Mieux Vaut L Inflation Que Le Chômage

non pas les éléments d’un carré magique (Kaldor) mais d’un triangle (manque le solde commercial). A noter que les chiffres sont de 2007, juste avant le déclenchement de la crise financière puis de la récession actuelle. Il montre en tous cas, une inflation maîtrisée. A posteriori, les bons chiffres de l’Irlande, du R.U ou de l’Espagne montrent combien ces économies se sont révélées fragiles avec la crise de 2008. Doc 5: Très intéressant document pour les notions de chocs symétriques ( ensemble des

quantité de monnaie en circulation. Autrement dit si les pouvoirs publics multiplient M par n, les prix P se trouvent multiplier également par n. Cette théorie très simpliste reliant P et M peut rendre service pour expliquer les périodes d’hyper-inflation, en montrant que tout supplément de la monnaie en absence d’une augmentation de la production est forcement inflationniste. L’équation de Fisher a été très critiquée : - Statistiquement, des études ont monté que les prix de détails et les quantités

une baisse des recettes fiscales. En effet, l’augmentation du taux d’imposition décourage le travail des plus dynamiques : à quoi sert de travailler beaucoup, puisque le supplément de revenu qui en découle est prélevé par l’Etat, et l’épargne : il vaut mieux consommer. Ainsi, la quantité de facteurs de production diminue : il y a moins de travail et de capital disponible, ce qui entraîne une réduction de la croissance et donc des recettes fiscales. Le deuxième moyen est le recours à l’endettement

libérale du XVIIIe siècle, mais elle ne prend son véritable essor que lors de la prise de conscience de l' existence économique. On apprend d'une part ce qu'est la « loi des rendements décroissants », découverte par Smith, Ricardo et Stuart Mill. Pour mieux la cerner, l'auteur la rend plus concrète par le biais d'un exemple : le nombre de verres servis par les garçons dans un café. Jusqu'à la fin du XIXe siècle, les classiques pensaient que les progrès techniques auraient atteint leurs limites et donc

chacune par un poids en or, de façon fixes avec une valeur officielle en or, en déduisait des taux de change fixe la quantité de monnaie (de billet) émise par chaque banque centrale était fonction du stock d'or, cela impliquait une stabilité des prix (inflation = trop de monnaie en circulation donc ça gonfle la demande), la quantité de billets restait limitait donc on évitait ainsi l'inflation. Ensuite les banques centrales s'engageait à convertir l'or en billets. l'or pouvait être aussi utilisé pour les

capitalismes au cours de l’histoire qui les a façonnées. Importance du facteur culturel dans ce qui aujourd’hui gouverne une partie de notre existence. Années 70 marquées par la crise, mais en fait retour à la normale à la suite des 30 glorieuse. Inflation + chômage = retour à la normale. Accompagné du consensus de Washington (USA de Reagan + Margareth Thatcher se mettent d’accord pour revoir fondamentalement la manière de faire de l’éco.) Avant, Monde occidentale gouverné par le modèle Keynésien (état

que les assignats sont associés à quelque chose (biens de l’Eglise). Cela rappelle les supprimes: crédits financiers adossés sur des biens immobiliers. 2 sur 24 Le gouvernement semble avoir trouvé le moyen de créer de l’or, mais cela a engendré inflation et faillite. Épisode archétypale: l’Etat émet de l’argent pour régler ses factures. Guerre couteuse à financer, on imprime donc des billets. Plus il y a de billets de banques en circulation, le billet de banque à l’unité permet d’acheter moins de

des prix sur le marché du travail n'aboutit pas usuellement au plein emploi d'où l'introduction de la notion de chômage involontaire. Pour les classiques, l'offre de travail par les salariés dépend du salaire réel w/p. S'il y a du chômage c'est que le salaire réel w/p (w salaire nominal et p indice des prix) est supérieur à la productivité marginale du travail appelée « PML ». Le chômage ne peut être que volontaire c'est-à-dire venant du refus de travailler au nouveau salaire d'équilibre. Pour Keynes

économique de forte croissance sur une période élevée. On combine cet objectif de croissance sur une longue période avec sur court terme une stabilité de cette croissance tout en évitant le phénomène d’inflation ou de chômage d’ou la stabilité. b) le chômage Un taux de chômage élevé est socialement nuisible mais économiquement il constitue un gaspillage de ressources. En plus, il va creuser les déficits. D’ou vient t-il ? Quels sont les facteurs, les causes, les conséquences ? c) l’inflation

Les économistes ont détermines trois niveau d'inflation :-taux d'inflation à un chiffre (en dessous de 5-6%) : inflation rampante-taux d'inflation à deux chiffres : inflation galopante-taux d'inflation à plus de deux chiffres : hyperinflationtendances de l'économie en matière d'inflation : On constate que deux grandes périodes se distinguent. -Du milieu des années 60 jusqu'en 83 : inflation galopante (entre 10 et 15%).Pourquoi durant cette période on a autant d'inflation ? Les théories économiques