idée de contenance : « toison, moutonnant, jusque, plein de sève, oasis, peupler

réel et du fictif, celui-ci permettant autant de les lier que de les distancier. Au final, toute l’organisation géométrique du théâtre fait sens, elle réagit comme une condensation de la Cité, dont le lieu géographique du théâtre serait comme un microcosme de la Cité passée par le filtre de la figure dionysiaque. Alors tous les représentants de la Cité lors de ces performances seraient actifs dans une certaine mesure puisque par leur présence en cet endroit, ils assureraient l’idée d’une représentation

genre littéraire, il fait valoir, d’un point de vue philosophique, l’absurdité du providentialisme. I – Les ingrédients du conte : la base du récit. Dans une écriture qui ne s’embarrasse pas de détails, le cadre spatio-temporel met en avant un microcosme, un endroit merveilleux coupé du monde et de la réalité. La formule traditionnelle: « il y avait » entame un récit dans lequel les personnages sont mis en scène dans un lieu imprécis, la « Westphalie », qui est un pays peu connu et qui a la réputation